Prévention secondaire

MINISTERE DE LA SANTE DE LA POPULATION ET DE LA REFORME HOSPITALIERE DIRECTION DE LA PREVENTION COMITE DE COORDINATION NATIONAL ALGERIE (CCM ALGERIE) Appui du Fonds Mondial à l’initiative algérienne pour la mise en œuvre du Plan d’Action de lutte contre les IST/VIH/SIDA MANUEL DE PROCEDURES NOVEMBRE 2004 1 INTRODUCTION Après validation de la proposition qui lui a été soumise par l’Algérie, le Fonds Mondial de Lutte contre le VIH/SIDA, le Paludisme et le Malaria vient d’accorder

ou l’infirmière participe à différentes actions, notamment en matière de prévention, d’éducation à la santé et de formation ou d’encadrement. » Art L.4311-1 du CSP. « L’exercice de la profession d’infirmier ou d’infirmière comporte l’analyse, l’organisation, la réalisation de soins infirmiers et leur évaluation, la contribution au recueil de données cliniques et épidémiologiques et la participation à des actions de prévention, de dépistage, de formation et d’éducation à la santé. Dans l’ensemble de

mort du détenu Risque de contamination virale par échange de seringues artisanales, rapport sexuel non protégé u parloir, tatouages sauvages. Circulation de produits illicites. MISSIONS ET ROLE DE L’INFIRMIERE : Rôle de soins Rôle de prévention Rôle dans la continuité des soins Au sein de l’UCSA, il y a différents soins : Soins dentaires dispensés par un dentiste Soins médicaux Soins infirmiers : du rôle propre et du rôle sur prescription Dans le rôle de prescription de l’ide

rhumatoïde (très invalidante). * L’insuffisance cardiaque (2% de la population). 6/ La prévention : Le coût humain, social et économique des maladies cardio-vasculaires en France est énorme car : * 1ère cause de décès * Coût important de : * Consultations et d’hospitalisations * Handicaps * Problèmes familiaux * Problèmes financiers Il existe plusieurs formes de prévention. a) Le programme national de réduction des risques cardio-vasculaires : Il s’agit :

2- Quelques exemples p3 I – CAUSES DE VIOLENCES URBAINES: 1- Augmentations et causes p4 - Etude de cas : La violence engendrée par les médias p5 II – PREVENTION : 1- Politique p9 2- Partenariat - Les conseils communaux de prévention de la délinquance (CCPD) p10 - Les conventions p10 - Les groupes locaux de traitement de la délinquance (GLTD) p10 3- CLS p11 4- Polices Municipale

Observe-t-il l’environnement ? Range-t-il le matériel inutile ? IRFSS CRF Site de Lons-le-Saunier Groupe de travail sur le guide d’utilisation du portfolio 2010/2011 Pertinence dans l’identification des risques et adéquation des mesures de prévention Explique les risques liés à la situation Exemples : Risques fausse route, suicide, fugue, chute, phlébite, escarres, déshydratation, douleur…. 8 IRFSS CRF Site de Lons-le-Saunier Groupe de travail sur le guide d’utilisation du portfolio

Dépister tôt, pour traiter mieux Dès 50 ans, c’est tous les 2 ans Malgré la connaissance des principaux facteurs de risque et des essais en cours de prévention médicamenteuse assez prometteurs, il est impossible d'éviter la survenue d'un cancer du sein. Le mieux reste encore de dépister la maladie le plus rapidement possible, de façon à simplifier les traitements et accroître considérablement les chances de guérison. Le but du dépistage est de détecter parmi les personnesa priori non malades celles

l’enfance à créé un Observatoire de l’enfant en danger, charger d’améliorer les connaissances sur la maltraitance et sa prévention, et d’améliorer la protection des acteurs sociaux soumis au secret professionnel qui procèdent à un signalement. En 2007, la réforme de la protection de l’enfance à créé un observatoire départemental de la protection de l’enfance, renforcer la prévention, améliorer le dispositif de signalement et diversifier les modes d’intervention auprès des enfants. 2. Procédure

------------------------------------------------- SOMMAIRE PROBLEMATIQUE ET AXES DE TRAVAIL 1-2 « Comment un produit dit "novateur" peut-il être remis en cause ? » ARTICLE PRINCIPAL * « Alicaments : info ou intox ? » 3 RESUME DE L’ARTICLE 5 ARTICLES SECONDAIRES * « Les potions magiques de Danone » 6 * « Une barre chocolatée Mars entre en pharmacie » 10 CHOIX DES ARTICLES 12 DOCUMENTS ICONOGRAPHIQUES * « ça... c’est encore un coup du KOP LECLERC ! » 13 ANALYSE 13

IFSI Infection Nosocomiale-Hygiène CLLIN et UHLIN Hôpital Saint-Antoine Janvier 2010 PLAN • • • • • Généralités sur les infections nosocomiales Les indicateurs de suivi des infections nosocomiales Les mesures de prévention – La prévention des infections urinaires nosocomiales, CVC, Pneumopathie et des infections de site opératoire – La surveillance et le signalement des infections nosocomiales – Les précautions « standard » – L’hygiène des mains – Les risques professionnels liés aux accidents