Productivité marginale

de lignes maximum. 1. Définissez les termes suivants : progrès technique, productivité, rendements d’échelle croissants. [1,5 points] 2. Comparez l'évolution du Produit Intérieur Brut de la zone euro à celle des États-Unis. (document 1) [1 point] 3. A partir des données de la zone euro et des États-Unis, montrez qu'il existe un lien entre les efforts et résultats de Recherche-Développement et la croissance de la productivité. (document 1) [2 points] 4. Quels renseignements sur le rôle des pouvoirs

DÉFINITION CHAPITRE 1 Les grandes questions que se posent les économistes 1. Cout d’opportunité = ce à quoi on renonce 2. Utilité = satisfaction 3. Satisfaction supplémentaire = utilité marginale 4. Loi de l’utilité marginale décroissant = au fur et à mesure qu’un besoin est satisfait, toute consommation supplémentaire apporte de – en – de satisfaction. 5. Le prix relatif = prix d’une unité d’un bien exprimé en unité de l’autre bien. C’est donc le rapport entre le

plupart des économistes de l'école classique pensaient qu'aucune croissance ne pouvait être durable, car toute production devait, selon eux, inexorablement converger vers un état stationnaire. Toutefois, Adam Smith, à travers son étude des effets de productivité induits par le développement de la division du travail, laissait entrevoir la possibilité d'une croissance ininterrompue. - Schumpeter : l'innovation à l'origine de la croissance et de ses cycles. Joseph Schumpeter développe la première théorie

l'accroissement du revenu. On écrit C(Y) = cY, (0 < c < 1), où c dénote la "propension marginale à consumer". Comme dans le modèle néoclassique, les keynésiens présupposent que la partie du revenu qui n'est pas consommée est épargnée. En conséquence, 1-c représente la "propension marginale à épargner". Alors que pour les néoclassiques l'investissement est déterminé d'une manière technique par la productivité marginale du capital qui est comparée au taux d'intérêt, les keynésiens ont pour point de référence

12 2 Les déterminants du taux de croissance 2.1 La fonction de production macroéconomique . . 2.2 La croissance du produit national . . . . . . . . . 2.3 Le rôle des différents facteurs . . . . . . . . . . . 2.4 L’évolution irrégulière de la productivité globale . 2.5 L’hypothèse de convergence . . . . . . . . . . . 2.6 Croissance éxogène ou croissance endogène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

travailleurs) est de moins en moins productif à mesure que ce facteur de production est accumulé dans l’économie, seul le progrès technique peut contrecarrer la décroissance. Il peut y avoir, pour un seul facteur variable, il y a un certain seuil ou la productivité augmente plus vite que la quantité de facteur (rendements croissants), au delà de ce seuil, la production augmente moins vite que la quantité de facteurs (ce sont les rendements décroissants). Chez Solow certes les rendements du capital sont décroissants

coûts de production La productivité des facteurs de production : La productivité mesure l’efficacité de la combinaison productive, la contribution de chacun des facteurs de production à la production totale. La productivité physique : le nombre de produits qu’une unité de facteur de production contribue à produire La productivité en valeur (qui tient compte du prix de la production) La productivité du travail et/ou celle du capital. Les différentes productivités : - productivité physique du travail

estimatives » individuelles. B. La loi des rendements décroissants (1768) pour Turgot jusqu'à certain seuil : avances ont productivité marginale croissante. mais au-delà d'un certain seuil, hausse avances productives sur une terre → suppléments produit de plus en plus faibles par unité d'avances supplémentaire. Aujourd'hui on parlerait de productivité marginale décroissante de l'effort de culture sur une terre donnée. C. Monnaie et intérêt (1766) met en évidence dualité du « prix

PIB augmente. Nous verrons quelles sont les différentes sources de la croissance économique. Dans un premier temps nous verrons quelles sont les différents facteurs de production qui mène à la croissance économique et ensuite que la hausse de la productivité et d’autres facteurs mènent également à la croissance économique. L’accumulation du facteur travail favorise la croissance. Le facteur travail est la quantité de travail effectué en 1 an dans un pays. Elle dépend du nombre d’actifs occupés

la durée du travail (liée au temps de travail, aux congés et à la durée de la vie active). Quant aux variations de la qualité du travail, mesurée par la productivité, elles sont liées à l’éducation ainsi qu’à l’âge moyen et aux migrations intersectorielles de la main-d’œuvre (d’une branche à faible productivité vers une branche à forte productivité par exemple). - Pour le facteur capital, les variations de la quantité de capital utilisé résultent des variations du stock de capital (liées à l’investissement