Principe De Publicité Kant

opposées, et finalement à des formes comparables de totalitarisme, au moins dans leurs effets, sinon dans leurs intentions[1]. Avec Tocqueville au contraire naissait une critique interne (démocratique) de la démocratie, menée au nom d'un principe non extérieur à elle, mais au nom des promesses et des valeurs de l'idéal démocratique lui-même, que les démocraties réelles pervertissent ou trahissent bien souvent, non parce qu’elles porteraient en elles des contradictions que seule une rupture

était traversé par des forces mystérieuses, l'Univers apparaissait comme un hylozoïsme. L'homme classique jusqu'à aujourd'hui considère que l'Univers n’obéit qu'aux seules lois rationnelles des mathématiques et de la physique moderne, que Kant appellera principes a priori qui sont nécessaires et universels. Le classicisme veut ainsi soumettre le déraisonnable à la raison et la littérature elle-même y a contribué:La Princesse de Clèves, premier roman d'analyse psychologique veut ainsi soumettre les

irréductible entre nature et culture. L'Emile aborde la question sous l'angle pédagogique en proposant un idéal d'éducation qui forme un être à la fois sociable et non dénaturé. La société à laquelle Emile est préparé est celle du Contrat social. Le principe de Rousseau et le suivant: "l'enfant nait bon et c'est la société qui le corrompt." Le traité est composé de cinq livres retraçant les étapes chronologiques de ce programme éducatif. Le livre I est consacré à la première enfance, et aux toutes premières

prendra une importance croissante. C'est du siècle des Lumières que date la notion d'art aujourd'hui communément admise. Partant d'une réflexion sur les sens et le goût, une conception basée sur l'idée de beauté finit par s'établir. Avec Emmanuel Kant, l'esthétique acquiert son sens propre d'une théorie l'art dont le mouvement romantique donnera les exemples paradigmatiques. L'importance de l'observation de règles passe alors au second plan tandis que l'intention de l'artiste, qui vise nos sens

entendement” -> Kant nous dit que l'homme est lui même responsable de sa propre minorité. Il ne tient pas un discours de victime. Il de la responsabilité de chacun de devenir autonome. Chacun est responsable de son accès à l'autonomie, à la majorité qui s'acquière. Kant s'attache ainsi à montrer que les hommes peuvent être responsables de leur minorité et donc de leur aliénation puisqu'il peut être plus facile et tranquille de se laisser guider que de penser par nous même. Pour Kant, il faut avoir

technique n’est pas (ou n’est plus) une habileté, un tour de main, ni un tâtonnement heureux qui aboutit à des inventions indépendamment des progrès scientifiques : pour être transmissible il lui faut être fondé sur des savoirs, des règles, des principes et non sur un talent (qualité individuelle difficilement transmissible). La technique et la science ont un rapport étroit, elles se nourrissent l’une l’autre, en particulier à partir de la révolution scientifique du 17ème siècle. Les procédés techniques

réfléchir à l'intégration du street art dans le monde culturel français. La réflexion menée sur la légitimité de la culture, la notion de goût et l’esthétique, s’appuie sur des ouvrages généralistes allant de Sylvette Giet à Bourdieu en passant par Kant et Platon. Cet étude a pour but la compréhension de ce qui établit une culture et la rend légitime. L’ouvrage de Dick Hebdige : « Sous culture le sens du style », nous permet de distinguer ces sous cultures. Différents documents sur le street art nous

 en  marbre).     Regarder  dans  les  batiments  :  comment  les  architectes  se  sont  occupés  de  la  question   des  joints  ?     ARCHI-­‐TECTURE   ARKE  (le  principe  premier,  l’origine,  l’autorité  qui  gouverne  )-­‐TEKTON   (l’assemblage  de  choses  disparates)  :  une  des  grandes  questions  théoriques  de   l’architecture,  jusqu’où  poussé

d’où un monde imaginaire. C’est l’imagination productrice, seulement cela ne lui permet pas de voir la réalité telle qu’elle est, mais telle qu’il la voit. Il se représente ainsi une réalité absente, dû à sa force de création et d’invention. D’après Kant « les égarements de l'imagination consistent dans des inventions sans frein, ou bien absolument sans règle." Alors l’imagination va nous induire en erreur, nous entraîner vers un univers trompeur, qui nous fascine tout en nous éloignant de nos tâches

l’image de Satan (l’accusateur). Le Diable (celui qui désunit et qui accuse au sens étymologique) a inauguré le drame dans le ciel avant le drame sur la terre. Cet ange de dieu s’est rebellé contre son Seigneur et Maître : dès lors il a installé le principe du mal au sein même de la création. Contrairement à ce que pensaient les grecs de l’antiquité, le monde, le kosmos, ne représente plus seulement cet espace protégé hors d’atteinte du mal mais bien le lieu du mal. Ainsi, « le ver est dans le fruit