Présidents de la République du Gabon

République gabonaise (fr) (Drapeau du Gabon)(Armoiries du Gabon) Devise nationale : Union, Travail, Justice Langue officielleFrançais CapitaleLibreville 0°23′24″N 9°24′7″E Plus grande villeLibreville Forme de l’ÉtatRépublique  - Président de la RépubliqueAli Bongo Ondimba Superficie  - Totale  - Eau (%)Classé 77e 267 667 km2 Négligeable Population  - Totale (2011)  - DensitéClassé 148e 1 534 300(2)[1] hab. 5,7 hab./km2 Groupes ethniques Indépendance  - DateDe la France 17

sur l’équilibre du pouvoir et la stabilité des Etats : les cas du Cameroun, du Gabon et de la République du Congo Eglise de réveil à Franceville, Gabon, juin 2012, (photo de l'auteur). Mélanie Soiron Fallut Anthropologue Juillet 2012 Table des matières INTRODUCTION ....................................................................................................................... 2 I - LES ÉGLISES DE REVEIL AU GABON ............................................................................

France ne purent s'y résoudre car ils voyaient en leurs colonies l'élement stratégique permettant le retour de leur puissance passée.Mais face aux crises Indochinoises (1946-1954) puis Algeriennes (1954-1962) qui entrainèrent la chûte de la IVème République, la France du Général de Gaulle se retrouva dans l'obligation de s'engager dans ce processus libérateur.La France tenta de conserver son influence sur son ancien Empire colonial .Cette tâche incombera à Jacques Foccart (1913/1997), ancien résistant

contenu des textes et normes de valeur constitutionnelle énumérés dans le préambule ( cour constitutionnelle du Gabon, décision n°001/CC du 28 février 1992) Les traités et accords internationaux ne prennent effet qu’après avoir été ratifiés et publiés (article 113 de la constitution). Des lors que ces conditions sont réunis, ils créent un droit qui a autorité au Gabon. Dans la hiérarchie des textes, la place reconnue aux traités se situe immédiatement après la constitution, à laquelle

| |Langue coloniale: français | |Système politique: république | |Articles constitutionnels (langue): article 2 de la Constitution du 23 juillet 1995 | |Lois linguistiques:

autre temps », les « émissaires officieux », les « complaisances », les « secrets »  et les « ambiguïtés » que dénonçait en 2006 Nicolas Sarkozy, chantre de la « rupture », alors qu’il n’était encore que candidat non déclaré à la présidence de la République française. Avec la mort en juin 2009 d’Omar Bongo, dinosaure de la Françafrique triomphante, une page d’histoire semble définitivement tournée. Il est vrai que depuis la fin de la guerre froide, les « relations  privilégiées » que la France entretient

dans ses anciennes colonies ? Pour quelles raisons le gouvernement français reçoit-il régulièrement, avec tous les honneurs de la République, des dirigeants africains parvenus au pouvoir par des coups d'Etat ou des élections truquées ? En 1998, François-Xavier Verschave, alors président de l'association Survie*, publie La Françafrique, le plus long scandale de la République. Cette enquête dévoile la face cachée des relations franco-africaines : la confiscation des indépendances, le pillage des matières

commercialiser un produit qu'ils ne font qu'ex traire des carrières mais qu'ils ne convoient pas. C'est comme si l'on attendait les alouettes tomber toutes rôties du ciel, sans rien faire. A tout le moins, c'est au cours de la visite d'Etat qu'ef fectue le président de la Répu blique en France que nous apprenons qu'un deuxième consortium est en train de voir le jour. De celui là, aucune information ne transparaît. Une autre information fait état du désormais individualisme de mise dans cette affaire. C'est à

sommes d’argent colossales irriguent clandestinement des réseaux d’enrichissement personnel et de financements de partis politiques. Le film donne la parole aux hommes de l’ombre, chefs des services secrets français, hommes de main au service de la République, baroudeurs du continent noir et à des acteurs historiques français qui ne s’étaient jamais exprimés : "Messieurs Afrique" de l’Élysée, ambassadeurs, ministre de la coopération, etc. Avec, par ordre d’apparition : Maurice Delaunay Formé à la Coloniale

seize chambres effectivement mises en place, onze l'ont été pour la première fois au cours des années 1990. Ainsi seize États ont un système bicaméral en fonction : l'Afrique du Sud, l'Algérie, le Botswana, le Burkina Faso, l'Égypte, l'Éthiopie, le Gabon, la Jordanie, le Lesotho, le Liberia, le Maroc, la Mauritanie, la Namibie, le Nigeria, le Swaziland et le Yémen. Il est à cet égard révélateur que l'institution des Sénats se soit inscrite dans le cadre des processus de démocratisation des pays africains