Poésie Modernité Formelle

symbolisme Sur la plan strict de l'histoire littéraire, le symbolisme naît officiellement le 18 septembre 1886, lorsque le poète Jean Moréas publie dans le supplément littéraire du Figaro un article en forme de manifeste définissant les exigences d'une poésie nouvelle et raffinée, donnant accès « à l'Idée » par le symbole et la suggestion ; dans ce texte d'une portée théorique limitée, Moréas, comme bien d'autres poètes de sa génération, se montrait disciple des conceptions poétiques exigentes de Stéphane

documentaires………………………………………………22 Préface La stricte définition de la poésie, telle qu’on la trouve dans la plupart des dictionnaires la présente, de manière générale, comme « un art du langage, qui se caractérise par la mise en jeu de toutes les ressources de la langue (lexicales, syntaxiques, mais aussi sonores et rythmiques) afin de créer pour le lecteur ou l’auditeur un plaisir à la fois intellectuel et sensible ». Cependant, cette aride description de la poésie n’est pas complète. C’est pourquoi nous allons tenter

"Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant..." De même qu’il existe une porte d’entrée dans la poésie moderne « nommée » Baudelaire, une autre transitant par l’œuvre de Mallarmé, et une autre par celle de Rimbaud, il existe une entrée Apollinaire… A des titres différents, tous ces poètes sont « de grands commenceurs », pour reprendre un mot de René Char, même si, en chacun d’eux, l’esprit de crépuscule est également à l’œuvre… Apollinaire entre deux mondes C’est, me semble-t-il, à la porte

angoissent. Dans La Guerre, Bea. B et Monsieur X sont témoins de la démesure des rues, du grégarisme des foules, de la «violence terrifi ante» de la société rationnelle et technicienne, de cette «guerre» particulière menée par les produits de la modernité contre leurs inventeurs, une guerre d’autant plus dangereuse, que les hommes ne savent pas toujours la reconnaître sous ses oripeaux attrayants: Le peuple stupide habitait la guerre et il ne le savait pas […] Je vois venir la tempête de luxe

même. Pour toutes ces raison les sophiste sont a l'origine de l'humanisme : surtout en tant qu'il reconnurent en l'homme qui peut être éducable indéfiniment. ==> 3 niveau de conceptions ont rupture les une avec les autres : Poésie // Sophistique // Philosophie. Poésie : une discours qui porte sur le mythe, qui fait appelle à une forme d'expression littéraire. Qui fait appelé à l'imaginaire. Tout les discours des mythes. Sophistique et philosophe ot en commun un discours fonder sur la raison

toute œuvre humaine par les subtiles possibilités qu’elle recèle » paragone entre vue (œil = fenêtre de l’âme) / écriture : fait voir /décrit La question du « paragone »  peinture VS poésie cf Horace (1er siècle avant notre ère) Art Poétique : « ut pictura poesis » c’est-à-dire « La peinture est comme la poésie » (ou réciproquement) / Paris Match : le Poids des mots, le choc des photos RENDRE LE MOUVEMENT Le cinéaste = - peintre doué de parole / - poète qui peut faire voir Pb : pourquoi

BELLE ÉPOQUE La France de la Belle Époque : histoire et politique La conjoncture littéraire de la Belle Époque Le théâtre : naturalisme et symbolisme Le théâtre : l’apparition du metteur en scène La crise du roman La poésie : le symbolisme et les réactions antisymbolistes La jeune poésie CHAPITRE 2 : NOTES SUR LA VIE DE GUILLAUME APOLLINAIRE La jeunesse : les premières impressions d’un poète L’activité littéraire : du retour à Paris jusqu’à la publication d’Alcools La guerre et la mort prématurée

départ : l'esquisse de ce qu'on pourrait appeler l'attitude de modernité. Je sais qu'on parle souvent de la modernité comme d'une époque ou en tout cas comme d'un ensemble de traits caractéristiques d'une époque; on la situe sur un calendrier où elle serait précédée d'une prémodernité, plus ou moins naïve ou archaïque et suivie d'une énigmatique et inquiétante « postmodernité ». Et on s'interroge alors pour savoir si la modernité constitue la suite de l'Aufklärung et son développement, ou s'il

instrumentales (Vivaldi : L'Hiver des Quatre saisons). -‘unité essentiellement statique du tableau’, les ‘surprises étaient rares ‘, ‘tout était rigoureusement prévu’, . Le système d’édification musicale se développe dans la frénésie d’une modernité revendiquée, qui fait littéralement basculer le champ de la perception musicale. En effet, la nouvelle architecture sonore va désormais s’échafauder à partir d’un socle, consolidé dans son principe de fondation (la basse continue), sur lequel vont

l’horrible et le sublime pour forger une image inédite de la Beauté. Ce poème est allégorique et donne une définition de l’art selon Baudelaire. Problématique : On se demandera en quoi cette allégorie de la Beauté incarne une nouvelle esthétique dont la modernité à la fois fascine et détruise le poète. Plan : Nous répondrons à cette problématique en trois temps. D’abord, nous analyserons la figure allégorique puis la divinité double et une attraction fatale, la souffrance du poète. I – FIGURE ALLEGORIQUE