Procédés Comiques Dans Le Malade Imaginaire

Armande. Il était d'une santé fragile. A 43 ans, il a été atteint d'une grave fluxion de poitrine. Une grosse toux ne l'a plus quitté et il est mort immédiatement après la quatrième représentation du Malade Imaginaire le 17 février, à 51ans. Les œuvres de Molière : - Le malade imaginaire (1673)-L'amour médecin (1665) - Dom Juan (1665)-Monsieur de Pourceaugnac (1669) -L'Avare (1668)-Le médecin malgré lui (1666) -Les fourberies de Scapin-Tartuffe (1664) II. CONTEXTE

Epreuve de recette du : 26/01/12 7FR20CTPA0411 statut: 83 Objet d’étude : La tragédie et la comédie au XVIIe siècle : le classicisme Questions (6 points) Question 1 Dans les textes A et C, Molière utilise un quiproquo dont l’effet est comique. Dans l’extrait de L’Avare (texte A) en effet, tandis qu’Harpagon se lamente de la perte de sa chère cassette et pense que c’est Valère qui la lui a dérobée, Valère évoque son amour pour Mariane, la fille d’Harpagon. Le quiproquo se noue donc autour

plus des philosophes, La Bruyère se calque sur le modèle d'un dramaturge qui donne une forme comique à l'oeuvre, Molière. Beaucoup de portraits mis en scène dans l'oeuvre nous rappellent des personnages du théâtre du grand comique, comme le boniment de Carro Carri dans « De quelques Usages », à la remarque 68, où on sent l'inspiration du fameux anathème médical de M. Purgon au IIIe acte du Malade Imaginaire. La galerie de portraits s'étend dans toute l'oeuvre, aussi bien que les maximes et les pensées

songe » et « rêverie » aient devancé, dans les dictionnaires et dans l’usage courant, le terme « rêve » plus tardif (presque aucune occurrence avant 1660-1670)3. À l’époque de Tristan : * la « rêverie » et le « songe » sont des productions imaginaires liées au tempérament mélancolique, mais la « rêverie » est diurne, le songe est « nocturne », la rêverie est liée à un sentiment intérieur, sinon intime, individuel et souvent positif4 tandis que le « songe » peut revêtir une dimension plus noire

saisit un trait de caractère ou d’action. Elle peut aussi prendre sens rétrospectivement et se donner à déchiffrer. Elle peut encore donner de fausses pistes, déjouer l’horizon d’attente. Cette motivation du nom du personnage peut jouer sur des procédés : 1) VISUELS : la lettre O pourra être associée à un personnage gros, la lettre I à un maigre… 2) ACOUSTIQUES : onomatopées 3) ARTICULATOIRES : T.K évoque le coup 4) MORPHOLOGIQUES : qui ne lira pas « bœuf » dans « Bovary » II-

Rennes. Perspectives: histoire littéraire et culturelle, genres et registres. Objets d'étude : histoire des genres: le théâtre, comédie et comique. Problématique : la critique des moeurs. Objectifs : découvrir les conventions propres au genre dramatique et leur évolution, lire une oeuvre théâtrale classique, découvrir ses enjeux à travers le registre comique.  L'Ecole des femmes, Molière (Ac Versailles) http://www.lettres.ac-versailles.fr/article.php3?id_article=514 Séquence proposée sur le

bourgeois anglais. On précise ensuite que M. Smith est également anglais, de même que les fauteuils, ses pantoufles, sa pipe, etc. et ce, jusqu’au feu dans la cheminée, au silence qui règne dans la pièce et aux coups de l’horloge. L’effet est bien sûr comique, mais si un intérieur et un fauteuil peuvent être de style anglais, le concept d’une pipe ou de pantoufles anglaises est, lui, beaucoup plus flou. L’utilisation de l’adjectif, ici, rend tout à fait perplexe. Quant au feu et au silence, comment peuvent-ils

Caractérisée par le goût de l’excès, de l’ornement, du pathétique, elle marque l’art européen des XVIe et XVIIe siècles. Dans la littérature française, elle produit des œuvres étranges et fortes (d’AUBIGNÉ, Les Tragiques, 1616 ; CORNEILLE, L’illusion comique, 1636). En réaction à la sensibilité baroque, le classicisme érige en valeurs la simplicité, l’équilibre, le respect des règles imitées de l’Antiquité. La tragédie (CORNEILLE, RACINE) se fixe des règles strictes ; MOLIÈRE critique les artifices des

purification). Nous pouvons donc en déduire que la scène est le lieu de la catharsis, de ce plaisir propre. Si Aristote affecte la catharsis à la crainte (la frayeur) et à la pitié dans la tragédie, nous pouvons aussi bien l’affecter au rire et au comique dans la comédie et plus généralement l’affecter à toute représentation théâtrale. La catharsis est l’effet formel de toute représentation théâtrale. Freud et Lacan : l’inconscient et la catharsis Freud abordera la notion de plaisir et

TRAGÉDIE L'étude du Cid permet d'aborder un genre théâtral souvent méconnu : celui de la tragi-comédie. Cependant, pour que les élèves perçoivent bien la spécificité de ce genre, il faut s'assurer de leurs connaissances des caractéristiques des genres comique et tragique. Pour ce faire, on peut concevoir un bref groupement de textes ou un travail en modules, qui précéderait l'étude du Cid, et s'articulerait autour de l'opposition comédie / tragédie. L'objectif sera de récapituler les caractéristiques de