Procédes Farcesques

progression dramatique. 1 Nœud (n. m.) : point culminant de l’intrigue dramatique où tout est mêlé mais où aucune solution ne semble possible. Péripétie (n. f.) : événement inattendu qui modifie et fait évoluer l’intrigue dramatique. Les procédés Aparté (n. m.) : paroles que le personnage dit à l’intention du public et que les autres personnages sur scène ne doivent pas entendre. Canevas (n. m.) : éléments principaux d’une intrigue que le comédien doit connaître et autour desquels il

plus, la transgression du code religieux est majoritairement illustré tout au long de la pièce. Dom Juan est le contre exemple du bon chrétien alors que Sganarelle, son valet est le défenseur du Ciel, cependant c’est un personnage comique, voire farcesque qui rend ridicule la croyance en Dieu : le grand seigneur libertin va à l’encontre de la démarche chrétienne en essayant de trouver une faille dans le système de l’aumône dans la scène deux de l’acte trois. Enfin, la règle de la bienséance est

redéfinition de nos deux misanthropes consistera à remettre en question l’utilisation de ce type de caractère dans une pièce de théâtre. Rousseau, utilisant dans cette lettre à son ancien ami encyclopédiste D’Alembert force persuasion en de nombreux procédés rhétoriques, justifie l’utilisation qu’il fait du Misanthrope de Molière par une rhétorique de la proportion : le plus parfait des auteurs comiques, Molière ; son chef d’œuvre, Le Misanthrope, argumentation d’autorité. S’il n’est pas à propos ici

l'acte III, par suite du quiproquo d'Horace et du rôle que s'est donné Arnolphe, ce dernier assiste, impuissant, au récit de son échec et à une nouvelle description satirique de lui-même. La scène peut même provoquer l'hilarité avec un jeu farcesque, un Horace jouant avec force exagérations le barbon fou furieux, et un Arnolphe affichant des mimiques et des gestes de colère et de désespoir hyperboliques et extravagants. Les différentes scènes évoquées ou dépeintes dans le récit d'Horace

La dissertation sur œuvre :Le Malade imaginaire, Molière Rappel de la méthodologie (cf. cours sur mon site et Pronote)1.Compréhension et délimitation du sujet ; définition des termes reformulation de la problématique2.Recherche des idées, des arguments et des exemples – mobilisation de ses connaissances sur l’œuvre et le parcours. 3. Organisation des idées PLAN (thématique, analytique

est tolérant au point de dire à l’un qu’il trouve la toile touchante et d’approuver les moqueries de l’autre sur le même objet. Finalement, le public est comme pris à partie et doit trancher, ce qu’il ne saurait faire.   Le comique de geste, farcesque, est mis en œuvre dans la dernière séquence de la pièce quand les hommes en viennent aux mains pour régler leurs comptes. Yvan, pleutre, perturbé par l’imminence de son mariage et le délitement constaté des liens qui unissent ses deux amis, prend

biens d’Orgon et menace jusqu’à sa liberté. Sur ce schéma de comédie à l’italienne qu’il affectionne particulièrement et que l’on retrouve dans beaucoup de ses comédies (Les Fourberies de Scapin, L’Avare...), Molière greffe et réécrit un scénario farcesque : le trio du mari, de la femme et de l’amant. Tartuffe convoite Elmire, la femme d’Orgon. Mais Orgon est tellement fasciné par Tartuffe (une fascination presque amoureuse - il l’avoue lui-même qui « verrait mourir frère, enfants, mère et femme /

prophète. Mais authentifie sa parole comme une source divine => cela on le retrouve dans les romans de chevalerie, attribue son discours à une source extérieure mais pas au dieu catholique. Trouver une autre autorité : personne humaine ou livres. Procédé de légitimation de la fable. Intérêt pour Homère de se dire usurper par un dieu. ⇨ Les héros sont sous l’autorité des dieux. Aède : héros de la poésie. L’Aède a le privilège de voir les dieux mais aussi de les entendre. Les dieux se manifestent

je vais te marcher sur les pieds » (l. 20, sc 4), « grosse merdre ! » (l. 21, sc 4), « je jure sur la Mère Ubu... » (l. 23, sc 4). - Expression finale très ironique : Père Ubu appelant Mère Ubu « ma douce enfant » (l. 25, sc 4). 3 Ironie : 1) Procédé rhétorique reposant sur un dédoublement énonciatif : le locuteur avance un énoncé tout en indiquant ou en sous-entendant qu'il ne l'assume pas. 2) Théâtralisation de la parole. 3) Humour noir teinté de cynisme. III. POURQUOI ? Le plaisir du palimpseste

| | |Approche du commentaire littéraire : élaborer une introduction / nourrir un axe en alternant | | |citation-procédé-commentaire | | |Prendre conscience des spécificités du genre théâtral