Prison

femmes et aux hommes. © 1999 L’Office de la télécommunication éducative de l’Ontario. Imprimé au Canada BPN 692708 • Les Châtiments • Contenu Introduction • page 1 • Module 1 : Le juste prix du sang • page 4 • Module 2 : Et l’homme créa la prison • page 8 • BPN 692708 Module 3 : La justice, un fragile équilibre • page 12 • Module 4 : Une question de vie ou de mort • page 16 • M o d u l e 5 : L’ a ve n i r d e s c h â t i m e n t s • page 19 • BPN 692708 • Les Châtiments • Introduction

de la même façon (au même rythme) * Pas considérer la variation de l’activité policière et judicaire (ignore), a supposé que le taux est constant. * Doit demander question – quelle a été l’Activité policière et judiciaire? * * 1B) PRISON COMME PROBLÈME SOCIALE * texte de dufresne et dignefe * Contexte * 19e siècle – tout ce qui Quételet dit est valable et est la réalité. Ce qui ressort de Quét : le milieu ou l’individu vit a un effet sur l’individu, moralité … (environnent

mesures automatiques).  Création d’une peine supplémentaire, la contrainte pénale.  Création de la procédure de libération sous contrainte.  Abaissement du seuil d’aménagement des peines de prison. Le Gouvernement a également mis en place d’importants moyens pour la réforme :  + 6 500 places de prison dans les 3 ans (63 500 places au final).  + 1 000 emplois dans les services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP), dont 300 dans le PLF 2014, et avec un objectif final de 40 dossiers

aussi de la manière historique en racontant l'histoire de quelques noms écrits sur un mur. Il y a très peu de dialogue, le personnage n'a que quelques entrevues avec les gardiens de la prison. Durant les dernières 24h le récit commence a prendre vit le notre héros change plusieurs fois de lieux, il part de la prison pour aller à la conciergerie lieux ou il va rencontrer le condamné qui va le remplacer. Il part ensuite pour l'hôtel de ville où il y prend son dernier repas et il revoit sa fille après

le considère plus comme un « semblable » mais comme un « autre » qu’il faut éliminer. La peine n’a plus pour finalité de réinsérer le condamné mais de protéger la société et plus particulièrement la victime. Depuis la Révolution la peine et la prison ont beaucoup évalué. Nous sommes passés d’une volonté de modération des peines dans un but de réhabilitation à un durcissement du système pénal. Il y a deux siècles, on voulait changer l'homme coupable pour le réintégrer dans la société. De nos jours

commissaire lui fait subir à son insu une technique d’interrogatoire particulièrement mesquine. - La Juge d’instruction n’a de cesse de trouver un coupable quel qu’il soit pour satisfaire l’opinion publique qui réclame une tête à tout prix. Une fois en prison, le calvaire du jeune homme ne s’arrête pas : - Il est victime de sa jeunesse (il sera plus jeune condamné pour meurtre mineur en France) , et de son « crime » où les gardiens le mettent à l’infirmerie plutôt qu’en cellule, sous peine de représailles

apprendre de l’expérience de ces hommes exposés à des dérives inimaginables. Il faut que je me pose la question : A quoi sert la prison ? J’ai maintenant besoin en tant qu’acteur, de réponse. J’ai vécu, donc dans un monde parallèle, une dimension invraisemblable avec des codes différents de ce que nous connaissons. Des règles qu’il faut apprendre très vite car, en prison plus qu’ailleurs, nul n’est sensé ignorer la loi.. Si on subodore l’existence de ce monde parallèle, car on le subodore croyez-moi

laisseraient croire qu'il a tué un homme). L'œuvre se présente comme un témoignage brut, à la fois sur l'angoisse du condamné à mort et ses dernières pensées, et sur les conditions de vie des prisonniers. Cet homme nous dit tout ce qu'il fait en prison ; il devient aussi le spectateur de la scène horrible du ferrage des forçats. Puis il pense au moment où il devra aller à la guillotine ; il a peur mais il ne veut pas que les autres le sachent. Il continue à espérer en la grâce du roi qu'il

associations lui ont emboîté le pas, comme l’OMDH ou l’Association des barreaux du Maroc. Un activisme couronné en 2003 par la création de la Coalition marocaine contre la peine de mort, qui rassemble sept associations: L'Observatoire Marocain des Prisons / L' AMDH / Le Forum marocain pour la Vérité et la Justice / L'OMDH / Le Centre pour les Droits des Gens (CDG) / L'association des barreaux d'avocats au Maroc / Amnesty International section marocaine... “Depuis quelques années, le débat sur la peine

ne cesse de prononcer à plusieurs reprises « Condamné à mort ! », il est obsédé par sa « pensée infernale ». On y retrouve le champ lexical de la prison « je suis enfermé », «forcé de rester prisonnier comme un aigle dans une cage » on remarque ici une comparaison. Quant à lui, Dantès se fait du mal, « il brisait son corps contre les murs de sa prison », il éprouve de la colère, il est malheureux « alors son esprit devint sombre » car il est accusé a tort sans raison « son bonheur détruit sans cause