Progression Mystère Horla

préface, notes, etc.). » (le petit larousse 2003) 40 Séquence 1-FR20 Regardons de plus près les textes n°2 et n°3. Dans les deux cas, l’auteur vise à produire une impression : - dans le texte 2, Mérimée crée un « suspense », une atmosphère de mystère, puis d’horreur ; - dans le texte 3, le narrateur provoque une admiration non dépourvue d’ironie. Il ne s’agit pas seulement, comme dans les narrations non littéraires de rapporter une succession d’événements. Il y a aussi une intention esthétique4

lecteur peut se faire une idée du personnage d’après son attitude lorsqu’il arpente les rues de la capitale. Le portrait du jeune homme donne quelques indications sur sa situation et son passé militaire tout en laissant subsister une grande part de mystère (l. 14-31, p. 11-12). Maupassant choisit également de mêler différents points de vue au début du roman : il alterne focalisation interne (nous donnant les pensées de Duroy au style indirect libre, l. 17-22, p. 11-12) et point de vue omniscient.

maire de moi. Je ne peux pas ! Je suis rivé à mon siège; et mon siège adhère au sol, de telle sorte qu'aucune force ne nous soulèverait. MAUPASSANT, Le Horla. Exercice 53. Dans ces deux récits à la 3ème personne, les temps employés sont-ils les mêmes ? Pouvez-vous justifier leur emploi ? Quel est l'effet produit dans le 2ème texte ? Un lundi, 14 juillet 1819 (elle n'oublia pas la date), Victor annonça

lecteur peut se faire une idée du personnage d’après son attitude lorsqu’il arpente les rues de la capitale. Le portrait du jeune homme donne quelques indications sur sa situation et son passé militaire tout en laissant subsister une grande part de mystère (l. 14-31, p. 11-12). Maupassant choisit également de mêler différents points de vue au début du roman : il alterne focalisation interne (nous donnant les pensées de Duroy au style indirect libre, l. 17-22, p. 11-12) et point de vue omniscient.

instigateur du mariage soucieux de favoriser la reproduction sociale et qui va, pour ce faire, jusqu’à donner l’absolution à tous les péchés. C’est pourquoi son sacerdoce a l’allure d’un maquignonnage. Il manifeste encore quelque curiosité pour les « mystères du lit » laissant percevoir, selon le narrateur, « une gourmandise d’homme qui jeûne ». (UV, X, p.133) On en prend conscience lorsque Jeanne vient lui demander conseil pour décider Julien à avoir un autre enfant : on le voit alors, ce qui est très

les pages que le lecteur va bientôt découvrir. Les mots nous manquent pour exprimer tout ce que nous lui devons. Cette thèse n’aurait pas non plus existé sans l’aide et le soutien inconditionnels de Paola Cocchi, qui nous a aidé à appréhender les mystères de l’inconscient. Nous n’aurions pu avancer dans notre travail sans le secours de Danielle Goussot, ingénieure de recherche au Centre Zola (C.N.R.S. / Item), qui nous a orienté dans la littérature de la critique zolienne. Toute notre reconnaissance

mène l’enquête Du Téméraire à l’Araigne : Commynes Chapitre 2 - Le théâtre : on prie, on rit La religion en scènes Sous les porches : « Le Jeu d’Adam » (entre 1160 et 1200) Sur les places : le Jeu de saint Nicolas (1200) Un grand son et lumière : le Mystère de la Passion Adam de la Halle et son théâtre populaire Sus aux bourgeois d’Arras : Le Jeu de la feuillée L’ancêtre de l’opéra-comique : Le Jeu de Robin et Marion De bien bonnes farces ! Le cuvier et son rôlet Maître Pathelin et son « Bêêêe » Chapitre

palais, jouèrent de douces mélodies. Mais ce voyage dans le monde merveilleux est constamment brisé par le retour à la triste réalité : L’enchantement disparut, je trouvai simplement un cabochon de verre, des boutons et des clous sans âme et sans mystère. Cette constatation fut cruelle. J’éclatai en sanglots. Ma mère survint, parla de fatigue, m’emmena dormir. CHAPITRE IV RESUME Sidi Mohammed et sa mère rendent visite à Lalla Aïcha qui habite une maison simple mais où il fait bon vivre. L’enfant

l’enquête Du Téméraire à l’Araigne : Commynes Chapitre 2 - Le théâtre : on prie, on rit La religion en scènes Sous les porches : « Le Jeu d’Adam » (entre 1160 et 1200) Sur les places : le Jeu de saint Nicolas (1200) Un grand son et lumière : le Mystère de la Passion Adam de la Halle et son théâtre populaire Sus aux bourgeois d’Arras : Le Jeu de la feuillée L’ancêtre de l’opéra-comique : Le Jeu de Robin et Marion De bien bonnes farces ! Le cuvier et son rôlet Maître Pathelin et son « Bêêêe

théâtre et la poésie notamment, une forme de spiritualité que les courants réaliste et naturaliste auraient écartée. Il s’agit de prendre ses distances avec l’existence et les sentiments communs pour privilégier l’image rare, l’émotion dans tout son mystère. Le surréalisme marque, dans ses principes et ses œuvres, une rupture avec les catégories esthétiques et les valeurs morales traditionnelles : il s’agit de « changer la vie » (Rimbaud), de dépasser dans la création la logique présidant à l’activité