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A la fin du roman Une Vie, de Maupassant, Rosalie dit à Jeanne : « La vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit ». Selon vous, le roman doit-il avoir pour rôle d’ouvrir les yeux du lecteur sur la vie ou de l’aider à échapper à sa propre vie ? I. Le roman, lieu de plaisirs Définition de Furetière, 1690 : « Livres fabuleux qui contiennent des histoires d’amour et de chevalerie ». Encyclopédie, XVIII° s : « histoire fictive des diverses aventures extraordinaires ou vraisemblables

Sujet : La réussite du personnage principal d’un roman suffit-elle à en faire un héros ? Vous répondrez à cette question en vous aidant des textes vus en classe, des lectures cursives et de vos lectures personnelles. Introduction  définir le mot héros : - Le héros est au départ quelqu’un dont les actions l’élèvent à un rang supérieur à celui de la masse du peuple ( haut-faits militaires, acte héroïque, personnage bienfaisant…). - En littérature, on appelle communément héros, le personnage

apparaissent des pulps spécialisés dans l'un ou l'autre genre. C'est dans les années 1950 que la fantasy, genre devenu populaire mais manquant encore de reconnaissance, connaît un succès à la fois public et critique avec Le Seigneur des anneaux de J. R. R. Tolkien (1954–1955), qui devient l'archétype du roman médiéval-fantastique. Tolkien opère une véritable « refondation du genre » qui explique l'importance primordiale que lui accordent les auteurs venus après lui. Le succès du Seigneur des anneaux

Sylvebarbe (appelé Treebeard dans la version anglaise ou Fangorn en sindarin, tous ces noms ayant le même sens) est un personnage fictif du légendaire créé par l'écrivain britannique J. R. R. Tolkien et qui apparaît dans son roman Le Seigneur des anneaux. Il appartient à la race des Ents, des êtres fictifs dont la forme corporelle est semblable à un arbre, bien qu'ils possèdent des capacités humaines comme celles de penser, de parler et de marcher. À la fin du Troisième Âge, époque durant laquelle

Biographie John Ronald Reuel Tolkien John Ronald Reuel Tolkien est né le 3 janvier 1892 à Bloemfontein, Afrique du Sud, de parents anglais. Deux ans plus tard, sa mère donne naissance à son frère Hilary. En 1895, sa mère, Mabel Tolkien, repart avec ses deux fils à Birmingham. En 1896, son père, Arthur Tolkien, meurt d’une maladie infectieuse. En 1900, John Ronald débute ses études à Edward's Grammar School. En 1904, sa mère décède d’un diabète à l’âge de 34 ans. Les deux frères partent alors vivre

Le Seigneur des anneaux (The Lord of the Rings) est un roman en trois volumes de J. R. R. Tolkien paru entre 1954 et 1955. Quoique les deux histoires puissent être lues de façon indépendante, il est la suite de Bilbo le Hobbit, suite demandée par son éditeur à Tolkien1. Durant les douze années de sa rédaction, il s'attache à faire vivre le monde dont il est le créateur, la Terre du Milieu, en truffant sa nouvelle œuvre de références et d'allusions qui la relient au monde du Silmarillion, sur lequel

Selon vous une bonne histoire seule permet – elle de faire un bon roman? Il existe de nombreux prix littéraires comme le prix Goncourt, qui récompense chaque année le "meilleur ouvrage d'imagination en prose, paru dans l'année", c'est-à-dire le meilleur roman de l'année. Ce prix ne peut être décerné qu'une seule fois à un même auteur sauf Romain Gary qui l'a reçu en 1956 pour son roman les Racines du ciel, puis en 1975, sous le pseudonyme d'Émile Ajar, pour le roman La Vie devant soi. On peut

Le roman est depuis le XIXe siècle, un genre dominant de la littérature, basculant souvent entre réalité et fiction. Le personnage est une création réfléchie du romancier à travers lequel il peut s’exprimer et exposer le regard qu’il porte sur le monde. Un bon personnage est-il un reflet de la réalité ou une construction imaginaire très élaborée ? C’est ce à quoi nous tenterons de répondre. Nous verrons d’abord que beaucoup de personnages de roman reflètent la réalité en essayant d’être le plus proche

destinataire, si elle explique le développement de l’album et de l’image, n’est pas caractéristique de la littérature de jeunesse, ne serait-ce que parce qu’il fut un temps où les livres pour enfants n’en avaient pas. L’image participe plutôt d’un processus de démocratisation du livre dans le partage des codes. L’enfant peut désormais s’approprier le livre pour y lire son histoire. Son mode de lecture n’est pas moins légitime que celui de l’adulte, il est autre. A cet égard, la contribution de Matthieu

POCHART Charlotte 2nd 2 Dissertation 20 | | Il y a de moins en moins de lecteur aujourd'hui, car même si l'on initie les jeunes à lire des leur enfances, ils se désintéressent de la littérature, pourtant la littérature comporte certain intérêt. « il y a lire et lire » écrit Jean Guéhenno dans Le carnet du vieil écrivain, 1971. J. Guehenno veut exprimer par là qu'il y a plusieurs sort de littérature, la littérature comme moyen de distraire ou comme moyen d'éduquer