Problématique Sur Le Génocide Du Rwanda

------------------------------------------------- B.P 117 BUTARE RWANDA Sujet : CONTRIBUTION DES COUTS LOGISTIQUES DU TRANSPORT A LA PERFORMANCE DU CHIFFRE D'AFFAIRES D'UNE FIRME, CAS DE LA BRALIRWA S.A'' Directeur : Prof. Dr MUTAJOGIRE J.Bosco Mémoire présenté en vue de L'obtention du diplôme de licence en sciences de gestion Présenté par IRONSA MAGAYANE Ernest Butare, 20 Octobre 2007 EPIGRAPHE «  Si un pays étranger peut nous fournir une marchandise à meilleur marché que nous sommes

conséquences de l’émancipation pour les peuples dépendants Transparent Nasser-Ben Bella Les Etats indépendants veulent jouer un rôle accru sur la scène mondiale…sans y parvenir vraiment + connaissent des problèmes d’ordre économiques et sociaux PROBLEMATIQUE : Pourquoi peut-on dire que les Etats décolonisés ne sont pas entièrement maîtres de leur destin ? Quelles difficultés rencontrent-ils ? A- L’affirmation politique : Une volonté d’être des acteurs sur la scène internationale

Repères 1.La première guerre du Congo est un conflit intervenu de fin 1996 à 1997, au terme duquel le président zaïrois Mobutu Sese Seko fut chassé du pouvoir par des troupes rebelles soutenues par des États étrangers, essentiellement l'Ouganda et le Rwanda. Le chef rebelle Laurent-Désiré Kabila se proclama président et changea le nom du pays en République démocratique du Congo. La guerre posa les jalons de la Deuxième guerre du Congo qui s'ensuivit rapidement et se traduisit par le début des massacres

: impuissance devant les grands Etats, bureaucratie étouffante, faillite financière etc… se sont ajoutées d’autres critiques acerbes suscitées par les déboires rencontrés par l’organisation à l’occasion des crises récentes notamment en Somalie, au Rwanda en Bosnie et au Kosovo. Critiquée par tous, l’Organisation des Nations Unies possède pourtant des compétences irremplaçables et demeure la plate forme la mieux adaptée pour la résolution des problèmes actuels dont la complexité et la taille dépassent

Koweit de résister contre l’Irak et de rester un pays indépendant. Cependant, cette organisation a eu aussi des échecs, puisque certains pays, Etats, n’ont pas assimilé la sécurité collective. Les plus grandes défaites sous Kofi Annan sont le génocide au Rwanda en 1994 ( alors que l’ONU avait lancé la l’opération MINUAR), le massacre de Srebrenica en Bosnie Herzégovine et encore la guerre d’Irak en 2003, où les Etats-Unis se permettent d’envahir quand même l’Irak alors que l’onu et Kofi Annan étaient

l'acte illicite. C’est la question de la sanction qui prime. C’est une conception afflictive. Enfin celle de Roberto Ago qui mélange des deux précédentes : la responsabilité comporterait à la fois une conception pénale et civile. Dès lors, une problématique s’impose à nous : de quelle manière se décline aujourd’hui la fonction de la responsabilité internationale ? Si la fonction première de la responsabilité internationale reste la réparation (I), on découvre rapidement qu’elle est complétée par

tribunal correctionnel : il va y avoir 3 magistrats mais en plus des citoyens pour impliquer le citoyen (assesseur citoyens) - A la cours d’instance, on y juge les crimes : crime de sang, viol, empoisonnement, traitement inhumain sur personne… Problématiques : - Exécution des peines. Problème de surpopulation carcérale, manque de moyens pour faire exécuter les peines, problème de coordination entre les juridictions. En matière pénale, il y a toujours la possibilité d’aménager les peines sous

nationalisme. I- DE LA DIFFICULTE DE DEFINITION A. Des difficultés épistémologiques La nation est une façon particulière de classer des groupes d’êtres humains. Mais sur quels critères se basent ces classements? Définir ce qu’est la nation est problématique. En effet, la définition, en fixant la signification d’un mot, détermine aussi ses extensions, c’est-à-dire les références auxquelles elle peut être appliquée. Est-il cependant possible d’enfermer l’ensemble des références d’un mot dans une seule

REPRESSIF INTERNATIONAL)1 INTRODUCTION Lorsque, le 6 juin 2003, s’adressant aux énarques, ainsi qu’aux actuels pensionnaires de l’Ecole nationale d’administration à Paris, le Procureur des Tribunaux internationaux pour l’ex-Yougoslavie et le Rwanda, Carla Del Ponte, mentionnait avec véhémence que « le concept de justice internationale n’était pas tout à fait neuf »2, elle n’avait nullement ignoré que l’intérêt que suscite aujourd’hui cette notion est directement lié, pour le commun des mortels

forces de l’ordre. Guerre civile iraquienne, attentats en Afghanistan, répression sanglante en Birmanie, sans oublier le génocide au Darfour : l’année 2007 nous a rappelé que de multiples conflits sévissent toujours aux quatre coins de la planète. La couverture médiatique entourant ces tristes événements porte à croire que jamais le monde n’a été aussi violent, que les conflits, génocides, tout comme la population des camps de réfugiés ne cessent de croître d’année en année. Cependant, si on en croit le