Preface Andromaque Racine

devant un choix difficile, on parle alors de « dilemme tragique » Cf. Le Cid de Corneille. Ce héros ne peut généralement pas éviter un fin violente, tragique EX : Wilfried meurt fusillé, la mort de Pyrrhus et la folie d’Oreste dans Andromaque (1667) de Racine. Pour le philosophe grec du IVe siècle AVJC, la fonction principale du spectacle tragique est de permettre au public de se libérer de ses passions et de ses tourments par la catharsis ou encore instruire par la peur et les pleurs.

les comédies de Molière (L'Avare, Le Malade Imaginaire, Tartuffe, Les Femmes Savantes, Don Juan, etc…) que pour les tragédies de Racine qui emprunte à l’histoire antique (Phèdre, Andromaque, Britannicus, Bérénice, etc...). - Le théâtre romantique (XVIIIe-XIXe siècles) : La grande vogue romantique née en Allemagne est ouverte en France par Victor Hugo avec la préface de Cromwell (1827) dans laquelle il proclame la liberté totale de l’invention et de la création théâtrale et rompt ainsi avec le théâtre

introductifs (1912–1930) la thèse de l'athéisme de son auteur. Il s'appuie sur des extraits de son œuvre (en particulier la lettre de Gargantua à Pantagruel) et les accusations portées contre lui par Calvin (Des scandales, 1550) et par Robert Estienne (préface de l'évangile selon Matthieu, 1553). La thèse opposée est soutenue en 1924 par le théologien catholique Étienne Gilson[21], et surtout par l'historien des Annales Lucien Febvre dans Le problème de l’incroyance au XVIe siècle, la religion de Rabelais

Parfois, on n’est pas contre, mais on n’est pas convaincu. Il faut faire la différence entre les théoriciens à partir des courants littéraires (préfaces, manifestes) et les théoriciens du XIX°, XX° siècles. ZOLA a été en quelque sorte son propre théoricien. Dans la préface de Hernani, HUGO a fait en quelque sorte un manifeste sur la théorie dans la préface. Il y a eu les naturalistes qui n’étaient pas d’accord avec les romantiques, le groupe de Médan. (*) LA RHÉTORIQUE : ensemble de procédés et

par Sophocle, par Corneille, par Racine, par Musset, par Claudel ? Le texte théâtral se distingue des autres textes littéraires par des traits spécifiques qui sont rappelés dans les chapitres 31 et 32. Si les chapitres 33 et 34 sont consacrés à l’objet d’étude inscrit au programme de la classe de Seconde, ils pourront être utiles en classe de Première car c’est bien souvent dans cette classe qu’on peut aborder avec profit les chefs-d’œuvre de Corneille, de Racine ou de Molière. 165 CHAPITRE

Ojéda. Le chamelier, Léon Adolphe Auguste Belly (1827-1877) © RMN/Droits réservés. Fantasia arabe, devant une porte de Mekinès, aquarelle d’Eugène Delacroix (1798-1863) © RMN/Jean-Gilles Berizzi. Homère, Iliade (VIIIe siècle avant J.-C.) Andromaque, en tenant dans ses mains la tête du valeureux Hector, commence les gémissements en disant : « Cher époux, tu es mort à la fl eur de ton âge, et tu me laisses veuve dans ton palais ! Ce fi ls si jeune, que nous fûmes assez malheureux pour mettre

relation entre ces deux termes: l'art doit être "un miroir de concentration" qui permet de donner une image de la nature plus expressive, plus intense (Hugo). Plus radicalement encore, c'est la notion même de réalité que met en cause Maupassant dans la préface de Pierre et Jean (" Quel enfantillage de croire à la réalité puisque nous portons chacun la nôtre dans nos pensées et dans nos organes"). Ainsi le romancier ne peut que "reproduire fidèlement [son] illusion" du monde. Poussant cette logique à son

plus d’informations, voir Magdalena Mazaraki (dir.), Écrits cinématographiques. Une nouvelle source de l’histoire. La photographie animée, Paris, AFRHC/Cinémathèque française, 2006. Textes de Luce Lebart, Magdalena Mazaraki et Béatrice de Pastre ; préface de Roland Cosandey. 18. Boleslas Matuszewski, Une nouvelle source de l’histoire, Paris, Imp. Noizette et Cie, mars 1898, p. 10. 19. Ibid., p. 9. cient d’une protection matérielle satisfaisante contre les atteintes du temps. des années 1930-1950

expressément mis en scène son absence, je vais en quelque sorte le faire revenir pour tenter de réinterroger ce qui est finalement l’énigme essentielle de la pièce à mes yeux : pourquoi l’auteur a-t-il refusé “d’écrire” les personnages ? Dans sa célèbre Préface à Six personnages en quête d’auteur, écrite quatre ans après la pièce, Pirandello explique qu’il n’a pas écrit l’histoire de ces six personnages parce qu’ils ne touchaient pas à l’universalité. Ils n’étaient donc pas de vrais personnages. Mais j’ai

recueillies dans une société, et publiées pour I'instruction de quelques autres’’ (1782) Roman épistolaire de cent soixante-quinze lettres, et 390 pages Les lettres sont précédées d'un ‘’Avertissement de l'éditeur’’ et d'une ‘’Préface du rédacteur’’. Le roman s’ouvre sur une lettre de la jeune Cécile de Volanges, qui va sortir du couvent pour être mariée à un certain Gercourt, par sa mère dévouée qui la surveille étroitement. Or la marquise de Merteuil, libertine masquée en