Principauté de Stavelot-Malmedy

reliées avec celles du barrage de la Gileppe située à environ dix kilomètres. On trouve aussi le fameux lac de Robertville, lac de barrage lui aussi, de type poids-voûte, qui domine la Warche à 55 mètres, fut créé en 1928 pour fournir la ville de Malmedy en eau potable et alimenter la centrale électrique de Bévercé par une canalisation de 5,4 km. Tous ces lacs et leurs impressionnants barrages sont autant de réservoirs d’eau potable, centres nautiques et sportifs, mais aussi sites de villégiature

du nord-est du royaume appartenant à Charles le Chauve comptait une population parlant un ensemble divers d’idiomes romans et germaniques. 3 L’époque de la fragmentation politique (Moyen Âge) Au cours du Moyen Âge, se créèrent de nombreuses principautés indépendantes (Basse-Lorraine, Liège, Tournai, Cambrai, Malines), de duchés (Brabant, Luxembourg, Limbourg) et de comtés (Flandre, Hainaut, Namur, Artois, Louvain, Bruxelles, etc.), qui se multiplièrent au IXe et au Xe siècles et réussirent à obtenir

vandernootiste/statiste, soutenu par le clergé, les métiers et la noblesse, il est favorable au retour des anciens privilèges (conservateur). 3. Velbrück : Prince-évêque de la principauté de Liège du XVIIIe. Franc-maçon et très apprécié du peuple, il meurt peu de temps avant la révolution liégeoise. 4. Hoensbroeck : Prince-évêque de la principauté de Liège du XVIIIe. Il s’oppose fermement aux idées des Lumières pour réaffirmer et augmenter son pouvoir, c’est avec lui que commence la révolution liégeoise. 5

vandernootiste/statiste, soutenu par le clergé, les métiers et la noblesse, il est favorable au retour des anciens privilèges (conservateur). 3. Velbrück : Prince-évêque de la principauté de Liège du XVIIIe. Franc-maçon et très apprécié du peuple, il meurt peu de temps avant la révolution liégeoise. 4. Hoensbroeck : Prince-évêque de la principauté de Liège du XVIIIe. Il s’oppose fermement aux idées des Lumières pour réaffirmer et augmenter son pouvoir, c’est avec lui que commence la révolution liégeoise. 5

sera déterminante pour la christianisation des populations. L’œuvre des missionnaires fut largement complétée par celle des monastères fondés au cours du viie et au début du viiie siècle : Saint-Maximin de Trèves par Dagobert Ier (633), Stavelot-Malmédy par saint Remacle (vers 650), Andagium par Bérégise (687), aumônier de Pépin II de Herstal. Andagium deviendra l’abbaye de Saint-Hubert quand on y transféra en 824 les ossements de l’évêque de Liège, Hubert, saint patron des Ardennes. Vers

passèrent sous domination française puis néerlandaise, avant de devenir indépendants en tant que « Belgique ». Finalement, en 1839, une partie de la Belgique forma un nouvel État : le Grand-Duché du Luxembourg. Il faut également distinguer la Principauté de Liège qui eut un destin totalement indépendant de celui des Pays-Bas (du Nord ou du Sud), jusqu'à leur intégration dans la République française en 1795. Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code] La plus ancienne trace de présence

en partie possédé par la monarchie espagnole. Ils correspondraient aujourd'hui approximativement à une grande partie du Nord-Pas-de-Calais, à la Belgique (à l'exception de la principauté de Liège, de la principauté de Stavelot-Malmédy et du duché de Bouillon), au Luxembourg et aux Pays-Bas actuels. Ces différentes principautés, qui avaient été peu à peu rassemblées par les quatre ducs de Bourgogne successifs, sont passées par héritage à la maison de Habsbourg du fait du mariage de l'empereur Maximilien

locaux), bien que la France aura vocation à rassembler le premier (dans l’espace historique et géographique gaulois) et la Prusse l’occasion de réunir le second (en compétition avec l’Autriche). De même, nombre des entités féodales, comtés, duchés, principautés et autres seigneuries, qui se partageront l’espace belge, et ce jusqu’à la Révolution française, ignoreront la limite linguistique entre le nord germanique et le sud latin, comme il en allait des circonscriptions religieuses. Car ces entités étaient

professeur à l’Université de Gand puis de Liège, trois directions s’offrent à ceux qui souhaitent écrire cette histoire :
- retracer nos annales en fonction de l’unité politique réalisée en 1830; - considérer la diversité politique que représentent les principautés jusqu’à la fin de l’Ancien Régime; Synthèse de l’introduction (4) - s’inspirer du dualisme linguistique et culturel qui caractérise la Belgique.
Le grand historien de la Belgique, Henri Pirenne (1862-1935) a fait le choix de la première

gaulois. 1. Toponymie. 2. Hydronymie. Rev. des Etudes anciennes LXII (1960), 388-390. 608. P.-M. DUVAL, Observations sur les dieux de la Gaule. Rev. d'Hist. des Religions CXLV (1954), 5-17. 609. Q. ESSER, Beiträge zur gallo-keltischen Namenkunde. Malmedy, 1884, IV-120-VIII pp. Archives nationales - 37 - 610. K. VON ETTMAYER, Gallische Ortsnamenforschung I (1925), 22-45. und nichtgallische Ortsnamen. Zeitschrift für 611.* C. GALLI, Essai sur le nom et la langue des anciens