Pratiques Communes Et Spécificités Des Régimes Totalitaires

qu’indirectement incluse dans la Première Guerre mondiale A) La Première Guerre mondiale, par ses spécificités, apparaît comme le catalyseur d’un totalitarisme belliciste... 1) La Grande Guerre crée une nouvelle logique d’organisation des sociétés La Grande Guerre a nécessité une mobilisation totale de la nation pour ainsi remporter la victoire (empires compris). Dès lors, elle justifie l’encadrement totalitaire de toute la société pour parvenir à ses fins  fascisme, nazisme, communisme stalinien...

en plus lourdes, au fil des ans, du régime le plus autoritaire et le plus répressif que la France ait connu au XXe siècle. Si la grande majorité des Français firent d’abord confiance au maréchal Pétain pour faire face à la grave crise d’identité nationale provoquée par la déroute de mai-juin 1940, ils se détachèrent progressivement du régime de « l’État français » qui s’était installé bon gré mal gré dans la ville de Vichy. À la fois parce qu’il devenait un régime de plus en plus policier et parce

Introduction : La politique est la gestion des intérêts communs de la société, ou encore comme le disait Machiavel, la gestion de la raison d’Etat mais selon les régimes politiques, on peut avoir diverses interprétations. On exerce le pouvoir politique que dans un certain but. Ces idées en fonction desquelles on exerce le pouvoir sont très souvent dans les doctrines ou dans les idéologies. La doctrine est un système de pensée qui peut présenter une certaine rationalité alors que l’idéologie

se caractérise par une forme de centralisation des relations du pouvoir et le développement de petites bureaucraties qui vont se spécialiser au service des organisations centrales. Cette différenciation est rarement permanente. Le schéma le plus commun est la seconde forme de gouvernement énuméré. Il y a des exceptions dans la formation de ce type de sociétés, de royaumes, avec un phénomène de dynastie. Mais cette autorité ne s’exerce pas de manière permanente. Dans ces sociétés là, il y a bien

ou plus largement dans les sciences sociales qui nous intéressent plus particulièrement. Parmi les grands ancêtres comparatistes : Aristote et l’histoire de ses trois régimes (la royauté, l’aristocratie, la démocratie) qui forme une première typologie, une première œuvre de comparaison importante dans la vie politique. Pratiquer cette opération de comparaison, on peut décomposer ceci en trois points : C’est d’abord spécifier, confronter et classer ce que l’on étudie pour parvenir à une généralisation

économique et sociale : les incertitudes économiques et sociales de l'entre- deux- guerres Partie II: l'impossible stabilité de l'entre-deux- guerres et la naissance du monde contemporain Section 1: La mutation politique et crise des régimes Section 2: L'impossible sécurité collective Section3: La décolonisation Conclusion: La Deuxième Guerre Mondiale et la naissance d'un nouvel ordre mondial INTRODUCTION Le XX ème siècle a été un siècle de rupture par rapport aux

révolter contre leur maître dans l’espoir de mener une vie autonome dans l’égalité, l’entraide et la paix entre tous. La ferme tombée entre leurs mains est gérée dans le respect des sept commandements qui prônent le pacifisme tout en définissant les spécificités des animaux présentées comme une richesse. L’ennemi est clairement pointé, l'homme doit disparaître, la cohésion se crée autour de cette menace. Les cochons sont très vite amenés à prendre le pouvoir, asservissant les autres animaux, utilisant

révolter contre leur maître dans l’espoir de mener une vie autonome dans l’égalité, l’entraide et la paix pour tous. La ferme tombée entre leurs mains est gérée dans le respect des sept commandements qui prônent le pacifisme tout en définissant les spécificités des animaux, présentées comme une richesse. L’ennemi est clairement désigné : l'homme doit disparaître; la cohésion se crée autour de cette menace. Mais les cochons sont très vite amenés à prendre le pouvoir, asservissant les autres animaux, utilisant

en cause des pratiques juridiques parfois fort anciennes, ce qui peut être nuisible pour les praticiens du droit, comme pour les justiciables. C'est pourquoi ils demeurent limités, et la Cour de cassation a été amenée à permettre certaines mesures tendant à éviter les conséquences les plus néfastes (irresponsabilité des avocats ou notaires ayant agi conformément à la jurisprudence ancienne et ne pouvant prévoir le revirement). Parfois, il arrive que la jurisprudence élabore un régime juridique qui

politique en se demandant quel est le meilleur régime politique. Le philosophe réfléchie aussi à la guerre, à la violence. Derniers acteurs, les politistes, les politologues, ils essaient de comprendre, d’interpréter, ils ne cherchent pas ni à justifier, ni à condamner. Contrairement aux juristes, ils ne vont pas se prononcer sur le caractère juste ou légal d’une action. Ça ne veut pas dire pour autant que la science politique est objective car spécificité de l’objet d’étude (Comment être objectif