Progrès Technique Réduit

française depuis 1945. Mais il faut également prendre en compte le progrès technique, défini au sens large comme le progrès technologique (mise au point de produits nouveaux, utilisation de nouveaux procédés de fabrication) mais aussi le progrès en matière d’organisation (nouvelles méthodes de gestion, d’organisation du travail, nouvelle orientation ou spécialisation du système productif dans son ensemble). Le progrès technique, soutenu par l’innovation, permet en effet une amélioration de la productivité

avons pu constater la montée en puissance de la Chine, qui est devenue le premier exportateur mondial. 2. Les origines de la mondialisation La mondialisation telle qu’on la connaît aujourd’hui, est due en grande partie à l’innovation et au progrès technique dans les domaines des communications et du transport. En effet, le prix des télécommunications a considérablement baissé ces dernières années, grâce au développement d’internet. En ce qui concerne les transports, le mode maritime s’est considérablement

l’expansion étant à court terme. - Croissance par S. Kutznets : Amélioration du niveau de vie. Pour lui, cette croissance est surtout mesuée par le PNB/hab. F. Perroux estime que la définition de S. Kutznets définit le progrès. Pour Perroux, le progrès est ce qui donne un sens à la croissance. - Niveau de vie : Ressource matérielle moyenne pour la consommation possible d’une population. Le PIB/hab. est la mesure habituelle. - Pays développés : Pays dont l’activité économique

Sous-partie I- Les facteurs de production Chapitre I- Le Capital Section I- La formation du capital technique ou l'Investissement. I- Les différentes formes d'investissement II- Les facteurs qui déterminent le volume des investissements Section II- Les sources de financement des investissements. I- Les formes d'épargne II- Les facteurs qui agissent sur le volume de l'épargne III- Les motifs qui poussent à l'épargne Chapitre II- Le Travail Section I: Les instruments d’analyse démographique

| |Comment ? |Politique économique, redistribution, Investissement, | | |préservation, progrès technique, investissement | |Pourquoi ? |Écarts de revenus, différenciation, sous développement, | | |inégalités,

croissance ? • Définissez les termes : la croissance, l'expansion, le progrès, le développement, une économie désarticulée. • La croissance économique : c'est l'augmentation soutenue, pendant une longue période, de la production d'un pays. Il s'agit d'une notion purement quantitative (croissance au sens strict). • L'expansion n'est qu'une augmentation conjoncturelle de la production (sur une courte période). • Le progrès est une notion plus générale qui s’assimile à une amélioration sociale

l’électricité). Ensuite (toujours selon le Document 1) nous avons 5 formes d’innovations (définies par Schumpeter) qui ont chacune un impact sur la croissance et le marché économique : → Les innovations de procédés : qui sont toutes les innovations techniques, stratégiques des entreprises pour avoir plus de gains de productivité : dont l’OST : Organisation Scientifique du Travail : le taylorisme ; le fordisme et aujourd’hui le toyotisme qui ont augmenté considérablement la productivité du travail dans

terme qui leur permettra d’augmenter la productivité du travail, l’efficacité du travail, et leur revenu. Dans ce nouveau modèle, on a une fonction Cobb-Douglas avec une combinaison des facteurs Capital et Travail qualifié : Y=Kα(AH)1-α A : progrès technique H : Travail qualifié, qui permet d’augmenter l’efficacité On appelle : u : la fraction du temps consacrée à la formation L : le travail brut, ou non qualifié Relation entre u et H : le travail non qualifié devient qualifié après une période

Accumulation du capital, progrès technique et croissance. On a vu dans la section précédente à  quel point le capital était une source essentielle de la croissance. Nous allons maintenant étudier plus précisément son rôle dans la croissance. Nous commencerons par étudier les effets de l'investissement, c'est-à -dire de l'augmentation du stock de capital, sur la croissance. Nous verrons ensuite que, parce que l'investissement vise souvent à  mettre en œuvre le progrès technique, celui-ci joue donc, in

production et les politiques monétaires et industrielles n'y peuvent rien. Pour M. Friedman le chômage naturel ne signifie pas que ce taux de chômage soit immuable, cela signifie qu'une politique monétaire ou budgétaire ne peut réduire. Il ne peut être réduit que par une formation adapte de la population active et par une offre suffisante. On définit aussi le taux de chômage naturelle comme taux de chômage d’équilibre ou taux de chômage non accélérateur d'inflation c'est a dire employé les gens a un maximum