Premier Regard

souffle s’éteint. Mon œil dans ton œil est un bel assassin. Cette lueur dans mon œil retourne à sa nuit noire, Ça n’était qu’une lueur dans ton œil sans mémoire. Une lueur muette et que l’on voit sans voir Mon œil dans ton œil n’était rien qu’un regard

nouvelle forme poétique en écrivant Le Spleen de Paris. C’est de ce recueil qu’est extrait « Le Joujou du pauvre ». Il évoque la rencontre de deux enfants qui s’émerveillent à la vue d’un « rat vivant ». I) L’opposition des deux mondes II) Le regard du poète I) L’opposition des deux monde Il est aisé de noter que l’enfant riche et l’enfant pauvre, placés face à face, incarnent deux vies et deux mondes parfaitement antithétiques. L’antithèse est d’ailleurs soulignée par l’expression « ces

: « je croyais savoir ton bien et c’est raté » C’est par conséquent la méprise lorsque je prend l’autre pour mon semblable alors qu’il se situe au-delà de l’image qu’il reflète, c’est-à-dire qu’il échappe au miroir, ce qui demeure soustrait au regard tel un vide imprenable ; dimension énigmatique de l’autre. Cf séminaire VII sur l’Ethique de la Psychanalyse lorsque Lacan commente le précepte judéo-chrétien où il note le lien imaginaire qui est le seul qui peut faire barrage à la pulsion perverse

de la haine pour sa mère: la maléfique reine de la nuit et porte un drap rouge ce qui pourrait représenter la colère, la haine. Ainsi, le décor de la scène et plutôt restreint mais très expressif. Par cette simplicité, le spectateur porte donc un regard beaucoup plus critique sur le jeu des comédiens et sur la précision des gestes. Les comédiens sont en effet ici très précis dans leurs gestuel et chaque objet sur scène est placé de manière minutieuse, rien n'est laissé au hasard, surtout dans un

pour qu'une femme comme Roxane prête attention a moi. Mais qu'elle est belle, d'un parfums exquis et d'un regard tombeur. Mais comment puis-je ? En posant d'un mouvement brusque sa tête entre ces deux main. Je désespère ! Cria t-il. Pourquoi ne ressemble-je pas a cet homme ? Ce relevant. Je souffre, oui j'ai mal ! Cet amour si profond que j'ai pour elle, on cœur chantant croisant sont regard. Malheur, fureur, horreur, que fait-je encore ici ? J'ai perdu espoir, espoir qu'elle m'aime, volonté de

Le regard camera de Monika Parmi les nombreuses audaces de Monika, l’une a frappé plus que les autres l’attention des critiques de l’époque, et notamment de Jean-Luc Godard : le long regard de Harriett Andersson dans les yeux du spectateur, dans le bar, juste avant qu’elle ne trompe Harry. C’est le fameux « regard-caméra de Monika », l’un des gestes de mise en scène les plus fameux du cinéma, célébré comme un des actes de naissance du cinéma moderne. C’est pourtant loin d’être le premier

L'atelier du regard : Séance 1 « L'habitude tue souvent la clarté du regard » Marc de Smedt « L'art ne rapporte pas le visible, il rend visible » Paul Klee * Premier extrait : Monika d'Ingmar Bergman Nouvelle vague : début des années 60. La nouvelle vague c'est des nouvelles expériences par rapport au cinéma : tuer les maitres, faire d'autres choses avec la caméra avec peu de choses, peu de moyens. Une trentaine de cinéastes dans le monde (principalement francais, italiens) qui ont

l’université et obtient, un peu plus tard, une bourse pour partir à l’étranger. Il choisit la France et entre à l’IDHEC en 1984. Il réalise son premier long métrage "Chine, ma douleur" qui remporte le prix Jean Vigo 5 ans plus tard. Il écrit plus tard « Le Temple de la montagne », « Tang le onzième » et « Le Mangeur de lune ». En 2000, il ecrit son premier roman, ’Balzac et la petite tailleuse chinoise’, qui raconte son histoire a travers 2 amis qui se trouve forcée de faire le réeducation. L'histoire

traditionnel rendez-vous qui s'est tenu ce jeudi 2 octobre. C'est aux alentours de 9h30 que s'est ouvert la Journée des distributeurs de ce 69e Congrès des exploitants. Une ambiance aussi studieuse que réconciliatrice, après les échanges animés des premiers jours, habitait le grand auditorium du CID alors que Richard Patry, président de la FNCF, et Victor Hadida, son homologue de la FNDF, co-organisatrice de la journée, sont montés sur scène pour accueillir ensemble les accrédités. "Il est agréable

représente les soldats se préparant au combat, on ne peut pas voir leurs visages, Otto Dix rend les soldats anonymes. Aucun des uniformes est identifiable. Sur le panneau deux on peut voir des cadavres empilés les uns sur les autres, des entrailles au premier plan. Embroché au reste de la structure d’un bâtiment, on peut voir un squelette pointant d’un doigt accusateur le corps criblé de balle du cadavre de droite. On voit qu’un survivant avec un masque à gaz et un drap. Il est comme immobile. Le panneau