Premier Regard

eussé-je pu, si j’y voyais, regarder mon père et ma pauvre mère, alors que j’ai sur tout les deux commis des forfaits plus atroces que ceux pour lesquels on se pend ! Est-ce la vue de mes enfants qui aurait pu m’être agréable ?[…], il n’est point d’autre mortel qui soit fait pour les porter( voir texte annexe)» La lecture analytique, s’articule autour de deux axes : - I Le thème du regard - II La démesure tragique I Le thème du regard - Tout d’abord, le regard est le miroir de l’âme, c’est

de l’être a. la taille : haut, domine les autres (4, 34) b. les moustaches : soignées, associées au plaisir (mousse, 36) et à l’élégance (4, 35) c. les cheveux : blonds, frisés, coiffés à la mode des mauvais quartiers (35, 38) d. les yeux et le regard : bleus, clairvoyants (intelligence) 37 et cruels (coups d’épervier) e. les vêtements : à la mode, mais pauvreté visible (29, 33) par l’usure. Militaire. f. l’impression générale : séduction face à un bel homme ; malaise face à un homme brutal

impersonnel et qui peut appartenir à n’importe qui- cela peut vouloir dire qu’un œil est un œil tout simplement, et donc c’est la manière dont on les utilise qui compte. En plus, peut-être que démontre-t-il Magritte que le regard, tout autant que la toile elle-même, est essentiel sans regard, comme sans toile, ‘Le Faux Miroir’ ne pourrait pas être vu. Magritte attire certainement notre attention vers le centre, où il se trouve, le seul élément magrittien : le ciel nuageux. Pourtant, le pupille est-il quelque

donne un caractère viril. Bien que pauvre, il porte avec élégance ses vêtements de qualité médiocre : "un chapeau à haute forme", mais "défraîchi" et un costume bon marché mas qui attire l'œil. La séduction qui émane de lui est posée d'emblée par le regard que les femmes portent sur lui. Cependant, le comportement qu'il adopte révèle un caractère déplaisant, voire méprisable. Sûr de lui jusqu'à l'arrogance, il avance sans considération d'autrui, comme l'indiquent les participes présents "heurtant"

honte de moi devant autrui. C'est d'après ce principe qu'il fait la distinction entre l'être pour soi, l'homme est sujet, il a conscience de son existence et de sa liberté, il n'ignore pas qui il est, et l'être pour autrui, l'homme, projeté sous le regard des autres, le sujet devient objet, l'homme est considéré comme un objet par l'autre. L'homme n'agit plus librement, il agit en fonction des attentes d'autrui, il devient un objet des autres. L'homme est chosifié et est comme l'autre veut nous

retenu à la taille par une simple ficelle. Une chemise de lin entrouverte laissait apparaître un torse plutôt musclé. Il était réservé et calme, assis sur une chaise où il ne restait que quelques brins de paille. La jeune fille tenta de détourner son regard mais l’attention qu’elle portait à l’homme (qui se prénommait Marius) l’en empêchait. Elle restait là, captivée par sa bouche, cette magnifique bouche, logée entre ses lèvres, les plus vermeille, qui abritaient les dents les plus blanches du monde

en nous intéressant d'abord à son charme irrésistible avant des nous attarder sur son côté "femme fatale". I Les charmes irrésistibles de Nana Un portrait élogieux Focalisation interne → regard de Muffat L1 → Subjugué par la beauté de nana (ne peut détourner les yeux)L27 →Ne peut détourner le regard, comme si il s’agissait d’une œuvre d’art L11 ; L18  →Voc mélioratif qui mets en évidence la vigueur de son corps / la douceur de sa peauL35 ; 2L37 ; 39 ; 40 →Description de sa chevelure :

sur l'oreille son chapeau haute forme assez défraîchi, et battait le pavé de son talon. Il avait l'air de toujours défier quelqu'un, les passants, les maisons, la ville entière, par chic de beau soldat tombé dans le civil. ".   D'autre part, " Son regard de joli garçon " nous apparaît dans les premières lignes, et est repris à la fin du passage. Il englobe la vivacité de Georges DUROY, qualifiée comme " des coups d'épervier ". " Frisa sa moustache d'un geste militaire et familier " nous montre que

chances de résultats positifs x Le non verbal peut trahir Dire et faire ressentir c'est complètement différents, on peut très bien affirmer quelque chose et ne pas y croire, très souvent ce qui nous trahit c'est le non verbal. Transpirer, la façon de regarder, -La passivité, l'évitement et la fuite Attitude d'évitement, de passivité et de fuite Lorsque le problème nous paraît insurmontable nous adoptons une attitude de fuite afin d’éviter à y faire face. Nous pouvons partir du principe que cette

Comment cette scission en moi est-elle possible? Il faut supposer un troisième terme, un intermédiaire: l'idée d'autrui. La condition pour que je puisse ainsi m'observer, c'est que j'aie intériorisé le point de vue d'autrui, il faut que je fasse mien le regard d'autrui. Je dois me mettre à la place d'autrui, me voir comme autrui me verrait. Les autres ont donc un rôle fondateur dans l'acquisition de la conscience de soi. Il nous montre que la conscience de soi n'est pas innée, mais à acquérir- il faut la