Prime de risque

de celui-ci. Dans ce contrat le risque à protéger c’est le transport par mer, ces bateau nécessitaient de gros financement et les marchands se tournaient vers les banquiers. Ces derniers vont avoir l’idée du « prêt à la grosse aventure » = contrat de prêt (banquier finance l’expédition), les banquiers spéculaient sur le résultat de l’expédition  si le bateau n’arrivait pas à bon port, le banquier acceptait de ne jamais être remboursé, il acceptait donc le risque de la perte ; à contrario si l’expédition

d’exercice. C’est une couverture optionnelle et non ferme qui en cas de hausse des cours fixe le prix moyennant la prime ; en cas d’option de gré à gré la couverture est adaptée aux besoins (sur-mesure). Elle est très efficace et contractuelle. En cas de recours aux marchés organisés d’options on dispose d’un produit très liquide (négociable à tout moment, revendable) et sécurisé (pas de risque de contrepartie, de liquidité). 2) Une option est dite en dehors la monnaie si le cours est inférieur

Droit des assurances : KETTANI INTRODUCTION Le droit des assurances est très récent et c’est une discipline qui est née d’un certain besoin (lorsqu’on a cherché à se prémunir contre les risques). L’assurance en tant qu’industrie est une technique relativement jeune. L’assurance est une activité qui naît du développement économique mais qui y contribue aussi. Son apparition est à peu près estimée à la fin du moyen âge. Sur le plan de la matière, l’assurance fit son apparition dans le cadre

étaient sous facturés (succession; incident...). De nouveaux services ont été crées lié à l'intermédiation: les services de conservations de titre, le placement des titres, la gestion pour compte de tiers, la vente des instruments de couverture des risques et des montages financiers faits par la banque. c. La titrisation et le rôle des marchés financiers Le PIB mondial 60 000 milliard de dollars. Transaction sur les marchés 10 000 milliard de dollars par jour. Ces marchés sont principalement

moyennement le paiement d'une prime‚ de réaliser jusqu'à une certaine échéance‚ avec celui qui lui a vendu l'option et qui encaisse la prime une transaction dont les conditions ont été prédéfinies. Il est clair que le détenteur‚ à l'échéance‚ n'exercera son option que s'il y a intérêt‚ à savoir si les conditions prédéfinies de la transaction sont plus favorables pour lui que celles qui prévalent à cet instant sur le marché. Fondamentalement‚ le détenteur de l'option risque au maximum de perdre le

SOMMAIRE Introduction Partie1 : généralité sur le risque de change A / la notion du risque de change * 1 / notion du risque * 2 / le risque en finance * 3 / le risque de change B / les stratégies de couverture * 1 / la non couverture * 2 / la couverture systémique * 3 / la couverture sélective Partie2 : les moyens de couverture contre le risque de change A / les moyens externe * 1 / le contrat de change à terme * 2 / les options

Ce résultat est le RBE (Résultat Brut d'Expl) - amortissements coefficient d'exploitation : frais généraux/PNB = 60% → 78% + c'est petit, - je dépense Résultat d'exploitation est obtenu à partir du RBE – créances douteuses (coût du risque) puis + ou – gains/pertes sur actifs immobilisé = résultat courant avant impôt Tout client est noté car on nous impose de prendre en compte ratios de solvabilité. Solvabilité : Accords Bâles 1988 : Bâles 1 (13 gouverneurs de banques centrales

Risque de change • Importations ou exportations facturées en monnaies étrangères • Emprunts ou prêts libellés en monnaies étrangères Risque de marché : Le risque d’une baisse générale des cours des actions entraine Récession économique, hausse des taux d ’intérêt... Quels sont les mécanismes et les instruments de couverture de risque? Comment fonctionnent-ils? Première partie: Les produits dérivés : 1. Futures 2. Options 3. Forwards 4. Swaps Deuxième partie: Exemples de marchés dérivés

remboursement. Il se pose alors la question du traitement de la prime de remboursement, c’est-à-dire un problème d’appréciation du montant de la dette à reconnaître à l’origine. Les solutions françaises ne s’appuient pas sur des règles comptables spécifiques, Résumé de la 1re partie En règles françaises, les emprunts obligataires convertibles font l’objet d’un traitement identique à celui des obligations ordinaires, sauf s’ils sont assortis d’une prime de rembourse ment. Dans une telle hypothèse, deux approches

milliards à mi-2012 - soit une baisse, en 6 mois, de seulement 0,9%3. Principe[modifier | modifier le code] À l'origine, les produits dérivés ont été créés pour permettre aux entreprises de se couvrir contre différents types de risques financiers. Le premier a été le risque de cours desmatières premières. Par exemple, un fabricant de confiture s'engage sur un prix constant sur l'année, il ne peut donc pas répercuter les fluctuations du prix du sucre sur celui des pots de confiture. Quand il détermine