Poétique Et Stylistique

Fiche de révision : Poétique des genres et des formes Musicologie : Le genre en musique est défini par l’usageLe concert : Symphonie, concerto, sonate…La musique vocale : Opéra, lyrique, chanson…La musique religieuse : Messe, Requiem, oratorio…. Distinguer la musique Traditionnelle/ La musique écrite/ La musique improvisée : Différents styles ? Style Monodique Style ChromatiqueStyle SwingStyle Jungle Autres styles….Différentes Formes ?Forme Musicale générée par un discours : Succession de périodes

enclin de tout temps à prendre la vie comme un spectacle”; les métaphors qui créent des images surprenants et d’une grande densité poétique:“puis elle rentrait dans sa tristesse comme dans un tour”; la personification:“ le tumult qui régnait dans la classe sans cesse”. Le registre de la langue est médian, les mots sont usuels, compris sans difficulté, pas d’écarts stylistiques. Parmi les formes textuelles c’est la description qui prédomine, elle nous permet de saisir les details, les réflexions des

de 46 ans, il est nommé par le Cardinal de Richelieu 1er peintre du roi. Caractère : Il mène une vie retirée, paisible et très laborieuse. Il est très modeste, spirituel, noble et franc. Son œuvre - Pour peindre, il s’inspire des textes poétiques comme la métarmorphose d’Ovide ou de la Bible. Il connaît beaucoup les usages et les coûtumes des Anciens. - Il s’intéresse beaucoup aux paysages. - Il est attiré par le monde antique. Il recherche le bon goût de l’antique (par exemple l’idéal

prédominant chez les surréalistes. Il comporte 3 strophes de 5 vers, à la fois alexandrins, décasyllabes et octosyllabes : mélange curieux , à la fois classique et hardi, comme si le poète hésitait à choisir entre les conventions poétiques traditionnelles et la liberté prônée par le surréalisme. Pas de rimes véritables (quelques rimes plates tout au plus).  Pas de titre , c’est donc le premier vers qui en

Étroitement liée à l’essor de la langue française, la poésie voit son heure de gloire sous le règne de François 1er. Avec quelques amis animés de la même ferveur pour la poésie, Pierre de Ronsard (1524 – 1585) fonde, au moment de ses études, un groupe poétique qui prend rapidement le nom de Pléiade. Considéré comme le membre le plus influent du groupe, Ronsard excelle à exprimer l’émotion amoureuse et nombreux sont ses vers qui invitent à jouir de la vie avant que la vieillesse éteigne toute possibilité

thème ou idée central du poème? Quel est son sens, son intérêt, son effet sur vous, la lectrice ou le lecteur? Quels idées, thèmes, aspects sont mis en valeur par le vocabulaire et les images? Par les sons et les rythmes? Il faut intégrer l'analyse stylistique avec le sens du texte. 5. Conclusion.Dans un paragraphe de conclusion, vous pouvez donner votre évaluation personnelle du texte. Qu'est-ce qui vous a plu ou déplu? Pourquoi? Vous pouvez aussi considérer d'autres questions, par exemple : le texte

4 accents donc 4 coupes donc 4 mesures : 3 / 3 / 3 / 3 SON Assonance. Une figure de style qui consiste en la répétition d'une même voyelle accentuée, la répétition d'un même timbre vocalique afin de créer un effet stylistique. «Tout m'afflige et me nuit et conspire à me nuire» Racine (Phèdre). Allitération. Désigne la réitération d'une ou plusieurs même(s) consonnes. Par exemple, dans Andromaque de Racine (acte V, scène 5): "Pour qui sont ces serpents qui sifflent

vulgarité des termes). Et ce, même lorsqu'ils prétendent parler au nom du Sacré, qu'il soit animiste "mauvais gris-gris", ou chrétien "punaise de moinillon". * Enfin, violence de ce rejet comme entrée en matière du poème. Forme particulièrement peu poétique de l'invective (dans le choix de l'impératif, du lexique trivial..) C) Passage à l'abstraction (introduction) * Un lexique plus abstrait complète ces constats réalistes et imagés: "désastre". Expression plus "philosophique" de la conscience

­­­­­    b.   La  poésie  dans  la scène  :  Cette  scène  qui  ouvre  le  troisième  acte  de  la  pièce  admet  une  forte  charge  poétique  encouragée  par  les  modalités  du déroulement dramatique. La « liturgie  »  des   patriciens  s’engage  comme  un  chant  et  offre  la  possibilité  au  dramaturge  de  laisser  s’exprimer  une  certaine  habileté  poétique  déjà  rencontrée  dans  la  scène  14  de  l’acte  II.  Ici  encore,  Camus   s’appuie  sur  une  «  chorale  »,  une  parole  multiple 

207]. Torodov mentionne que «Le “jeu” des mots s’oppose à l’utilisation des mots, telle qu’elle est pratiqué dans toutes les circonstances de la vie quotidienne» [Todorov]. Marina Yaguello le rejoint quand elle écrit, « toute l’activité ludique et poétique qui a pour objet et pour moyen d’expression le langage constitue un servivance du principe de plaisir, le maintien du gratuit contre l’utilitaire»[4,pag. 7]. Le linguiste suisse Charles Bally soutient l’idée que « Un jeu de mots, à moins d’être un