Prendre Conscience Est Ce Se Libérer

que j’ai conscience d’être?Tout être humain s’interroge sur la nature de ce qu’il est. Tout d’abord, la conscience de soi est l’intuition qu’a l’esprit de ses états et de ses actes. La conscience est le fondement et la condition de toute pensée. Ce que j’ai conscience d’être est le résultat de l’observation intérieure de soi-même en vue de se connaître. Dans ce sujet, le « je » désigne toute personne douée de conscience. La conscience peut se définir par différents niveaux: la conscience immédiate

« Suis-je ce dont j’ai conscience d’être ? » Nous pouvons tout d’abord commencer par définir les différents termes du sujet , le « je » ici présent , désigne toute personne dotée d’une conscience et donc capable de se qualifier en disant « je ». La conscience de soi est l’intuition , la saisie spontanée qu’a l’esprit de ses propres actes . Le problème posé est de savoir si en tant qu’êtres humains nous sommes capables de percevoir sans failles tous les aspects de notre personnalité .Pouvons-nous

extérieur sans chaines. La seconde est la liberté de penser. Celle-là, nul ne peut nous la prendre à moins d’un lavage de cerveau ou d’une lobotomie. Si elle ne peut pas s’exprimer, la liberté physique est un leurre. Enfin, la Vraie liberté qui est l’aboutissement de la liberté de penser voir même une des raisons d’être est la liberté d’être Soi en s’élevant spirituellement. Elle permet d’œuvrer avec une conscience renouvelée et d’ouvrir de nouvelles portes. Par elle nous comprenons que « toi et moi ne

Descartes. C’est dire qu’on doit penser au rapport de l’homme à la nature non pas en termes de dépendance mais de maîtrise. Grâce à la technique, ce n’est plus l’homme qui est soumis à la nature, c’est la nature qui est soumise à l’homme. La technique libère l’homme en asservissant la nature. De même, l’affranchissement des contraintes liées au travail est rendu possible par la technique. L’Antiquité justifiait l’esclavage au nom de la nécessité de travailler, d’accomplir des taches d’entretien quotidiennes

n’est pas excès, puissance positive d’exister, d’affirmation de soi et de création. Le désir entraîne-t-il toujours notre dépendance, ou, puissance positive de réalisation de soi, est-il essentiellement liberté, intimement lié aux choix libres de la conscience ? Donnerait-il son sens à la vie ? De Don Juan qui « désire dans chaque femme la féminité tout entière » et dont justement le désir a cet effet séducteur, à la convoitise ou désir avide de possession d’une chose ou d’une personne, ou encore au

extérieure au désir. Elle s’impose au désir dans l’absolu et universellement. 4) La conscience La conscience est attention à soi, retour sur soi, réflexivité. a) Conscience et choix. Toute action spontanée ou choisie nécessite une conscience en éveil : je dois être absolument attentif à mon être, agir en conscience, pour effectuer une action qui dérive de mon libre choix (Bergson) b) Conscience et autonomie Si je prends conscience du fait que je possède un entendement, une pensée libre et autonome, alors

que l'homme peut entrer dans la sphère des désirs. Il ne peut s'intéresser à autre chose de plus important pour lui. Comme le dit Aristote « d'abord vivre en suite philosopher » il faut être tranquille du côté du corps et de ses besoins. Le travail libère l'homme de ses angoisses de ses interrogations métaphysiques,en occupant ses mains il occupe également son esprit comme le dit Pascal « le travail (les affaires) est une forme de divertissement » càd qui nous permet de nous détourner de ses questions

se sont donc battus pour liberté dite négative c’est-à-dire le fait de ne pas être empêché d’agir. Nous pouvons donc constater que dans ce cas-ci, c’est un « non », un refus, une révolte qui incarne la liberté. Cependant, peut être sans en prendre conscience au premier abord, c’est en voulant gagner une liberté négative que les iraniens ont perdu l’essentiel d’une autre liberté dite positive (c’est-à-dire la capacité d’agir, notamment en politique). En effet, malgré la violence du régime impérialiste

attentions particulières permettent quelque part de se donner bonne conscience. On culpabilise face à ces personnes. Alexandre était « convaincu d’avoir beaucoup de chance (amis, parents qui l’aimaient) « pourtant, à force de l’entendre mise en doute » il en doutait lui même et finissait par comprendre sa présence comme un échec. Aujourd’hui, la difficulté est d'être regardé comme un philosophe et pas comme l'handicapé de service. Se libérer de la foule de personnages qui coexistent en nous, c'est une des

réfléchissant sur ce qui différencie la conscience de l’animal et la conscience humaine. Car en effet s’il ne nie pas que l’animal ait une conscience, il insiste sur la différence entre celle de l'homme et celle de l'animal. Bergson parle en effet, dès les premières lignes de ce texte, d’une différence radicale entre ces deux formes de conscience. Par cet adjectif il laisse entendre que cette différence se situe véritablement à la racine même de la conscience et qu’elle ne relève pas du plus ou