Procedes Comiques Molière

2006) Objectifs généraux On peut imaginer différents parcours autour du thème de la farce : l’exagération comique dans les situations, les caractères, les gestes. Il s’agit de faire prendre conscience du caractère scénique du dialogue théâtral, où le conflit débouche sur des déplacements et des gestes précis, provoquant le rire. Les Instructions officielles proposant des pièces de Molière ou des farces du Moyen-Age, nous avons construit plusieurs séquences autour de ces textes. Il serait souhaitable

Question sur corpus Corpus p.422 à 426 (Manuel Le Robert) : textes de Molière, Les Femmes savantes, Musset, Les Caprices de Marianne, et Ionesco, Scène à quatre. Question : Quelles ressemblances et quelles différences les disputes de ces textes ont-elles entre elles ? « Sans conflit, il n’y aurait pas de théâtre », a affirmé Ionesco, et il est vrai que les scènes de dispute abondent dans le répertoire dramatique : débats d’idées, ou vifs échanges entre des personnages dissimulant parfois de

comment le comique de ces deux scènes soutient-il un message satirique plus sérieux ? Première partie : deux scènes comiques a. Le comique de situation Ces deux scènes sont fondées sur des situations de quiproquos. Preuves : Scène 6 : incompréhension réelle de Marotte (« je n'entends point le latin » l. 5, « je ne sais point quelle bête c'est là » l. 16 = deux verbes de connaissance employés à la forme négative). Scène 7 incompréhension feinte de Mascarille (onomatopée comique « hem »

de rire de tout de peur d’être obligé d’en pleurer. » Peut-on donc penser que la comédie, genre théâtral à part entière, implique que les apparences comiques occultent son côté tragique ? S’il est vrai que le but de la comédie est de faire rire en raillant les défauts de la société, elle pourrait cependant nous faire pleurer en l’absence de comique. Je vais dans un premier temps examiner la « face cachée » de la comédie.         La comédie, dont la devise est « castigat ritendo mores » (elle

verrons dans un premier temps le genre théâtral comique, sa fonction première, son originalité puis nous étudierons l’utilisation de la comédie comme moyen de dénonciation des mœurs et enfin nous essaierons de voir quelles sont les limites et l’impact de la comédie de nos jours. La comédie existe depuis l’antiquité, c’est un genre théâtral ancien qui a toujours trouvé sa place dans le cœur des lecteurs et spectateurs. Le premier auteur comique que l’histoire connaisse est grec : il s’appelait

découvrir ou redécouvrir, ensemble, des sentiments variés. C’est un lieu apaisant où, à coup de procéder d’écriture multiple, de décor et d’acteur performant, la pièce va tenter d’intéresser le spectateur et de le faire ressortir, rempli d’émotion. Le théâtre peut chercher à faire rire le spectateur, couramment nommé théâtre comique, il englobe plusieurs variantes dont la farce, où le comique de geste, de répétition ou de situation est très employé et la parodie, où le bouffon, personnage

Le Tartuffe est une comédie classique car Molière met en scène des personnages de classe moyenne comme Dorine qui a un rôle important dans la pièce, le dénouement de la pièce est heureux et l’auteur dénonce à travers Le Tartuffe un travers de la société ce qui est courant dans les comédies classiques. Molière cherche à faire rire le spectateur avec des procédés comiques, par exemple, le comique de mot qu’on retrouve notamment dans la scène 1 de l’acte I

et ses courtisans, devenant ainsi le Ballet de Cour. Exemple : les comédies ballets écrites par Molière et Lully ou Molière et Charpentier : Le Bourgeois Gentilhomme et Le Malade Imaginaire. La plupart des pièces de théâtre du XVIIe siècle (tragédies comme comédies) sont écrites en vers (et plus précisément en alexandrins), généralement avec des rimes plates. Elles utilisent donc de nombreux procédés stylistiques de la poésie : exploitation des hémistiches (rythme binaire), figures de style, allitération

Corpus de texte. Sujet : Dispute et comique. Objet d’étude : Le texte théâtral et sa représentation. Le corpus que nous allons étudier est constitué de trois textes en relation avec les disputes au théâtre : un texte comique voir satirique intitulé <<, le médecin malgré lui, acte I, scène 1, 1666>> écrit par Molière ; puis une scène de comédie de caractère <<Le bourgeois gentilhomme, acte III, scène 3, 1670>> écrit par Molière ; ensuite le texte de George Feydeau; Feu la mère de Madame, scène

sincère de sa fille pour lui, donne sa bénédiction à Angélique. Avant tout, l'effet principal de ces scènes sur le spectateur est un effet comique, Molière en usant de paradoxe et d'ironie amuse le spectateur/lecteur. Il emploie deux procédé à cette fin, en premier une mise en abyme et en second un paradoxe. La mise en abyme, qui est un procédé consistant à représenter une œuvre dans une œuvre du même type, est employée lorsque Toinette et Béralde jouent la comédie, en effet, on se retrouve