Prologue Manon Lescaut

Gargantua , Rabelais Intro : Humanisme / Moine-médecin qui devient écrivain / Pantagruel (fils de G.) 1532 / Alcofribas Nasié Prologue de l’Auteur : Prob : En quoi les premières lignes donnent-t-elles le ton de l’œuvre ?1er mvt : l’adresse au lecteur 2nd mvt : la double nature des silènes 3eme mvt : la double nature de Socrate L’éducation des sophistes :Prob : Comment la dose des activités matinales permet a Rabelais de formuler une sattire ?1er mvt : le temps du levé2nd mvt : l’art d’argumenter

Les fiches de lecture des livres suivant : page 3 à 20 - A) Gargantua page 3 à 5 - B) Micromégas page 6 à 8 - C) La princesse de Clèves page 8 à 10 - D) Manon Lescaut page 10 à 12 -E) Les fausses confidences page 12 à 14 -F) Ruy Blas page 14 à 16 -G) Les fleurs du mal page 16 à 19 -H) Le parti pris des choses

de Jean-Luc Lagarce (1990) Parcours associé : Crise personnelle, crise familiale1ère partie de l’épreuve : explication linéaire et question de grammaireTextes de l’œuvre intégrale Etonnants classiques6 - Le prologue - p. 517- Le soliloque de Suzanne Première partie, scène 3, de « Parfois, tu nous envoyais des lettres » à « C’est pour les autres » - p. 638 - La tirade d’Antoine Deuxième partie, scène 3, de « Et nous, nous nous sommes fait du mal » à « à t’attendre »

-1-Prologue de GargantuaC'est pourquoi il faut ouvrir le livre et soigneusement peser ce qui y est traité. Alors vous reconnaîtrez que la drogue qui y est contenue est d'une tout autre valeur que ne le promettait la boite : c'est-à-dire que les matières ici traitées ne sont pas si folâtre que le titre le prétendait. Et en admettant que le sens littéral vous procure des matières assez joyeuses et correspondant bien au titre, il ne faut pourtant pas s'y arrêter, comme au chant des sirènes, mais interpréter

Français : Abbé Prévost – Manon Lescaut ( pp 141 – 151 (prologue) ; pp171 – 173 ; pp 193-194 ; pp 199-201 ; pp 300-302 ; pp 325-327) Premier élément est la tonalité tragique car l’intrigue nous renseigne sur cette passion amoureuse qui conduit à homme de bonne famille à sa perte et à une courtisane à sa mort. Tous les ingrédients sont réunis pour qu’on qualifie ce texte de tragique ! On observe un vocabulaire qui est emprunté à la tragédie plus particulièrement à celui de Racine, on trouve dans

s’était déjà déclaré, et qui a causé dans la suite tous ses malheurs et les miens. (…) Abbé Prévost, Manon Lescaut, 1753Textes EAF - /13 20 ET 13 1 5 10 15 20 25 Elle s’assit. Je demeurai debout, le corps à demi tourné, n’osant l’envisager directement. Je commençai plusieurs fois une réponse que je n’eus pas la force d’achever. Enfin je fis un effort pour m’écrier douloureusement : « Perfide Manon ! Ah ! perfide ! perfide ! » Elle me répéta, en pleurant à chaudes larmes, qu’elle ne prétendait point

du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut, plus communément appelé Manon Lescaut (1731) de l’abbé Prévost A Le contexte • Le contexte historique. La fin du règne de Louis XIV, période durant laquelle se déroule l’histoire de Manon Lescaut, est mar- quée par une austérité que la Régence (1715-1723) s’applique ensuite à dissiper. Sous Louis XV, les divertissements et l’argent sont au premier plan, ce qui n’empêchera pas en 1733 la condam- nation de Manon Lescaut au nom de l’ordre moral. • Les

l'œuvre de Rabelais ? Ses intentions restent assez énigmatiques. Dans l'avis au lecteur du Gargantua, il dit vouloir avant tout faire rire. Puis, dans le Prologue, par une comparaison aux silènes et àSocrate, il suggère qu'une intention sérieuse et un sens profond se cachent sous l'aspect grotesque et fantaisiste. Mais dans la seconde moitié du prologue, il critique les commentateurs qui cherchent des sens cachés dans les œuvres. Manifestement, Rabelais aime laisser planer l'ambiguïté et perturber son

êtres socialement indéterminés, marginaux (Camus, l’Etranger), ayant des difficultés à s’exprimer en société.   Les origines du roman   Au Moyen-âge, le mot « roman » désigne, par opposition au latin, la langue vulgaire, celle parlée. Dans le prologue du Chevalier à la charrette (1176-1181), Chrétien de Troyes affirme « entreprendre un roman », donnant sa terminologie à un genre où le récit repose sur la représentation de l’homme dans son devenir (comme le souligne Bakhtine en 1978). Les premiers

vers le naturalisme objectif d'un Zola et d'autre part vers le roman psychologique. Synthèse sur le roman : Les origines du roman Au Moyen-âge, le mot « roman » désigne, par opposition au latin, la langue vulgaire, celle parlée. Dans le prologue du Chevalier à la charrette (1176-1181), Chrétien de Troyes affirme « entreprendre un roman », donnant sa terminologie à un genre où le récit repose sur la représentation de l’homme dans son devenir (comme le souligne Bakhtine en 1978). Les premiers