Principe de relativité

La plus grande critique visant la théorie des cordes la renomme «  les théories des cordes ». Cette grande théorie du tout, qui tente de réconcilier mécanique quantique et relativité générale, microscopique et macroscopique, présente un désavantage de taille : la question du « choix du vide » conduit à 10^100 théories différentes. Ce sont autant de prédictions expérimentales possibles. Ainsi, toute prédiction pourra toujours se trouver dans une de ces versions

sur la relativité de Galilée qui dit : rien n’est immobile, tout dépend du référentiel dans lequel on se place. A l’opposé, la théorie de l’électromagnétisme de Maxwell établie dans les années 1850, décrivant la lumière comme une onde évoluant dans l’éther. L’éther (explication du vide avant la découverte du rayonnement fossile, vestige du big bang), théoriquement parfaitement immobile, ne sera jamais décrit physiquement. C’est cette immobilité qui est en complète contradiction avec le principe de relativité

l’ordre juridique interne A. La Constitution B. Les règles à valeur législative C. Les principes généraux du droit D. Les ordonnances E. Les règles à valeur réglementaire F. La coutume Conclusion sur la codification § 2. La mise en œuvre de la hiérarchie des normes au sein de l’ordre juridique interne A. La supériorité de la Constitution B. La supériorité de la loi 1° Supériorité de la loi sur les principes générau x du droit ) 2° Supériorité de la loi sur les règlements ) 3° Supériorité

relativiserait à chaque fois la scientificité, et par là-même la déprécierait, aboutissant à un relativisme complet, là où elle était censée donner aux scientifiques l’idéal de scientificité dont ils ont besoin. Est-il possible, dès lors, d’affirmer la relativité des critères de scientificité tout en conservant la pertinence et l’efficacité de ces critères ? Nous partirons de l’activité de recherche scientifique dans les sciences de la nature, essentiellement en physique, pour décrire, de manière interne

de la page 7-Relativité du mouvement + Act doc + Transparent + Exercices sur la vitesse et le code de la route + Correction en diaporama des exercices sur la vitesse et le code de la route Activité du bus avec deux passagers et un passant qui regarde le bus passé ; référentiels : exemples (terrestre, héliocentrique, géocentrique ; mouvement, trajectoire et vitesse ; exercices sur la vitesse et le code de la route (merci aux collègues de Jacques Cartier) TP N°7 : Relativité du mouvement +

alors de savoir comment considérer cette norme car elle possède d’étranges caractéristiques. ! ! 2. La relativité de la loi! ! La caractéristique la plus frappante de la loi est son aspect relatif. Cette relativité se pense en deux sens: ! - Les lois ne sont pas les mêmes d’un pays à l’autre! - Les lois varient au sein d’une même communauté à travers le temps! ! Cette relativité témoigne de différents éléments qui relèvent de la culture du groupe humain considéré. 
 ! Cependant

seul le critère formel permet de définir en droit, la Constitution. Au soutien de cette thèse, l’auteur avance plusieurs arguments. Il commence d’abord à démontrer les insuffisances de la définition matérielle de la Constitution, en évoquant la relativité du contenu des constitutions et la faiblesse du critère matériel avancé par la doctrine. Ensuite, il défend le seul critère formel en se basant essentiellement sur son autorité juridique. Il conclut donc que la seule définition en droit de la notion

chrétienne dans son esprit: -souligne la nature humaine,marqué par l’humilité 3) Dans les sentiments qui l’anime: - fraternité chrétienne, sentiments de la misère de l'existence = dérisoire. Une prière de philosophe: 1) Un Dieu indéterminé: - principe universel, déiste = Voltaire = rapport individuel. Dans ce texte des arguments en ceux qui s’attaque à la prière: - caractère inaccessibles (atomes = hommes) - prière = programme pour échouer 3) Pourquoi alors suivre la forme d’un prière? III

Escompte quasi-hyperbolique et procrastination La relativité des jugements et des sentiments La subjectivité et la relativité des jugements Les comparaisons sociales Le sentiment de justice ou d’équité La dynamique des affects L’effet de surprise Emotion et action immédiate L’économie du bonheur La plupart des gens sont heureux Bonheur et liberté Le principe d’adaptation Sensibilité marginale décroissante aux

laisser-faire vis-à-vis des lois? Loin d'être cette vertu suprême qui nous obligerait, n'apparaît-elle pas alors plutôt comme l'une des conséquences majeures du nihilisme contemporain ? I - Nos sociétés démocratiques sont fondées sur le pluralisme et la relativité des valeurs impliquant le respect des opinions individuelles et de la liberté de conscience et d'expression dans la mesure où elles ne portent pas atteinte à l'ordre public (pornographie, pédophilie, nazisme, etc ...). Ainsi tolère-t-on autrui,