Précarité énergétique

crise du travail peut apparaître comme l’un de ses  principaux facteurs explicatifs. De même, ses transformations et plus particulièrement la montée de la précarité viennent renforcer ce constat. Toutefois, l’exclusion est aussi multiforme et il s’avère que d’autres facteurs cumulatifs viennent l’expliquer. Première partie : le chômage et la précarité constituent les principaux facteurs de déclenchement du processus d’exclusion sociale A. La montée du chômage affaiblit le travail comme instance d’intégration

nombreuses et varient selon la couleur politique. Ainsi, les sympathisants de droite invoquent surtout des facteurs économiques et sociaux avec notamment la crise économique, le chômage des jeunes qui créent en eux un sentiment de frustration et la précarité de certains quartiers. En revanche, les sympathisants de gauche citent davantage des facteurs qui renvoient à l’autorité comme le manque d’autorité des parents sur leurs enfants et le recul de certaines valeurs morales dans notre société. II)

nombreuses années. Si au Xxème siècle le stress au travail était plutôt limité au secteur industriel (cols bleu), cette maladie s’est répendue au secteur tertiaire en raison d’une demande sans cesse accrue de productivité couplée à une forte hausse de la précarité. - J’ai également choisi ce sujet parce que, après avoir longtemps été considéré comme « tabou », il a malheureusement « explosé » au grand jour médiatique au dernier trimestre 2009 en raison de la vague de suicides qui a touchée France Télécom

chômage peut être défini comme l’inactivité d’une personne souhaitant travailler. Cette définition du chômage connaît de nombreuses variantes et son concept donne toujours lieu à des controverses théoriques et statistiques. Associé à la pauvreté, à la précarité et l’exclusion, il est aussi au premier plan du débat politique depuis la fin des Trente Glorieuses dans quelques pays d’Europe occidentale, où il a atteint des niveaux très élevés ; le chômage transforme la structure sociale de la société, bouleverse

La précarité en France 13 % des salariés occupent un emploi précaire. En France, 25,6 millions de personnes ont un emploi. Mais avec des statuts très différents. Parmi elles, 2,8 millions d’indépendants, soient 10,8 % de l’ensemble : un groupe au sein duquel les inégalités sont parfois extrêmes, entre l’artisan maçon soumis aux aléas du bâtiment et le chirurgien de renom. Les écarts sont aussi énormes parmi les 22,5 millions de salariés. Le statut le plus protecteur est celui des fonctionnaires

INTRODUCTION Le chômage, ainsi que la précarité de l’emploi, engendrent des situations de pauvreté. Celles-ci peuvent entraîner des perturbations au sein de la vie de famille, tout comme des situations familiales difficiles peuvent influer sur le travail. En effet, le chômage peut perturber la mise en couple, du fait de sa formation tardive, les relations familiales et sociales, avec notamment la perturbation des rôles sociaux, la santé, et les conditions de vie. On peut noter que dans un tel

popularisé par l’écrivain canadien Douglas Coupland, qui a publié, en 1991, un livre intitulé : Génération X. Se référant aux noirs analphabètes qui signaient leur nom d’une croix, le X renvoie à une jeunesse sans identité. Les formes nouvelles de précarité générationnelle lui sont spécifiques, en particulier dans les pays du sud de l'Europe. Ce terme de X est péjoratif. Il a été utilisé pour décrire une génération qui n’a pas su trouver ses repères, contrairement à celle de ses parents qui sortait

strictement financiers, elle constitue également un phénomène sociale, basé sur l’exclusion sociale. Cette dernière résulte d’un processus de cumul des précarités et des handicaps sociaux. Le chômage, la pauvreté, l’âge, l’absence de diplômes, les problèmes de santé et la faible insertion dans des réseaux familiaux ou sociaux constituent des facteurs de précarité qui peuvent conduire à une nouvelle question sociale en France.

l’institution sont de fréquence et de participation réduites. Le territoire est situé en zone urbaine, la commune compte 95 000 habitants (pour une agglomération totale de 300 000 habitants). La problématique de cette population accueillie est un cumul de précarité et d’isolement. Cette ISIC relève du type d’intervention sociale auprès des groupes. Il s’agit de connaître quelles stratégies peuvent être mises en place au regard des difficultés rencontrées par ce public. Renforcer la vie communautaire et contribuer

travail, cela peut engendrer des suppressions d’emploi à court terme. 2) Pour l’entreprise, le recours a un personnel intermittent peut être synonyme de perte de savoir-faire, et donc, a long terme, de compétitivité. B) La flexibilité, synonyme de précarité 1) Les politiques de flexibilité quantitatives externe sont à l’ origine de l’essor des emplois atypiques. Depuis les années 1980 le nombre d’intérimaires et d’emplois aides a été multiplie par 5 tandis que celui des CDD triplait. Assortis de rémunérations