Prétérition

plus de panse» (v. 13), voire: «se voit sans scandale», v. 19 (car la nudité est obscène pour la bonne bourgeoisie), souligné par les sifflantes sourdes [s], et la voyelle [a], deux fois nasale: n’est pas là un moyen de mieux souligner, comme par prétérition, la disparition du sexe? Présence donc du poète! Présence de sa verve caustique: 8, 12 (obsession par-delà la mort!), 13, vu l’antiphrase: gais danseurs, 18… voire anti-cléricale: 32, même férocement athée: 7 car Satan a un comportement sans noblesse

haletant qui suscite l’attention du locuteur et du lecteur Adresses à Derville, image du lecteur et volonté de le convaincre de la réalité de son récit le « Monsieur » initial repris l.118 et en dernier mot du texte ; les « vous » l.85-86 et la prétérition « dont je ne vous donnerais pas une idée en vous entretenant jusqu’à demain » ; intervention du locuteur intégrée au récit : « Vous me direz que j’avais trois bras ! » Appel à l’imagination du locuteur : « que vous devez concevoir » l.115 convaincre

de produire un effet de quantité ou de variété). LA GRADATION : consiste à accumuler des termes de même nature, dont l’intensité est croissante ou décroissante. ex : J’ai six ans, l’année prochaine j’en aurai sept et puis huit, neuf et dix. LA PRÉTÉRITION : elle consiste à faire semblant de ne pas vouloir dire quelque chose alors qu’on est justement en train de le faire. II. Les figures d’amplification / d’atténuation : Les figures d’amplification consistent à accentuer la force ou la violence

paroles et des pensées rapportées au style direct, indirect et indirect libre, et une courte citation d’un autre roman, qui au lieu de l’inscrire dans une continuité littéraire, marque avec humour une rupture. Le narrateur emploie également la prétérition (lignes 35-36). La ponctuation et les codes typographiques (parenthèses, italiques, guillemets) marquent continuellement des ruptures, des suspensions. Le point de vue est constamment interne, mais les hésitations du narrateur (rêve ou réalité ;

pleuré .Elle l’avait fait sans montrer ses larmes , parce qu’il était chinois et qu’on ne devait pas pleurer ce genre d’amant »(moment d’adieu p.135) , la forme même de l’insulte (l’adjectif « sale ») , les injures suggérées par le procédé de la prétérition (p.72) , la provocation permanente, la quarantaine subit par les proches . Dans ce contexte inégalitaire de l’Indochine coloniale , seule la loi du désir fait œuvre de justice : elle subvertit l’ordre social , attire les contraires

parlementaire et lui impose la réalisation de son programme par Gouvernement interposé. (Pierre avril « par une métonymie réductrice, le gouvernement identifie ainsi la majorité Parlementaire à l’une de ses parties, tandis que la minorité es traitée par prétérition »). De cette façon, il n’existe pas de vraie d’opposition au gouvernement, et le parlement devient plutôt une chambre de validation de l’exécutif. C’est ce qui est appelé « fait majoritaire » : c’est le fait, pour le Président de la République,

affirmées notamment à partir de la ligne 38 : absence de fidélité dans le couple, lâcheté à la guerre, goût du vin et, ce qui doit choquer le plus, lignes 34-35, l’idolâtrie et les sacrifices humains (Sépulvéda a recours alors au procédé rhétorique de prétérition, qui joue ponctuellement un rôle persuasif : « Je ne reviens pas sur les sacrifices humains… »). 3. Sa stratégie et ses tactiques. Au départ, Sépulvéda mise avant tout sur le poids de l’accumulation de preuves (preuves demandées par le cardinal

est à la fois impérieux (il emploie l'impératif « ne songez plus » vers 26, « souffrez qu'on vous propose » vers 30) mais aussi bienveillant : il commence par une question rhétorique (vers 25), il poursuit avec des précautions oratoires (voir la prétérition vers 27 à 29) avant d'énoncer son projet (vers 31 : « un époux beau, bien fait, jeune, et tout autre chose »). Son argumentation est donc progressive et douce (allitération en « s » + rimes féminines) à l'image de son idéal de modération. Les parallélismes

Ainsi la tournure négative abonde dans cet extrait, avec des passages remarquables (p. 178, l. 2123), où la force de l'expression culmine dans une gradation puissante, soulignée par un rythme ternaire ; ou encore des formules qui sont proches de la prétérition : "Mon passé n'a besoin d'aucune apologie" (p. 177, l. 24), alors que c'est en définitive le sujet essentiel de Notre Jeunesse. Les affirmations prennent alors quelque chose de frappant, ainsi mises en relief par la brièveté des propositions et

commence par lui adresser une  série de questions rhétoriques qui révèlent le trouble de ses pensées : elle s'interroge en effet , d'emblée, sur l'authenticité des sentiments qu'il manifeste à son égard. Curieux qu’elle réponde, sorte de prétérition( je ne veux/ dois pas mais je le fais).° C'est bien la peur qui est présentée, ici avec le verbe "craindre "  comme le sentiment dominant ;=>> domine la peur de faillir de manquer à ses devoirs de femme vertueuse et mariée.  «  Croire à vos