Problematique Fanatisme Religieux

(1943) les Arabes présentés sont indisciplinés et ébouriffés, en combattant aux côtés des forces nazis. L’Arabe devient donc l’allié des nazis, revêtant ainsi ce que le nazisme évoque dans les mémoires collectives comme antisémitisme, cruauté et fanatisme. 2) l’Arabe bouffon : L'Arabe est un modèle utilisé, par les cinéastes, entre autre, pour le rôle du vilain ou du comique de service. Il y joue le rôle de bouffon dont l'unique finalité est de déclencher des rires faciles. On le voit dans The

le nombre de participants est aléatoire, s’affrontent. Chaque « équipe » essaie de transporter la soule (balle de foin) dans le camp de l’adversaire et ceci par tous les moyens. Ce jeu s’établit qu’à des moments précis en fonction du calendrier religieux. Son origine reste très floue. Le but est d’apaiser les tensions entre les villages voisins, un rôle social très important à l’époque. A sa création, le football est donc un sport qui emprunte aux valeurs aristocratiques. En effet il est pratiqué

Introduction. L’installation officielle de la France sur le sol Marocain, est instaurée par le traité de Protectorat signé à Fez le 30 mars 1912, par le ministre plénipotentiaire de la France, Regnault et le chef politique et religieux du Maroc, le Sultan Moulay Hafid, sous la pression néanmoins de cinq mille soldats français qui campaient aux portes du palais du Sultan. Ledit traité installe au Maroc un nouveau régime juridique, par lequel la France, l’Etat «protecteur » prend

difficultés auxquelles sont confrontés plusieurs partenaires méditerranéens, l’UE élargie sera à même d’aider ces derniers à éviter certains risques (replis identitaires où l’identité de chacun devient comme un « tatouage mortel », intégrisme religieux, combinaison pauvreté/illettrisme, etc.) et à identifier les solutions possibles: culture de participation; égalité des droits et des chances, voire discrimination positive, pour les femmes; élimination des exclusions économique et sociale, etc

du Maghreb sont des berbères mais certains l’ignorent, d’autres le revendiquent. Les Romains, Vandales, Byzantins, Arabes, Turcs sont passés mais cela a assez peu modifié la composition de la population. Quoiqu’il en soit, aujourd’hui, c’est le religieux qui homogénéise, et non l’identité ethnique. De plus il y a une dispersion de la berbérité, des touaregs aux rifains, les langues berbères sont multiples même s’il existe un rameau commun : des tentatives récentes, depuis trente ans, sont faites

Livre IX « Des Grands » J.-J. Rousseau, Discours sur les sciences et les arts Montesquieu, Lettres persanes J. de la Bruyère, Les Caractères ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Montesquieu, Lettres persanes TEXTE 2 Voltaire, Dictionnaire philosophique, « Fanatisme » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 J.-F. Marmontel, Les Incas TEXTE 3 D. Diderot, Supplément au voyage de Bougainville D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 J.-J. Rousseau, Discours sur l’origine de l’inégalité ANALYSE D’IMAGE Man Ray, Portrait imaginaire du marquis de Sade

indienne, le Pakistan et le Cashmere. Suite à la seconde guerre mondiale, deux courants s’opposent en Inde. Le premier dirigé par Gandhi et Nehru, est calqué sur le modèle occidental où la république est laïque. Le deuxième est en faveur d’un état religieux et musulman. Gandhi et Nehru, se trouvent face à un pays où les différences culturelles sont très importantes. On y trouve des hindouistes, des islamiques, des jains, des sikhs, des zoroastriens, de bouddhistes et des juifs et des chrétiens. Les

ne divise pas les hommes mais les unit. Les œuvres de la culture forment un monde dans lequel les hommes peuvent former une communauté, partagé.  Echanger signifie donc participer au nom de la culture et de l’esprit. En conséquence il semble problématique de traiter les œuvres de l’esprit comme des marchandises si elles sont appelées à faire partie d’un patrimoine commun dont nous sommes les héritiers. Comment donc distinguer une œuvre d’un objet quelconque sachant que tous les deux sont une création

d’éthique que lorsqu’il y a liberté ». Quelles libertés et pour quelles raisons ? Ces questions complèteront nos prolégomènes à la possibilité de conceptualiser un besoin d’éthique et permettront l’établissement d’un terrain pour élaborer une problématique. La liberté est un concept bicéphale. D’un côté, elle peut être le pouvoir qu’aurait notre volonté de débuter une chaîne causale et d’être ainsi la cause première d’un acte. D’un autre côté, elle peut être déterminée plus négativement par le biais

ce qui est bien ou mal affectent non seulement l’avenir de l’être humain, mais également son présent. Elles affectent non seulement l’individu, mais aussi les groupes humains et les peuples. Tout d’abord, nous avons examiné les réponses de type religieux. Les croyants des diverses religions devaient respecter certaines lois, certains préceptes inspirés par Dieu qu’ils considéraient comme justes. Mais ces différentes religions proposaient des préceptes différents. Certaines indiquaient des actions