Projet Professionnel Infirmier Liberal

situation donnée, c'est-à-dire avant que ne survienne le risque ou l’accident, ou le sinistre, si celui-ci survient. - La prévention sert à anticiper, à prévoir des mesures pour combattre et limiter une situation problématique. Aide Dans le contexte professionnel qui nous intéresse, domaine de la santé et de l’action sociale, ce terme désigne l’action d’apporter un soutien à une personne ou à un groupe de personnes financier notamment, mais non exclusivement. Cette notion désigne la façon dont une personne

Les interruptions de formation en Institut de Formation aux Soins Infirmiers (IFSI) Etude des facteurs psycho-sociaux et préconisations Septembre 2008 Rédigée par Anne-Laure LAMBERTON, psychologue Avec la participation de Patrick PELEGE, Dr en sociologie Etude financée par la Région Rhône-Alpes Direction des Formations Sanitaires et Sociales de la Santé et de la Solidarité Centre Jean Bergeret – 9 quai Jean Moulin 69001 LYON – Tél. : 04 72 10 94 30 – Fax : 04 78 27 61 84 – Mél. : crjb@crjb

du financement et de la gestion. Au niveau national : 1) L’Agence Nationale d’Evaluation Sociale et Médico-sociale (ANESM). Elle a pour mission de valider et élaborer des références, des procédures et des recommandations de bonnes pratiques professionnelles. Elle en assure ensuite la valorisation et la diffusion dans le but de développer une culture de la bientraitance dans les établissements qui accueillent des personnes dépendantes. 2) Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie (CNSA) est

LE FORESTIER : neurologue, Paris MF. LE GOAZIOU : médecin généraliste, Lyon B. LE NOUVEL : psycho logue clinicienne, Paris M. LE SOMMER-PÉRÉ : gériatre, Lormont B. MALLEVAEY : service d’aide humaine à domicile, Mons-en-Barœul A. MARGUIRON, cadre infirmier, Lyon R. MISLAWSKI : chirurgien, juriste, Paris F. OCHIN-DEMOULIN : bénévole, Fondation C. Pompidou, Paris D. PLANTAZ : pédiatre, Grenoble F. PUISIEUX : gériatre, Lille C. RICHARD : assistante sociale, UMSP, Montpellier JJ. ROMATET : directeur général

des nuits agitées, des colères rentrées, des moments de blues lorsque, le soir venu, on rentre du travail le ventre noué. La petite dramaturgie invisible de l’enseignant qui a peur de rentrer dans sa classe, du cadre infirmier qui n’a plus le goût du travail d’équipe, du chef de projet informatique qui rêve de devenir ébéniste ou tailleur de pierres. À qui la faute ? Comment rendre compte de cette lancinante montée de la souffrance au travail ? Les explications ne manquent pas. La première

DROIT DU TRAVAIL, DEONTOLOGIE, ORGANISATION DE LA PROFESSION PSY S 21 Ethique et déontologie, préparation à la vie professionnelle et aide à l’insertion professionnelle Responsable : Guy GIMENEZ « Présentation des différentes institutions pour adultes et enfants » Johanna TESTANIERE Cécile VITIELLO Jessica TERCIOLO Anne BEAUMANOIR Tania COHEN Sylvia FANIA 1 SOMMAIRE PARTIE 1 : INSTITUTIONS ACCUEILLANT DES ENFANTS INADAPTES .............. 4 I. AEMO : L’action éducative en milieu

d’une synthèse dans le rapport annuel 2005 de l’OnDPs et à un rapport iRDEs en juin 2006. Dans un précédent Questions d’économie de la santé, les politiques conduites à l’étranger visant à combattre les inégalités de répartition géographique des professionnels de santé ont été analysées à partir d’une revue de la littérature internationale. Ce Questions d’économie de la santé présente les politiques mises en œuvre en France concernant plus spécifiquement les médecins. Améliorer la répartition géographique

autorisé. Ce sujet comporte 8 pages Page 1/8 Le Réseau Diabète 35 (RD35) a été créé en 2001 à l'initiative des professionnels de santé d'Ille-et-Vilaine. Il a pour objectif principal d'améliorer la prise en charge du diabète. Ses activités se déroulent autour de 3 axes majeurs : l'accompagnement et l'éducation thérapeutique, la coordination des soins, la formation des professionnels. Ce réseau s'inscrit dans le plan pour l'amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques

médecins qui exerçaient auparavant en libéral dans des communes excentrées ou dans des quartiers défavorisées, souvent seuls dans leurs cabinets, mettent la clé sous la porte et ne trouvent pas de successeur. Les pouvoirs publics n'ont pas encore réussi à bien quantifier le phénomène. On estime que de 2 à 3 millions de Français sont concernés dans quelque 4 200 communes. Le départ à la retraite dans les cinq ans à venir d'environ 25 % des médecins généralistes libéraux va accentuer le problème car la

questions de démographie médicale et de métiers sensibles sont au centre des préoccupations pour garantir une offre de soins de qualité. Cette gestion prévisionnelle ne saurait être possible sans outils adaptés et actualisés. À cet égard, des projets ambitieux existent dans les trois fonctions publiques : ils concernent l’amélioration de la gestion des connaissances (modernisation des systèmes d’information des ressources humaines, mise en place de l’opérateur national de paie...) et la gestion