Procédés Comiques Chez Molière

Classiques & Contemporains Collection animée par Jean-Paul Brighelli et Michel Dobransky Molière Le Malade imaginaire LIVRET DU PROFESSEUR établi par É VELYNE A MON professeur de Lettres SOMMAIRE DOCUMENTATION COMPLÉMENTAIRE La comédie-ballet .......................................................................................... 3 POUR COMPRENDRE : quelques réponses, quelques commentaires Étape 1 Étape 2 Étape 3 Étape 4 Étape 5 Étape 6 Étape 7 Étape

Introduction : L’avare est l’une des comédies les plus populaires de Molière. Cette œuvre est du genre théâtral qui contient tous les éléments du drame et en même temps ce texte est composé d’un aspect comique qui faisait rire les personnes du XVIIe siècle. Dans ce travail, nous tenterons de relever les thèmes principales dans l’acte premier, scène trois. L’avarice : Le thème qui prédomine

traits caractériels de Chrysale III- Le comique de la scène A- Le comique de caractère B- Le comique de situation (déformation des mots, par Martine) Le texte dont je vais vous parler est extrait de l'acte II de la scène 6 des Femmes Savantes de Molière (1622 – 1673). Molière est un auteur, acteur et directeur de la troupe de l’Illustre théâtre. Cette pièce a été représenté pour la première fois en 1672, soit un an avant la Mort de Molière .Cette comédie est composée en 5 Actes et

LE MALADE IMAGINAIRE MOLIÈRE Complément pédagogique Luc Bouvier COLLECTION PARCOURS D’UNE ŒUVRE SOUS LA DIRECTION DE MICHEL LAURIN CHENELIÈRE ÉDUCATION Le Malade imaginaire Complément pédagogique Étude de l’œuvre Par Luc Bouvier, professeur au cégep de l’Outaouais Collection « Parcours d’une œuvre » Sous la direction de Michel Laurin © 2008, 2002 Groupe Beauchemin, Éditeur Ltée Coordination: Johanne O’Grady Correction d’épreuves : Christine Langevin Tous droits réservés. Toute reproduction,

ou un personnage réputé pour son comique, cependant, la comédie ne se réduit pas à un seul aspect. Nous verrons que si la comédie s'emploie par susciter le rire, elle vise aussi d'autre but. La comédie joue sur diffèrent procédés : le comique de situation, le comique de geste, de mot et de caractère. Les coups de bâton, donné par Scapin, à son maitre, durant l'une de ses fourberies par exemple, provoquent le rire général, car, Molière, s'est inspiré sur le comique de geste et de mots.

"Le Bourgeois Gentilhomme" de Molière. 1) Résumé, acte par acte. ACTE I : Dans la maison de M.Jourdain, le maître de musique et le maître à danser discourent de la médiocrité du maître de maison, compensée, il est vrai, par l'ampleur de s bourse ; M.Jourdain n'est certes pas éclairé, mais il paie bien (scène1) ! Arrive M.Jourdain, qui fait longuement admirer sa riche tenue à ses professeurs, avant d'écouter la pastorale composée à son intention, qui constitue le premier intermède (scène2).

Jean-Baptiste Poquelin dit Molière, né en 1622 et mort en 1673 à l’âge de 51 ans, est un homme d’origine bourgeoise renonçant à la charge de tapissier de son père en 1642, et s’associant à une famille de comédiens, les Béjart. En 1659, la troupe est subventionnée par Monsieur, le frère du roi. Le succès arrive en 1662 avec L’Ecole des femmes. Molière se verra accusé d’athéisme en 1665, et deux de ses pièces Le Tartuffe et Dom Juan seront interdites. Il revient ensuite à la farce avec Les fourberies

Question sur corpus Corpus p.422 à 426 (Manuel Le Robert) : textes de Molière, Les Femmes savantes, Musset, Les Caprices de Marianne, et Ionesco, Scène à quatre. Question : Quelles ressemblances et quelles différences les disputes de ces textes ont-elles entre elles ? « Sans conflit, il n’y aurait pas de théâtre », a affirmé Ionesco, et il est vrai que les scènes de dispute abondent dans le répertoire dramatique : débats d’idées, ou vifs échanges entre des personnages dissimulant parfois de

en général léger, enjoué, la fin est heureuse comme une réconciliation ou un mariage. Alors que la tragédie consiste à vouloir plaire et toucher souvent par les sentiments (pleurs, étonnement), essentiellement on y retrouve des conflits intérieurs chez les personnages qui, eux, sont tirés de la haute bourgeoisie ; la fin est systématiquement tragique (une mort). Ces deux genres cherchent à convaincre, convaincre une personne consiste à amener une personne à penser profondément la même chose que

étudiés sont traversés par la dimension comique d’une scène où, comme bien souvent dans Le Tartuffe, plusieurs procédés comiques convergent. Les répétitions, les gestes, l’ironie, l’impuissance des personnages sont autant de moyens de faire rire. Le comique est précieux dans cette scène : il permet la dénonciation de ce qu’il y a de perverti et d’absurde dans l’attitude d’Orgon, sans que la scène devienne jamais pénible. C’est Dorine qui introduit le comique et la résistance à la volonté d’Orgon