Programme De Belleville 1869

la Révolution Française, se réclame des idéaux de 1789 mais réfute la terreur, la violence. FERRY, républicain modéré, est de cet avis. Un courant républicain plus à gauche ne veut pas quant à lui séparer 1789 et 1793. 1869 Programme de Belleville (TD) de Ferry, Gambetta (centre droit) et Clémenceau (centre gauche) 1870 défaite de Sedan dans la Guerre franco Prusse. Perte de l'Alsace / Lorraine → par la suite il y aura idée de revanche dans les années 1880

qui n'avaient plus le droit de se désigner comme tel. Le radicalisme va être dopé par l'action d'un homme, Gambetta, qui va lui donner une véritable vocation politique et non plus insurrectionnelle. Lors du discours de Belleville en 1869, Gambetta va doter le radicalisme d'un programme politique et insister sur les origines doctrinales du groupements, c'est à dire la Révolution française. Toutefois, lorsque l'on regarde la situation du parti radical en 1940, on est en droit de s'interroger sur la parenté

légitimité // - 4 septembre 1870 ( Paris impose la Rép. « Gouvernement de défense nationale » est installé (Gambetta, Ferry, Favre…) // Gambetta ( avocat de formation, républicain intransigeant. Elu député de la Seine en 1869 sur le « programme de Belleville » (séparation Eglise état – pour la liberté totale de la presse). Partisan de la guerre à outrance. Siège de Paris lui permet de montrer son courage avec l’évasion en ballon. « Commis voyageur de la République », il est le grand vainqueur

ville. Cette union est dirigée par Jules Favre. Parmis les leaders, figure Gambetta. On parle de "gouvernement de défense nationale". Il est républicain mais radical. Il souhaite poursuivre la guerre. Il s'est fait connaître dès 1869 car il défend le programme de Belleville, à savoir l'instruction obligatoire, la liberté d'opinion, de la presse, le vote à bulletin secret et l'élection des maires au suffrage universel. L'objectif est la reconnaissance du gouvernement par les français. Il faut aussi

lanterne" en Belgique. Ainsi que des oppositions artistiques, par exemple, “Napoléon le petit” où Victor Hugo se moque de Louis-Napoléon et le compare à son oncle Napoléon 1er. De plus, des oppositions politiques comme le programme républicain de Belleville par Léon Gambetta en 1869. Puis finalement, des oppositions violentes comme l’attentat d’Orsini le 14 janvier 1858 qui est à l’origine de la sûreté générale.

même temps, il remplace les ministres sans portefeuille par un seul ministère d'État confié à Billault (juin 1863), puis à Rouher en octobre 1863. Cependant, en refusant de nouvelles concessions Rouher mécontente tous les opposants qui ont pour programme commun les « cinq libertés » revendiquées par (libertés individuelles et liberté de la presse, élections libres, droit d'interpellation, responsabilité des ministres). L'opposition se révèle plus vigoureuse, groupée dans un tiers parti dynastique

investissements massifs. Cette modernisation capitaliste s’exprime par la multiplication des banques locales et régionales et surtout par l’apparition de grandes banques de dépôt, tels le Crédit Lyonnais (1863), la Société Générale (1864) et la Banque de Paris (1869) et de nouvelles banques d’affaires, dont le Crédit Foncier, établissement destiné à financer l’agriculture et l’immobilier, ainsi que le Crédit Mobilier, dirigé par le banquier Pereire, afin d’investir dans les grands projets industriels. Ces nouvelles

tournant de la Vie de Gambetta et de l'histoire du radicalisme politique, c'est le réquisitoire contre l'Empire proposé le 14 novembre lors du procès Delescluze qui fait de Gambetta un des ténors du Parti Républicain. En 1869, il répond le 4 mai au fameux “programme de Belleville” de ses électeurs. Cette véritable charte du Parti radical inspirera la vie politique nationale pendant plus de cinquante ans. Il participe à des événements aussi retentissants que la proclamation de la République le 4

idéalistes et pas assez basés sur la science. Ils se lancent dans une stratégie disant que les républicains de 48 n'ont pas réussis car ils n'étaient pas suivis par la population qui n'était pas assez instruite. Ils vont donc se lancer dans un programme laïque d'éducation. Le pôle républicain affiche de façon marquée leur opposition face au clergé. On a affaire à des gens qui vont plutôt être pragmatique, plus réformiste que révolutionnaire. Dans ce groupe, on retrouve Jules Ferry. Il y a également

le Printemps (Jaluzot), la Samaritaine (1869, Cognacq-Jay). Les campagnes ne sont pas en reste. Elles sont, dans le même temps, contraintes de se moderniser, poussant une grande partie de leur population à l’exode vers les villes. L’agriculture atteint de ce fait au cours des années 1860 une prospérité jusqu’alors inconnue. Les villes connaissent de ce fait une croissance démographique sans précédent. L’empereur y conçoit de très ambitieux programmes d’urbanisme. Les grands travaux fourniront