Proleptique

s’attends a un discours pathétique qui ne viens pas et laisse place à des phrases courtes, déclarative et un ton neutre. Le champ lexical de la mort accompagne cette annonce avec « mort », « décédée », « enterrement ». L’incipit montre aussi un coté proleptique grâce au vocabulaire juridique « affaire classée » et « officielle » qui fait écho au à la suite de l’histoire et au procès de Meursault.Meursault utilise Maman ce qui contraste avec le fait qu’il n’éprouve aucun sentiment ni d’émotions après cet

Métaphoriquement : Lorenzo manipule même sa mère. Souffrance de la mère amplifiée par le chiasme : «  Je dis que je ne veux pas parler de lui et j'en parle sans cesse » 2°) Les autres personnages éventuels actes à venir de Lorenzo : vision proleptique pessimiste de Marie : son 2ème dialogisme, entre elle et Philippe: « Pauvre Philippe! Il y aura une triste fin pour tes cheveux gris! » Les répliques : Marie en a de bcp plus longues que Catherine, celle ci a un rôle secondaire, compatissant

de lui, prétentieux et les verbes d’action au participe passé sont là pour nous le montrer comme «  heurtant, poussant ». On distingue également que l’auteur utilise dans l’incipit du roman de Bel-Ami un point de vue interne. II/un incipit proleptique (= qui annonce ce qui va se passer) A. Le thème de l’argent Le thème de l’argent est omniprésent, dès les premières phrases lignes 1-2 « Quand la caissière lui eut rendu la monnaie de sa pièce de cent sous ». De plus, ce même thème est

souvent allégorique. Son but : suggérer une atmosphère. La fonction narrative. La description peut apporter au lecteur des indices pour mieux comprendre un récit. Par exemple, des détails peuvent annoncer ce qui va se passer par le suite (valeur proleptique), d’autres peuvent aider à comprendre l’histoire et à en suivre le fil. C’est notamment le cas dans le roman policier et plus encore dans le Nouveau roman, où les descriptions sont essentielles pour donner un sens au récit. Son but : faire comprendre

personnage, mais aussi la description du monde de Charles et donc, de Madame Bovary. III – L’annonce d’un tableau de la médiocrité provinciale A – La construction du suspens 1 – Qui est « le nouveau » ? 2 – Qui est Madame Bovary ? B – Un effet proleptique 1 – Une cruauté omniprésente 2 – Un portrait de Charles qui préfigure la médiocrité provinciale Conclusion : Cet incipit remplit une des fonctions principales des débuts de roman : la présentation d’un personnage. Il est également représentatif

sur A le rend heureux désir de possession = F devient malsainémet hypothèses (voir en bas) sur la vie de FIII – Flaubert critique le sentimentalisme a) Héros , F , ridiculiserperso hésitant , cherchant stratagème pour se rapprocher b) scène proleptique annonce écheccatharsis(voir en bas)+tombe amoureux inconnu(vrai élément sur elle qu’a la fin) « elle », « il la supposait » + regard = seul contact a la fin => espoir , mais détruit par réplique du mariBrouillon analyse« ce fus comme une apparitions »

et est convaincu qu’il va arriver en « gravissant la dernier étage ». Cette citation connote le fait de gravir les échelons. Le champ lexical de la réussite montre l’obsession que Georges Duroy a de réussir. On peut penser que c’est une annonce proleptique. Bel-Ami est sûr de sa réussite. C’est illustré par le champ lexical de l’assurance : « certes », « résolution », « confiance », «immodérée» mais aussi par le verbe au conditionnel « certes, il réussirait ». De plus, « certes » exprime une certitude

extrème. c) Ce cadre de permanence, mis sous le regard de la Providence, constitue dès lors le décor d’une action dramatique où péripéties, retournements et catastrophes sont concevables. d) De même, dans cette pièce, l’évocation analeptique et proleptique, « dés long temps » (v.95 , discours à la Royne), des prophéties passées et d’une histoire à écrire, dote le poète d’un regard informé et fort d’une lucidité toute récente, comme s’il avait été brutalement dessilé par la considération des faits

insultes : apostrophes, ironie par antiphrase, leur place dans le vers ; le chiasme « lettres/esprit », la syllepse de sens/équivoque ; b. Les menaces : irréel du passé, avertissement ; formule controuvée… c. Les métaphores du duel : une scène proleptique, le service du jeu de paume (vocation première du lieu scénique plus en rapport avec la joute) et de l’escrime ; effets de duel dans le dialogue : attaque, parade par invention poétique, il s’agit de croiser le fer avec les mots… Troisième piste

triste mais, pleine d'illusions, celle-ci semble repérer un avenir étoilé dans la mare bleue : après être descendue tout en bas, elle ne peut que remonter vers la lumière. Mais cette fontaine aurait plutôt pour l'auteur et le lecteur une valeur proleptique puisque les gouttes d'eau font écho aux gouttes d'alcool tombant de l'alambic de l'Assommoir et symbolisant la chute (ou la noyade) dans l'alcoolisme de Gervaise à la fin du roman. Les notes prises par Zola lors de ses enquêtes sont donc nécessaires