Productivité marginale

combinaisons productives, les facteurs de production sont substituables. Sinon ils sont complémentaires. -Pour un volume ou une quantité de production donnée, la combinaison productive dépendra de celle qui rapportera le plus de profit. C – La productivité MANQUE D – Le choix des quantités à produire et sans contraintes Le but d'une entreprise est de faire le maximum de profit. Elle va donc choisir le niveau de production pour lequel l'écart entre la recette et les coûts est le plus grand

puissance productive suppl´ mentaire qui peut provenir des machines et les perspective de e croissance fortes que ces derni` res peuvent fournir aux secteurs non-agricoles. e Etant en partie influenc´ par Malthus, il consid` re que les gains de productivit´ ne peuvent ape e e paraˆ que dans l’industrie. Mais l’utilisation progressive des terres de moins en moins fertiles ne itre peut que tirer vers le haut les prix agricols et donc les salaires de subsistance. Cela doit conduire a ` ´ l’´ puisement

et stable à LT car elle dépend elle même de facteurs stable (qui sont le capital et le travail) ;  amélioration de « l’efficacité » / « productivité » des facteurs de production (théorie de la « croissance intensive ») : la croissance est donc provoquée par la combinaison des facteurs de production, cad par :  la productivité du travail ;  la productivité du capital technique ;  synthèse: • en réalité, les deux modes de croissance (extensive et intensive) sont associés. • dans les pays développés

développement est impossible et il est plus difficile d'améliorer les conditions de vie des populations. Il est donc nécessaire de s'interroger sur les sources de la croissance, d'en comprendre les mécanismes - notamment le rôle central joué par la productivité du travail - et d'identifier les agents économiques (entrepreneurs, État) qui, par leurs actions, favorisent l'innovation. Cependant, la croissance n'est pas une fin en soi (voir Dossier 2), car sa mesure est difficile et ses effets sur l'environnement

un salaire monétaire qui lui servira à financer principalement ses dépenses de consommation. Ensuite, la demande de travail assurée par les entreprises dans le but de produire des quantités permettant la maximisation du profit telle que la productivité marginale du travail soit égale aux taux du salaire réel. D’après les Néo-classiques, sur le marché du travail, les prix et le taux de salaire sont parfaitement flexibles à la hausse comme à la baisse et les agents adaptent leur comportement aux variations

jusqu'au maximum. 5.1.2- La productivité. C'est la quantité de biens que l'individu peut se procurer en utilisant 1 unité de sa ressource de base qui est le temps (combien en 1h?). On va supposer que le bien est de la nourriture et pour se la procurer il a besoin de temps. Robinson va se confronter à un problème car chercher de la nourriture revient à travailler càd faire un effort alors qu'il n'aime pas ça, il lui faut donc renoncer à ses loisirs. Productivité : 250g/h Il va pouvoir choisir

production augmente suivant l’évolution du capital physique et travail, qui sont les deux facteurs fondamentaux de la croissance. Pour eux la croissance s’arrête si il n’y plus de progrès technique ou de croissance démographique car pour eux le rendement marginale du capital physique est décroissant (expliqué). Cependant ils estimés que le progrès technique était un facteur exogène à leurs modèle économique. Cela veut dire que le progrès technique ne trouve aucune explication économique. Les seconds modèles

l'angle de la division du travail. Dans son ouvrage majeur Recherches la nature et les causes de le richesse des nations (1776)et notamment l'exemple célèbre de la manufacture d'épingle, il démontre que la division du travail permet de forts gains de productivité. Elle permet de diminuer le temps de travail nécessaire par unité produite pour trois raisons : Grâce à la spécialisation, elle permet un " accroissement d'habilité " Elle permet d'épargner du temps qui se perd ordinairement quand on passe

À LT il y aura un « effet d’éviction » (à expliquer en classe) 14 À ne pas confondre • PIB et PIB par habitant – Avec plus d’heures travaillées, on peut produire plus – Ce qui compte pour le niveau de vie, c’est le PIB par habitant • Production vs Productivité – Production = combien (volume) on produit – Productivité = efficience du processus de production (volume produit par  unité de temps) • Cadre de réflexion de court terme (CT) vs long terme (LT) – À LT(5 ans+), ce sont les tendances lourdes que nous analysons – À moyen terme (3­5 ans)

progression est supérieur à celui de la productivité. Les entreprises sont contraintes dans ce cas à embaucher. Du moins si elles ne choisissent pas d’augmenter le temps de travail (heures supplémentaires), ou d’investir dans des équipements automatisés. En France, un taux de croissance de 4 % était nécessaire pour créer des emplois durant les Trente Glorieuses. 2,5 % suffisent à la fin des années 1980, et 1,5 % aujourd’hui. Ces chiffres correspondent aux gains de productivité moyens de chaque période. La croissance