Prise de vues cinématographique

L’adaptation cinématographique, entre fidélité infidélité à l’œuvre littéraire à l’exemple de L’opium et le bâton Ahcene Laib Doctorant, Université de Mostaganem Synergies Algérie n° 13 - 2011 pp. 165-174 Résumé : La question récurrente qui se pose chaque fois que l’on évoque les rapports du cinéma avec la littérature par le phénomène de l’adaptation, est la suivante : est-ce que le film est fidèle à l’œuvre littéraire ? A cette question il existe plusieurs réponses engendrées par la

6-Les principales actions mises en œuvre 18 7-Les partenaires 19 1. Les partenaires institutionnels : 19 2. Les partenaires associatifs : 19 8-Les financements: ressources actuelles et stratégies mobilisées 19 9-Les mécanismes de prise de décision 20 10-Mon rôle dans la structure 21 III- DIAGNOSTIC 22 1-Constats 22 2- Problématique(s) 22 IV-Action prévue 23 1-Présentation générale du projet 23 2-Les objectifs généraux et opérationnels : 24 3- Démarche

continuité et les plans longs. Malheureusement Room est de nos jours oublié du public mais également de la critique. Abram Room à l’inverse des autres réalisateurs de cette période excepter Poudovkine s’intéressera à tous les nouveaux genres cinématographiques. C’est d’autant plus surprenant d’apprendre que ce réalisateur est très peu connu du public que ce soit en 1920 ou de nos jours, ce qui toutefois ne l’empêche pas de faire partie du groupe des cinéastes soviétiques de la première génération

de problèmes métaphysiques. Là est évidemment le piège: il ne faut à aucun prix en adaptant un roman à l'écran, suivre de trop près le déroulement, l'intrigue, les dialogues de ce roman, Il faut "traduire" le texte de l'écrivain en un langage cinématographique adapté à l'ouvrage, cela bien sûr si l'on veut respecter l'esprit même du livre. Comment opérer cette traduction? Il y a dans une oeuvre littéraire une structure qui lui est propre, surtout dans le roman. Un roman est découpé en chapitres, et

long-métrage Pea Soup (1978).2 Le montage-collage, l'absence de trame narrative, la voix off, la démocratisation de l'art vidéo, la construction d'un « Nous virtuel […] à partir des Je ayant accompli leur révolution personnelle, ayant effectué leur prise de conscience,»3 sont quelques unes des caractéristiques de Pea Soup qui sont liées au contexte culturel québécois de l'époque.4 C'est en suivant la suite des choses que nous verrons comment la défaite du « oui » au référendum de 1980 et la montée

gidienne……………………………………... 23 7.1. L’instance narrative dans La Symphonie Pastorale………………..………. 27 CHAPITRE II La Symphonie pastorale- texte filmique 1. L’adaptation cinématographique entre théorie et pratique………...………………. 32 2. De la littérature au cinéma: La Symphonie pastorale de Jean Delannoy…..…....... 36 2.1. Regard panoramique sur la carrière cinématographique de Jean Delannoy......37 2.2. Tournage du film La Symphonie pastorale de Jean Delannoy………......…....38 3. Similitudes et écarts entre les deux récits:

analyse : - Les règles de communication des affiches et des bandes annonces, - La structuration des composantes des affiches (titres, sous-titres, images, …) - Les différences par genre, - Les différences entre le cinéma français et le cinéma américain, vues à travers les affiches et les bandes annonces. La méthodologie utilisée pour cette partie a consisté essentiellement dans l'analyse sémiologique approfondie d’un corpus de 350 affiches et de 180 bandes annonces. • 2ÈME PARTIE : « Les titres, affiches

là qu'une infime considération au vu de l'ampleur du travail théorique qui s'effectue dans les pages consacrées à la reproductibilité technique. S'il s'agit simplement d'entériner la multiplicité structurelle des images photographique et cinématographique, en ce sens leur caractère reproductible, point n'est besoin de lire Benjamin. 1 Maître de conférences en philosophie à l’Université de Lille-3. Walter BENJAMIN, Oeuvres III, Paris, Gallimard (Folio-essais), p. 67-113, traduction par Rainer

l’éducation Le 16 décembre 2009 CONTEXTE DU COURS ET SITUATION DE LA SÉQUENCE D’APPRENTISSAGE Programme : Cinéma et communication Durée du programme : Deux ans Session en cours : 4e (Fin de programme) Titre du cours : Critique cinématographique Numéros des leçons présentées: Leçon no4 et no5 Durée des deux leçons : Trois heure chacune Méthode d’enseignement : Magistral interactif JUSTIFICATION : En utilisant cette méthode d’enseignement, il est possible de transmettre

l‟équilibre originel et donne à l‟œuvre un nouveau centre, une nouvelle perspective. Dans le même esprit qu‟Eric Rondepierre, Barbara Crane joue avec les diptyques dans sa série Schisms [c.a. 1 ] mais d‟une manière plus formaliste. Elle prend des vues panoramiques de nature et elle les dispose à la verticale pour créer des couples de feuilles, des troncs, des branches et du ciel. Dans le cas de Barbara Crane, la mise en cadre de ces deux images est indispensable pour faire apparaître une troisième