Profane

conforme à la loi le droit, faculté d’accomplir ou non un acte Le droit, l’ensemble des règles qui réagissent la conduite de l’homme en société, les rapports sociaux. Pour le profane le droit peut être une formalité mais aussi une contrainte, un interdit ( ex; limitation de vitesse, feu rouge..). Le Droit pour un profane peut se manifester dans une confrontation avec l'autorité, un juge ( action en justice), la police, un huissier. Le droit est une réalité multiple et ponctuelle. Le juriste

MA REFLEXION Mes Frères, nous ne sommes plus dans le monde Profane, nous avons laissé les métaux à la porte du Temple ; élevons nos cœurs en fraternité et que nos regards se tournent vers la Lumière. Malgré ma jeune expérience d’Apprenti, ce texte, m’interpelle à plus d’un titre. D’une part, mon récent souvenir, où à l’occasion de mon initiation, un Frère me demanda de me libérer de tous mes métaux (montre-argent-bague-portable) avant d’entrer dans le Temple, je comprenais, que je devais me

avait des centaines d’acteurs qui se produisaient devant des milliers de spectateurs, parfois durant 4 jours. C. Le théâtre profane Le théâtre profane est en général satirique. L’esprit de dérision est alors très développé dans tout le moyen âge. Les esprits les plus respectables acceptent de se voir caricaturer. On voit plusieurs sortes de jeux profanes : 1) La moralité : C’est une allégorie à caractère satirique ou éducatif. C’est l’ancêtre de tout théâtre didactique. C’était

c’est le Maçon qui se déplace dessus, lui-même symbole de sa propre action lorsqu’il se déplace selon le Rite, les pieds en équerre. Et comme on l'a dit, le Pavé est universel, le Maçon marche donc dessus aussi bien dans le Temple que dans le monde profane. Et c’est précisément parce qu’il est Maçon qu’il ne peut pas se déplacer sur la Pavé autrement que par ces perpendiculaires, selon un code bien précis qu’il s’impose à lui-même. Le Maçon porte un tablier et des gants blancs qu’il doit respecter.

une oeuvre, et possède sa vie propre. Le mot sacré représente la quintes­sence du rituel, c’est la synthèse du degré. Le mot sacré vient du latin sacer, qui signifie séparé. L’espace sacré ne peut donc jamais coexister avec l’espace commun, ou profane. Il en résulte que le sacré est toujours assorti d’une notion d’interdiction. Pour l’impétrant que j’étais, lorsque j’ai frappé à la porte du Temple, le sacré était pour moi de l’ordre du religieux : un lieu sacré était un lieu de culte dont le

est évocatrice : il faut voir, écouter, comprendre, mais, parmi les vérités ainsi découvertes, aucun ne doit être divulguée inconsidérablement. Plus tard, Apula écrira dans l’Ane d’Or : « Nul danger ne pourra jamais me contraindre à dévoiler aux profanes les choses qui m’ont été confiées sous le sceau du secret ». il en fut ainsi pour l’enseignement ésotérique de tous les mystères anciens, pour ceux d’Isis et des Pyramides, pour ceux d’Eleusis où l’on célébrait le culte de Déméter, de Perséphone

éloge du progrès. Le passé est opposé avec le présent, « le paradis est où je suis ». Il y a une reprise : ce temps profane, ce siècle de fer, ces nouveaux biens. Un siècle d’abondance et de plaisir. Sobriété est opposée avec le luxe. Il y prône le raffinement des sens tels que le goût, le toucher, la vue, le vin, l’or. La simplicité est opposée au superflu. Des valeurs profanes : - l’industrie valeurs religieuses, - le commerce

représente un enjeu pour l’homme. C’est l’histoire par laquelle on peut passer du monde profane au monde sacré (dimension religieuse du mythe). Mythe cosmogoniques => origine de l’univers. Le temps profane apporte à l’homme une conscience du mal, de la souffrance et de la mort. Ce n’est pas un temps réel, la vrai réalité c’est celle du divin. Le mythe, c’est l’histoire des dieux en espérant pouvoir sortir du monde profane pour revenir aux sources du monde. Quand on fait de l’histoire on abandonne le mythe

arrange tout. La scène de la repentance et La Prière à la Vierge sont souvent jouées. En même temps que le théâtre religieux qui se joue en ville, on joue du théâtre profane, non religieux: la farce, en particulier. Ce théâtre profane se joue plutôt à la campagne mais se développe également en ville où l’on représente des jeux profanes, des moralités, des soties qui ont souvent un caractère satirique et exemplaire. 3) Pour finir, le mystère qui apparaît au début du XVe siècle. Le mystère est une

faux-semblant au plus profond de moi, en travaillant et en me rectifiant petit à petit. C'est le symbole même de la recherche de la vérité en soi et en harmonie avec les autres. C'est aussi celui qui, par excellence, fait exploser la pierre brute profane, état dans lequel nous arrivons tous dans le cabinet de réflexion, que nous devons tailler afin qu’il s’insère dans l’édifice, en un mot l’humanité. En conclusion, Que m’a apporté ce travail ? Ce travail sur moi-même aux cotés de mes frères a