Procès de l'ordre du Temple

l’opposées de celle que la seule apparence avait laissé supposée. Il se disculpe. Plan : I- Récit des faits II- L’analyse des conséquences III- L’enjeu autobiographique I- Le récit des fais A) L’ordre du récit Nous verrons tout d’abord l’ordre du récit afin d’en dégager un exposé plus complet. Ainsi, nous verrons en premier lieu le rappel des circonstances du vol. Puis l’enquête et la dénonciation. Et enfin, la confrontation et le verdict. 1) Le rappel des circonstances

* Compétence judiciaire (exclusivement après Sylla) : les préteurs urbains (ainsi nommés à partir de 242 pour les distinguer des préteurs pérégrins créés à l’issue des 1ères conquêtes extra-italiques) organisent les instances judiciaires pour les procès concernant les citoyens, les préteurs pérégrins pour ceux qui concernent des non citoyens. Au moment de leur entrée en charge, ils doivent, par un édit, expliquer publiquement la manière avec laquelle ils vont appliquer les règles du droit dans la

tesson de terre cuite sur lequel les membres de l’Ecclésia écrivent le nom d’un suspect.Clisthène aurait inventé cette procédure pour protéger le régime démocratique de toute tyrannie. C’est une procédure atypique puisque techniquement ce n’est pas un procès, même si la personne est bannie. Celui qui est frappé d’ostracisme ne peut pas se défendre et d’ailleurs, on ne connait son nom qu’à l’issu du vote. Tous les ans lors de la sixième prytanie, l’Ecclésia se prononce sur l’opportunité ou non de mettre

de majeur : ayant effectué l’éphébie (à ( 18 ans, marque le passage de l’adolescence à l’âge adulte, cérémonies militaires, …) ( Un homme dont les 2 parents sont citoyens (pas forcément dans la cité ; parfois, on n’est pas sûr du père, alors un procès a lieu … voir document 2) Périclès établit la citoyenneté STRICTE par le sang (Père+mère) ( Les citoyens sont les SEULS à pouvoir posséder du territoire -Qui n’est PAS citoyen ? ( Les Esclaves : ( à Athènes, ce sont surtout des esclaves

On le consultait à chaque fois qu’un conflit opposait deux idées. Une querelle opposait deux sectes : « l’une prétendait qu’il ne faillait jamais entrer dans le temple de Mithra que du pied gauche ; l’autre (…) n’entrait jamais que du pied droit. » (p.56, l.12 à 15). Très juste, Zadig lorsqu’il dut rendre son jugement « entra dans le temple en sautant à pieds joints ». Une autre fois, la femme de l’Envieur vint pour le séduire. Zadig l’éconduit poliment ; il lui préférait une des femmes de chambre

également Baudelaire qui a comparé l’acte d’amour à une opération chirurgicale ?             L’ouvrage est aussi un défi à la société bourgeoise bien-pensante et une peinture de l’ordre social entier, qui va entraîner la condamnation de cette œuvre définitivement maudite. Baudelaire aurait pu répondre pour sa défense lors du procès que « tous les imbéciles de la bourgeoisie qui prononcent sans cesse les mots ‘immoral, immoralité, moralité dans l’art’ et d’autres bêtises me font penser à Louise Villedieu

par le Fr G E En entrant, il exécute la marche et les saluts d’usage, puis il reste debout et à l'ordre entre les deux colonnes, jusqu'à ce qu'il soit invité à prendre place. A cette occasion, le Vén pourra poser au Fr les questions suivantes, auxquelles il devra savoir répondre : D. — Mon Fr , d'où venez-vous ? R.— De la L Saint Jean, Vén M D. — Que fait-on à la L Saint Jean. R. —On y élève des temples à la vertu, et l’on y creuse des cachots pour les vices. D. — Qu'en apportez-vous ? R. — Salut

les registres du dème. Il faut y être présenté par son père ou son tuteur, prouver que le jeune homme a bien 18 ans et qu’il est bien un fils légitime ; un vote a ensuite lieu. Si la réponse est négative, on peut faire appel, mais en cas de perte du procès, la personne peut être réduite à un métèque. Accorde-t-on le droit de cité à des gens qui ne sont pas nés citoyens ? Il s’agit d’une procédure très rare. Une douzaine de cas sont connus dans tout le 5e siècle. Toutefois, les habitants de Platées

acte il vont à l’encontre de la volonté de la roi, expriment ainsi la Souveraineté du Peuple et s’opposant à la souveraineté du roi. « L’Assemblée nationale, considérant qu’appelée à fixer la constitution du royaume, opérer la régénération de l’ordre public et maintenir les vrais principes de la monarchie, rien ne peut empêcher qu’elle continue ses délibérations dans quelque lieu qu’elle soit forcée de s’établir, et qu’enfin, partout où ses membres sont réunis, là est l’Assemblée nationale ;

choses autour et sur le droit (les Romains ont écrits du droit). → La source littéraire du droit en Grèce. A./.L'apport de la poésie : Homère et Hésiode. -Poésie signifie création, la poésie grecque est la possibilité de recréer pour les hommes l'ordre qui existe dans l'espace céleste. Sert à mémoriser les mythes fondateurs. La mémoire est une qualité que l'on cultive. -Au VIIIème siècle avant JC, Homère, donne une conception du droit qui est articulée entre deux concepts : Thémis et Diké : le droit