Princesse De Cleves Jansénisme

Lecture analytique n° 1 : La princesse de Clèves- Mme de La Fayette (1678)- p50-51 Investigations périphériques :  17ème siècle, classique  Le théâtre, tragédie  Texte moralisateur (fable, …)  Texte publié de façon anonyme  Roman historique/analyse psychologique  Résumé En trois nous en tant que M une œuvre en 10 ans que Investigations étude linéaire :  Première partie : ligne 1 à 3, arrivée à la cour  Hyperbole  « il parut » « donna »  passé simple  « alors »

Fnncese’ 2000,15 205 215 JSSN 1139 9368 Philosophie et littérature au XVIIe siécle (II): la théorie des passions de Pascal dans La Princesse de Cléves de Mme de Lafayette JESÚS CAMARERO-ARRtBAS Universidad del País Vasco-Euskal Herriko Unibertsitatea In memoriam Isabel Herrero 1. INTRODUCTION A l’époque oú Mme de Lafayette écrivait son roman principal, La Princesse de Cléves (1678), elle avait déjá lu le Discours de la méthode (1637) et le Traité des passions de 1 ¿¿me (1649) de René Descartes, ainsi

La Princesse de ClèveLa Princesse de Clève est un roman psychologique écrit par Marie Madeleine de La Fayette, auteure française du 17ème siècle, et publié anonymement en 1678. Il s’inscrit dans le mouvement du classicisme. Son œuvre est considérée comme le premier grand roman de la littérature française car il est le premier qui dote son héroïne d'une psychologie complexe dans un cadre historique bien défini, celui de la cour des Valois de Henri II. Il met en scène la demoiselle de Chartres, qui

KlinkertMadame de Lafayette – La Princesse de Clèves (1678)À la cour du roi Henri II, il se passe beaucoup de choses et les commérages vont bon train. Il y règne un réseau de coalitions et d'inimitiés. Mademoiselle de Chartres arrive à la cour avec sa mère et le prince de Clèves tombe amoureux de la jeune femme, mais pas elle. La princesse de Clèves rencontre ensuite le duc de Nemours et tous deux tombent amoureux, mais ne cèdent pas à la tentation. Lorsque la princesse avoue à son mari ses sentiments

Commentaire de texte – La princesse de Clèves (portrait) , Madame de La Fayette Introduction : La princesse de Clèves est un roman historique d’analyse écrit par Madame de La Fayette en 1678. Il est fondateur du roman moderne car c’est la première fois que l’héroïne possède une épaisseur psychologique complexe. L’histoire se déroule à la cour d’Henri II, puis de François II au 16ème siècle. Le texte qui nous intéresse se situe au début du roman. Il décrit la première apparition de Melle de Chartres

où il voyagea en Europe, notamment en Angleterre, il retourna à la suite de son exil au sein des bénédictins. Il a écrit quelques romans dont « l’histoire générale des voyages en 15 tomes ». Et fut notamment influencé par la théorie religieuse du jansénisme (Dieu détient le destin des hommes, l’humain étant ainsi dépourvu de droits, fatum en latin). Le roman dont le texte est issu fut publié en 1753 après 2 censures consécutives. Le roman relate la passion du chevalier Des Grieux avec Manon, personnage

le triangle amoureux (prince / princesse / Nemours) est déjà en place, mais la jeune madame de Clèves est encore sous l’influence déterminante de sa mère, madame de Chartres ; c’est elle qui s’occupe du mariage de sa fille et qui perçoit

classicisme dans la sphère picturale sont atypiques : Nicolas Poussin et Claude Gelée, dit le Lorrain, ont fait carrière à Rome, quant à Philippe de Champaigne, s'il fut sous Louis XIII et la Régence un peintre proche du pouvoir, son rapprochement du jansénisme persécuté par Louis XIV l'éloigne, à la fin de sa vie, et du souverain et de l'Académie. Ordre, clarté et simplicité,telle est la notion de classicisme dans la peinture française du XVIIe siècle essentiellement incarnée par un peintre qui

leur vertu. Ils ne sont pas totalement pessimistes car ils croient que la nature humaine n’est pas totalement corrompue. 1) le Jansénisme. Racine lui, est profondément pessimiste : l’homme est esclave de sn amour propre et de ses passions qui sont mauvaises. La raison et la volonté sont impuissantes à les contrôler. On trouve là les idées de Pascal et du jansénisme. Désormais il fat quitter le monde et ses tentations pour échapper aux pêchers. Ainsi Racine renonce au théâtre. Sous cette influence

principales œuvres philosophiques. Des genres nouveaux (ré)apparaissent : les lettres, les maximes et les portraits. La marquise de Sévigné (1626-1696) publie ses Lettres qui sont les chroniques de la Cour. En 1656, Blaise Pascal (1623-1662) défend le jansénisme (doctrine selon laquelle nul ne peut être sauvé sans l'intervention de la grâce divine ; cf. Gallica.bnf.fr/.../LitXVII7.htm) avec Les Provinciales. La Rochefoucauld (1613-1680), avec ses Maximes et sentence morales (1664) et Jean de La Bruyère