Prison

dans un asile ordinaire : « Ils sont dangereux et troublent la tranquillité des autres malades dont la liberté se trouve restreinte à cause des mesures de précaution qu'exigent les aliénés criminels : aussi l'asile dans ce cas, ressemble-t-il à une prison plutôt qu'à un hôpital. » En 1868 et 1869, les membres de la Société médico-psychologique débattent des aliénés dangereux. Certains proposent la création d'asiles spéciaux pour les individus traduits devant les tribunaux. Brierre de Boismont revient

graves se sont multipliés depuis une période de vingt ans (est-ce bien vrai ?). Si l’ont veut être équitable, il faut au moins faire une part égale pour l’honnête homme et le scélérat. Ce dernier verra sa personne inviolable, il pourra s’échapper de sa prison, commettre tous les forfaits et sa peine ne pourra être aggravée». b) Débat du grand Conseil fribourgeois (6 février 1868) dans Jean-François Rouiller, Une mystérieuse affaire dans le canton de Fribourg au siècle dernier suivi de Faut-il rétablir

scéniques: chemin de ronde ; une prison ; gardiens (didascalie initiale) ; coups de feu, projecteurs, sirènes (didascalie finale). - Nombreuses allusions des personnages quant aux statuts et à la situation initiale : - La prison côté gardien: il n’y a pas d’évasion ici. La prison est trop moderne ; (lieu) ; moi qui suis gardien depuis six ans ; moi, gardien de prison , incapable de poignarder (la sécurité du lieu, le bien lié aux gardiens, la routine) - La prison côté prisonniers : une main qui

communiste algérien. En 1951, installé en Algérie, il est le directeur du quotidien Alger Républicain qu'il publie dans la clandestinité à partir de 1955 après que son journal est était interdit. Le 12 juin 1957 il est arrêter et séquestré dans trois prisons différentes, transféré de l'une à l'autre par quelques semaines d'intervalles. Durant son séjours il est torturé à de multiples reprises et subit de violents interrogatoires menés sous l'effet de barbiturique, utilisé comme « sérum de vérité ». C'est

Indéniablement il existe un droit administratif pénitentiaire puisque la prison se comprend comme étant un service public et une administration soumise au droit administratif. Ainsi la question qui tend à savoir s’il existe un droit administratif pénitentiaire doit être appréhendé avec plus de hauteur. En effet, l’administration carcérale est une administration particulière. Longtemps définie comme un « ilot de déni de justice », la prison, plus que tout autre administration peut être, revêt d’un caractère

l’incarcération. Et malgré tout, les prisons craquent. 61000 détenus en janvier 2008 71 000 d’ici deux ans et 80 000 prévus en 2017. A coté de cela, le ratio moyen de suicide dans notre pays est d’environ 1.7 pour dix mille habitants. Dans les prisons, c’est pire : 115 suicides en 2009. La moyenne de ces dernières années est de 20 suicides pour dix mille détenus. Environ un suicide tous les trois jours. la France détient un triste record d’Europe : c’est dans nos prisons qu’il y a le plus de suicides.

qui n'a pas connu la prison peut-il rendre avec autant d'acuité ce que je ressens tous les jours dans ma morne cellule ? Mais j'ai aussi voyagé aujourd'hui : « à la Grande Ourse » avec Rimbaud. Comme son Bateau ivre, j'ai eu un instant l'impression avoir largué les amarres et « fixé des vertiges »... Lui, il se sentait en prison dans la vie, moi, c'est ici. La poésie me crée des mondes encore plus beaux que celui de « dehors ». Soyons fataliste : si je n'étais pas en prison, jamais je ne connaîtrais

compte rendu du procès d'un certain Claude Gueux condamné à mort pour meurtre, il y découvre comme un écho de son plaidoyer contre la peine de mort et décide alors d'en faire un roman. Il retranscrit donc la vie de Claude Gueux dès son entrée dans la prison jusqu'à son exécution en passant par les motifs de son crime et son procès. Suit ensuite une longue réflexion de Victor Hugo sur les rôles et les devoirs de la société face au criminel. « Mais pourquoi cet homme a-t-il volé ? Pourquoi cet homme

d'arsenal et occasionnellement de prison. Elle sera transformée en prison d'état par le cardinal Richelieu. Cette prison était déstinée aux nobles et grands bourgeois. A l'arrivée d'un détenus les habitants a proximitié devaient rentrer et fermer leur boutique car les détenus voulait garder leur anonyma. Ils possédaient de nombreux privilèges comme pouvoir disposer de domestique ou circuler librement dans la prison. À l'époque des rois Louis 14,15 et 16 les prisons étaient dirigées selon leur bon

les enfants des adultes. En 1819 des quartiers étaient également réservés aux enfants dans les prisons départementales. Premières expériences concernant les mineurs de moins de 16 ans ➢ Le comte d’Argout Par une circulaire du 3 décembre 1832, le Comte d’Argout, ministre du commerce et des travaux publics, préconisait de placer les enfants en apprentissage, plutôt que de les enfermer dans des prisons. Seuls, quelques contrats d’apprentissage répondant aux préconisations du Comte étaient mis