Précarité

de masse, ainsi , ils peuvent produire à coût moindre et exiger un certain niveau de production. En conclusion, la condition ouvrière en France , au XIXème siècle , se caractérise par des conditions de travail et de vie très dures : pénibilité , précarité et insalubrité , des contraintes de temps, du travail , de l’âge et de logement. Ce sont des contraintes qui rendent la situation ouvrière très

l’institution sont de fréquence et de participation réduites. Le territoire est situé en zone urbaine, la commune compte 95 000 habitants (pour une agglomération totale de 300 000 habitants). La problématique de cette population accueillie est un cumul de précarité et d’isolement. Cette ISIC relève du type d’intervention sociale auprès des groupes. Il s’agit de connaître quelles stratégies peuvent être mises en place au regard des difficultés rencontrées par ce public. Renforcer la vie communautaire et contribuer

Paugam, La Disqualification sociale, essai sur la nouvelle pauvreté, 1997 (1991). Introduction : Problématique : Qu’est qui caractérise le groupe des fragiles ? Analyse de cette catégorie Hypothèses : Les fragiles se caractérisent par une précarité économique liée dans la plupart des cas à des statuts juridiques infériorisés : stage de formation, emploi à durée déterminée, chômage etc. Les fragiles bénéficient d’une intervention sociale ponctuelle en raison essentiellement de difficultés financières

Centres de stabilisation et hébergements d’urgence L’accueil en hébergement , considéré comme temporaire, est destiné aux personnes sans domicile ou contraintes de le quitter en urgence, en situation de précarité et connaissant de graves difficultés sociales. De l’abri immédiat à l’hébergement d'insertion, différentes structures adaptées à ces situations de grande exclusion sont proposées : des Centres d’hébergement d’urgence (C.H.U.) des Centres d’hébergement et de réinsertion sociale

logements peu salubres. Aujourd’hui, par contre, c’est le malaise psychosocial, causé par l’inactivité, qui fait surgir des pathologies comme les maladies cardiovasculaires, les dépressions, le repli sur soi-même et d’autres encore. Là où existe une précarité du travail, la relation «perte du travail-problèmes psychologiques» est bien évidente. Clairement, cette condition est fortement soutenue par les normes et les valeurs de la société qui attribuent un rôle prépondérant au travail et ces circonstances

par la crise de 2008, sachant que 1/3 des jeunes actifs ont un contrat temporaire (en 2008). Le chômage des jeunes est donc fortement lié à la situation économique, une crise les affectant en un tout premier lieu ! C’est pourquoi pauvreté et précarité sont souvent associées à la jeunesse; première grande victime de la crise, ainsi en 2008 les jeunes représentaient 24% des travailleurs pauvres dans le monde contre 18,1% de la population totale. Par ailleurs, si le taux d’activité

au contrat de travail conclu, il remettra alors soit une lettre d’embauche soit un bulletin de paie durant deux mois. II. Les contrats de travail précaire A. Généralités sur le travail précaire 9. Photo : contra t d’intérim annonce : CDD 10. Précarité : forte incertitude de conserver ou récupérer une situation acceptable ou stable dans un avenir proche. Dans un CDI, la situation du salarié est relativement stable (il est possible d’être licencié). Dans un contrat précaire, la durée de travail

veut dire que chaque personne passe par l’état de jeune pour devenir « non jeune », adulte. C’est un passage obligatoire qui marque une vie, il est donc « historique ». On peut dire que la différence entre jeune et non jeune est la situation de précarité dans lequel est le jeune, soit parce qu’il n’a pas trouvé d’emploi durable ou soit parce qu’il est toujours en formation. Le non jeune, en général, a une situation plus stable. Ce qui fait la spécificité d’un jeune est qu’il est toujours comparé

lien supposé entre la misère, le crime et la mobilité géographique. Le pauvre notamment lorsqu’il est étranger à la paroisse, suscite des réactions très hostiles. Il est susceptible de grever le budget de la communauté et représente la menace d’une précarité qui semble n’épargner personne. La misère est également associée au risque d’épidémie et de subversion. C’est particulièrement le cas des espaces urbains où la maladie dans une communauté jugée saine ne peut-être que le fait d’un corps étranger.

syndicats est, bien entendu, de protéger l’intégrité physique et morale de leurs membres. D’autant que le harcèlement moral est, dans une grande partie des cas, perpétré par un supérieur hiérarchique. Mais ce combat en rejoint d’autres: celui contre la précarité et celui, tout aussi essentiel, pour la liberté syndicale. Les employeurs et leurs organisations devraient aussi jouer un rôle essentiel dès lors qu’il appartient aux patrons de veiller à la sécurité du lieu de travail et à y promouvoir un environnement