Principe de Peter

Le principe de Peter Chaque employé tend à s’élever à son niveau d’incompétence Le livre du même titre, écrit par Laurence J. Peter et Raymond Hull, est paru aux U.S.A. en 1969. Trente ans plus tard, il n’a pas pris une ride1. Comme le dit le dos de couverture de l’ouvrage : Le principe de Peter vous plongera dans l’émerveillement en vous faisant découvrir que votre patron, votre chef de service, votre contremaître… sont moins compétents que vous ne le croyez. Vous serez étonné de constater que

l’Information et de la Communication Licence 2 (Anné 2010-2011) Mémoire Auteur : AITCHOUT MYRIAM groupe 23  Chargé de travaux dirigés : Mr J. BEJAOUI Table des matières Mes Documents Word 3 Ma fiche étudiante. 3 Le principe de Peter 4 Jules et Jim 5 Curriculum vitae sans mise en page 6 Curriculum vitae avec mise en page 7 Le poste de travail 8 Mes Documents Excel 9 Ventebo 9 La facture 10 Le laboureur 11 Mon emploi du temps 12 Mes Documents Word Ma fiche étudiante

LES FICHES DE LECTURE DE LA CHAIRE D.S.O. Ndosseta KIMBI Cycle C - CNAM, Mai 2002 Laurence J. PETER et Raymond HULL « LE PRINCIPE DE PETER » ou pourquoi tout va toujours mal Traduit de l’Américain Par France-Marie WATKINS Editions Stock 1970 Sommaire I - Les auteurs II - Questions III - Postulats IV - Démarche V - Résumé VI - Conclusion 1 I - Les auteurs : Laurence J. Peter est né à Vancouver, Canada dans les années 20. Entré dans l’enseignement, il s’est spécialisé dans la

projets, et problèmes. Chaque chef fait un résumé et l'envoie. Et ainsi de suite vers le sommet. Les hiérarchies furent satirisées dans Le Principe de Peter en 1969 qui introduit le terme hiérarchiologie et la notion que, « dans une hiérarchie, chaque employé tend à atteindre son niveau d'incompétence ». Un type particulièrement rigide est celui du principe du Führer.

raconter des histoires qui ne sont pas drôles, ou que d’autres soient absolument incapables de comprendre qu’il existe de meilleures solutions que les leurs à un problème donné. Cette constatation nous envoie à ce que l'on appelle le principe de Peter. Le principe de Peter veut que, dans une structure hiérarchique, la promotion vers le haut consiste toujours à mettre les individus en place à des postes pour lesquels ils seront parfaitement incompétents. Les travaux de Dunning et Kruger nous l’expliquent

Raymond Hull publiaient « Le principe de Peter », ils nous y explique que l'individu progresse dans l'entreprise jusqu'à ce qu'il devienne incompétent; donc plus on monte dans la hiérarchie, plus les risques de trouver des incompétents augmentent, ce qui implique directement une mauvaise gestion. La solution préconisée ici est de transférer cet individu à un poste assez prestigieux dans la forme mais inutile sur le fond. Cyril Northcote Parkinson a lui écrit 10 ans avant Peter sur ce sujet, il nous apprend

ainsi de suite vers le sommet. Les hiérarchies furent satirisées dans Le Principe de Peter en 1969 qui introduit le terme hiérarchiologie et la notion que, « dans une hiérarchie, chaque employé tend à atteindre son niveau d'incompétence ». Un type particulièrement rigide est celui du principe du Führer. L'étude de la hiérarchie ecclésiale est appelée ecclésiologie. Organisations matricielles [modifier] En principe, c'est l'organisation parfaite. Une hiérarchie est « fonctionnelle » et garantit

Les théories du management des hommes Dernière version du 22.10.2007 21h00 Sommaire 1 L'école classique (Taylor, Fayol, Weber) 1.1 F. W. Taylor (1856-1915) : L'organisation scientifique du travail (OST) 1.2 H. Fayol (1841-1925) : Le principe administratif (P.A.) 1.3 M. Weber (1864-1920) : La bureaucratie 1.4 Conclusion 2 L'école des Relations Humaines 2.1 E. Mayo (1880-1949) : Le père des Relations Humaines 2.2 A. Maslow (1908-1970) : La pyramide des besoins 2.3 F. Herzberg (né en 1923)

Par son comportement, la personne s’impose des tâches diverses •Elle ne sait pas dire non à une demande •Elle veut tout faire elle-même, ne faisant pas confiance aux autres, •Elle est perfectionniste et peaufine inutilement certains travaux •Elle est étourdie, Négligente quelquefois et doit recommencer divers travaux • Elle ne sait pas s’organiser •Elle ne fait pas de prévisions précises Elle exécute les tâches comme elles se présentent •Elle ne s’interroge pas sur

dans une situation de pouvoir prendre une décision. Les Français ne donnent pas cette information. Ils ne parlent pas des objectifs du lancement, ni du cadre concurrentiel etc.. Les Français de culture de communication en contexte fort partent du principe que les Allemands se sont suffisamment informés par les conversations préalables entre "Valisette" et "Müller". Pour les Allemands, les Français sautent plusieurs étapes en voulant discuter de la politique commerciale. En parlant de la gamme "Papeterie"