Privatisation Des Services Publics

La dette publique libanaise Causes et remèdes I – Introduction : l’état des Finances publiques au Liban I.1 – Le volume et la structure de la dette publique libanaise I.2 – Le déficit public II – Aux origines de la dette publique libanaise II.1 – Les conséquences de la guerre civile II.2 – La politique de reconstruction adoptée par Hariri II.3 – Les conséquences de la politique monétaire III – Comment sortir de l’impasse III.1 – Les remèdes prévus et/ou appliqués par le gouvernement

[3] introduisent la “déspécialisation” ouvrant ainsi la voie à la déréglementation financière. - En 1982, trente-six banques sont nationalisées. - En 1984, la loi bancaire redéfinit le cadre juridique de la profession. - Le mouvement de privatisation décidé par une loi de 1986 s’amorce en janvier 1987 et a concerné depuis les plus grandes banques. Un intense mouvement de restructuration (avec une dimension internationale) caractérise la fin des années 90 et se poursuit depuis. - La libre

politiques économiques, peuvent être définies comme l'ensemble des mesures prises par les pouvoirs publics pour agir sur l'activité économique de manière à atteindre certains objectifs. Remarquons que ne pas prendre de mesures (le "laissez-faire") peut être une politique économique. Deux grands types de politique : Les politiques conjoncturelles recouvrent les mesures mises en œuvre par les pouvoirs publics afin d’agir à court terme sur l’activité économique (sur la conjoncture) d’un pays afin d’atteindre

LA DESCENTRALISATION Partout en Europe, il existe une tendance de décentralisation. Il y a cinq grands types de reformes des institutions locales : 1) Une décentralisation administratif => transfère des compétences de la gestion de certain services publiques au niveau des gouvernements internationaux 2) Décentralisation financière – a pour effet accroitre par des gouvernements internationaux Elle peut prendre multiple formes: -du transfère en provinces du gouvernement central sous la

l’intégration des économies nationales « dans le marché mondial » (p. 6). À ses yeux, cette mondialisation entraîne avec elle au moins trois conséquences majeures. D’abord, une réduction significative du pouvoir d’orientation et de contrôle des acteurs publics (les parlementaires) s’accompagnant d’un renforcement du pouvoir privé mondial (1997, p. 17). Ensuite, il souligne que la mondialisation est porteuse de nouvelles et nombreuses inégalités entre les différentes villes, régions et les divers pays (p

L’impact des actions de communication engagées par Redal sur le Grand Public 1 Remerciements Avant d’entamer ce rapport, nous tenons vivement à remercier toute personne qui a participé directement ou indirectement à la préparation de ce projet. Pour cela, nous tenons à exprimer notre profonde reconnaissance à notre Professeur et encadrant Monsieur ZERRAD Jaouad pour son encadrement, son orientation et son aide inestimable, et sans lesquels ce projet n’aurait pas pu voir le jour. Nous adressons

Le réseau de la téléphonie fixe en France INTRODUCTION Une industrie de réseau pour un économiste est un support technique d’intermédiation économique entre offreurs et demandeurs d’un bien ou d’un service. Ceci est une vision transactionnelle dans le but d’une analyse des coûts et de la demande, de la recherche d’une tarification optimale. En France, le secteur de la téléphonie fixe est considéré comme une industrie de réseau. En effet, dans son ensemble, il répond au

I. Quels sont les origines de ce droit C’est un droit qui vient encadrer des échanges économique avec le secteur public avec les spécificités de ce secteur. L’activité économique de la puissance publique est soumise à la règle de droit même si elle est différente de celle qui s’applique aux opérateurs privé. La finalité est de servir l’intérêt général. II. Le droit public économique est une notion controversée Le DPE n’est pas neutre puisqu’il dépend des solutions qu’il propose pour la

conduire aux situations optimales. Elle impose une obligation à toute intervention : le respect de la règle de l'unanimité ou au moins de la quasi-unanimité. Cette garantie restant peu probable et l'intervention produisant généralement de nombreux maux publics, elle préconise le retour au marché qui a plus de chances de rétablir l'équilibre. Au vu des impasses où conduisent ces deux systèmes, une troisième approche est à l'honneur depuis ces dernières années : celle des politiques publiques. Dès la fin

s’essouffle… besoin de renouvellement, arrivée du privé qui produit beaucoup…. Abandon du monopole du service public 1974 : dissolution de l’ORTF, apparition de trois sociétés distinctes : TF1, A2 et FR3 1975 Betamax Sony (rec 60’, puis 3h35 pour l’Europe, 5h maxi pour les Japonais et Usa en longplay) 1976 JVC VHS (video home system), rec de 3 jusqu’à 10h en longplay en1978 en France) Vers la privatisation 1982 : le communication audiovisuelle devient libre = Etat est propriétaire des réseaux hertziens