Proleptique

elle-même, ainsi que le montre la composition du passage, du général (le « noyau ») au particulier (le discours direct amplifie la simple citation à la fin de l’extrait). De même, on soupçonne l’importance du personnage d’Odette de Crécy par l’allusion proleptique faisant référence au titre du récit (« et déclarait être « un amour » »). - La description du salon s’effectue par antithèse avec ce qu’est, à l’époque, le salon mondain. Mme Verdurin est issue d’une « famille bourgeoise », elle reçoit uniquement

implorant sa clémence, Et payant de raisons le Raminagrobis : Alexandrins. Le narrateur présente les personnages, expose la situation dans laquelle ils se trouvent tout en anticipant sur le dénouement de l'action et de la fable dans ces vers proleptiques. On peut noter le verbe croire ici employé au passé simple qui sera repris dans la morale sous forme de présent gnomique ainsi que les qualificatifs « jeune » et « vieux » repris sous forme nominale dans la morale « jeunesse » et « vieillesse »

demi-mot est développé par deux propositions subordonnées successives. La première, « qui s’était déjà déclaré » laisse sous- entendre un passé sulfureux ; la seconde « et qui a causé, dans la suite, tous ses malheurs et les miens » clôt de façon proleptique et tragique cet extrait tout en plaçant le lecteur dans un effet d’attente. Par cette rencontre, le destin des personnages est scellé. Conclusion La rencontre amoureuse racontée par le double regard d’un narrateur jeune et passionné et d’un narrateur

apostrophes, ironie par antiphrase, leur place dans le vers ; le chiasme « lettres/esprit », la syllepse de sens/équivoque ; b.    Les menaces : irréel du passé, avertissement ; formule controuvée… c.    Les métaphores du duel : une scène proleptique, le service du jeu de paume (vocation première du lieu scénique plus en rapport avec la joute) et de l’escrime ; effets de duel dans le dialogue : attaque, parade par invention poétique, il s’agit de croiser le fer avec les mots… III La double

Le Roi socrier S-T8 Feuilles bamban Histoire S-T9 S-T0 Friban et B. fasséké S-T11 S-T12 Krina S-T13 S-T 14 L’émpire Partage du monde Nianie S-T16 Manding Eternel S-T17 S-T18 b) Les relations proleptiques et analeptiques. S-T1 S-T2 S-T3 S-T4 S-T5 S-T6 S-T 7 S-T8 S-T9 S-T10 Prolepse S-T11 S-T12 S-T 13 ST 18 Analapse Nous constatons que le sous-titre « la parole du griot MAMADOU Kouyate » (s-t1 ) est

significations langagières et des effets qu’elles permettent d’obtenir » (Houdé et Winnykammen 1992, p. 92). Mais les interactions de tutelle ont aussi le pouvoir potentiel de créer des zones proximales de développement en offrant un enseignement de type proleptique : l’apprenant peut s’engager dans une tâche qui dépasse ses compétences actuelles, tâche qui conserve son intégrité. L’évolution dans la zone de développement se caractérise alors par un transfert progressif de responsabilité de l’expert vers

plusieurs fonctions : tout d’abord, elle contribue à l’ effet de réel, qui permet au lecteur de s’imaginer que l’histoire qu’on lui raconte est vraie. Elle permet donc d’instaurer un pacte de lecture réaliste. Ensuite, elle a une fonction symbolique proleptique : elle annonce la personnalité des personnages qui vivent dans ce milieu. Elle critique et présente la classe sociale du « peuple » en donnant une valeur de jugement : elle souligne la misère, la pauvreté de la pension populaire. De plus, on repère

| |Reconnaître la valeur | | | | | | | |proleptique d’un extrait. | |8. A la vie à la mort ! |Comment le personnage |Être capable d’expliquer un texte|Valeur du pronom « on » ; |Extraits de Le Parfum, |S’intéresser à la naissance|Travailler sur l’onomastique ; | |Des destinées

satirique en évitant une caractérisation animalière trop précise qui réduirait la puissance évocatrice du comparant. De même que les « animaux » sont déterminés par l’épithète « couards », le « lion » – auquel on peut appliquer la périphrase proleptique « roi de la plaine » – est précédé de l’adjectif redondant « courageux », surdétermination tautologique dans un premier hémistiche qui 5 LE LION, LE SANGLIER, LE TAUREAU ET L'ANE. Quiconque

vient d’être déflorée par Valmont). - Les récits concernant Prévan et les Inséparables ont disparu. Ces intrigues secondaires avaient certes le mérite de mettre en avant les coulisses du libertinage, et surtout pour Prévan, d’en faire le double “proleptique” du Vicomte. Néanmoins, on peut apercevoir le supposé Belleroche au détour d’un angle. - La théâtralité comique vient aussi du jeu des acteurs. Malkovitch, très cabot, s’en donne à coeur joie dans le rôle du libertin athée qui observe la Présidente