Primogéniture

une fois dans l’histoire du royaume de France au moment de la minorité de Louis XV qui a eu accès au royaume de France à 5 ans, de santé fragile donc beaucoup redoutait la mort très rapide de celui-ci, or en cas de mort de celui-ci, la loi de primogéniture appelait au trône Philippe (petit fils de Louis XIV et roi d’Espagne), personne de remettait en cause son acception au trône sous peine d’une loi de nationalité même si elle aurait pu être utilisé, preuve qu’elle n’existait pas ! C’est admettre

l’application de la loi Salique qui excluait les filles de toutes successions. L’autre principe qui régit la succession est celui de l’hérédité. Il permet d’assurer que le royaume ne soit dans délaissé dans des mains étrangères. Il y a également la primogéniture qui est à prendre en compte: c’est donc le fils ainé qui est prioritaire à la couronne. Une fois c’est étapes respectées, le nouveau roi est placé au sommet de la pyramide sociale. II- Le roi : au sommet de la pyramide sociale. Le roi

s’observe essentiellement en France, de part une certaine « déchristianisation » suite a la révolution républicaine et laïque de 1789, dénoncée par l’Eglise. Mais cette baisse de la natalité est en vérité en très grande partie due à l’abolition de la primogéniture masculine. En effet, le code civil Napoléonien de 1804 rend égalitaire tous les enfants d’une même succession en matière d’héritage. Par conséquent les français vont volontairement ne plus avoir de relations sexuelles car il ne veulent pas que

empiriquement ces lois fondamentales. Ces lois fondamentales traitent du statut monarchique, plus particulièrement de la couronne. La transmission de la couronne est une règle ancienne, la première règle statutaire est posé au début du 14e siècle réglé de primogéniture masculine. A la fin du ? Période capétienne, dynastie capé qui prend la main et restaure l'idée d'état, au 12e siècle royaume qui prend ses contours quasi définitif, reconquête royale qui est soutenu par un miracle de filiage, depuis l'an 1000

s’établit sont sa propriété. A la mort de celui-ci, le territoire étant considéré comme appartenant au défunt roi, il est réparti de manière égale entre les fils du roi selon la loi salique qui écarte les filles de l’héritage. Aussi, la loi de primogéniture qui accorde la majorité des legs à l’ainé des enfants ne s’appliquait pas chez les francs. Ce principe de legs va progressivement affaiblir les mérovingiens qui seront alors remplacés par les Carolingiens. Un autre type d’influence germanique est

avoir été élu. A partir de Philippe Auguste qui est sacré après la mort de son père, cette élection disparait. L’élection et le sacre par anticipation disparaissent. Les deux règles de succession sont l’hérédité de la couronne et le principe de primogéniture. Jusqu’en 1314, ce système fonctionne parfaitement dans la mesure où tous les rois ont des fils pour leur succéder. Mais les enfants de Philippe le Bel meurent successivement en ne laissant pour héritiers que des filles. Ces filles sont exclues

empereur, Louis le Pieux avait deux autres fils légitimes nommés Pépin et Louis. Pour la première fois, les enfants bâtards sont exclus de la succession au trône suite à l'élaboration de l'Ordinatio Imperii. Par contre, la succession par règle de primogéniture masculine est toujours d'actualité dans cet acte législatif. Pépin et Louis reçoivent comme distinction "le titre royal". Effectivement, Pépin, le cadet va gouverner l'Aquitaine et Louis, le fils "homonyme" et benjamin de Louis le Pieux, dirigera

suivi étaient éphémères et peu organisés et n’avaient que peu de ressemblance avec le concept moderne de l’État. Même le royaume de Charlemagne était chancelant. Il a été dissous en trois royaumes par le Traité de Verdun en 843, la règle de la primogéniture n'ayant pas encore été établie. Ceux-ci étaient plus de vastes possessions de terre que de véritables royaumes. De nouveau, l’État est devenu l’expression d’une vaste possession de terre. II-2- De l’État féodal à l’État moderne : L’absence de

avons étudié la concision de ce récit. La même brièveté se retrouve dans les personnages. Les personnages n’ont pas de nom, sauf l’ainée : « Fanchons ». Les personnages sont identifiables par des éléments familiaux : sœur, mère, père, fille. Primogéniture : indication de l’ordre de naissance. L’ainée d’un côté, la cadette de l’autre. Le caractère conventionnel de cette référence : L’ainée est préféré, la cadette pourtant meilleure est délaissé. Le père disparu ne compte plus de façon négative à

verse au roi. B) L’apanage L'Edit, ici, ne fait que codifier des règles coutumières 1) Le principe de l’apanage Depuis longtemps, le royaume est indivisible, cependant, selon Robert le pieux, pour faire accepter à ses fils la loi de primogéniture, il faut que les "enfants de France" est une situation décente et un établissement convenable. C'est pourquoi le roi laisse par testament à ses fils "puinés mâles" et à ses filles ( les enfants du roi en dehors de l'ainé) des fiefs du domaine qui