Prologue Plaute

l'identité au sein des sociétés au théâtre à traversé les âges, il n'est pas que le fruit de guerres mais il découle aussi d'une incapacité à être soi-même devant les autres et ce depuis l'Antiquité. Tel est le personnage de Jupiter dans Amphitryon de Plaute, celui-ci ne peut se rapprocher d'Alcmène, la femme d'Amphitryon qu'en prenant l'apparence de ce dernier. Ainsi, la question de l'identité montre que le souci de l'apparence n'est présent que lorsque l'individu est confronté à sa société, peut-être

des situations grotesques ou comiques. Nous allons étudier et analyser cette relation à travers différents extraits de pièces. Le premier texte du corpus est un extrait de l'acte I (les scènes 1 et 2) de L'Aululaire (La Comédie de la marmite) de Plaute. Euclion se débarrasse de son esclave Staphyla car il la soupçonne de vol. Tous ses soupçons se portent sur elle, même si elle n'a rien fait. Il la traite d'espionne, de coquine, de vaurienne, de gueuse, de vieille, de terre à aiguillons. Euclion

moyenne », qui dure jusque vers 330, cherche ses thèmes dans la mythologie et dans l’observation des mœurs en attendant que Ménandre (vers 342-292 av. J. C. ), principal auteur de la « comédie nouvelle », connu surtout par les imitations qu’en feront Plaute et Térence, oriente cet art vers la peinture de l’amour contrarié, des caractères et des conditions, en évitant toutes les outrances du langage ; l’intrigue s’émonde et la psychologie s’affine. On voit ainsi le chemin parcouru : du comique au plaisant

Dissertation sur l’avarice La Marmite de Plaute L’Avare de Molière LA RUBRIQUE LITTÉRAIRE Comme tous les vendredis a lieu la « Rubrique Littéraire », rendez-vous incontournable des passionnés de lettres. Aujourd’hui, nous allons parler de deux comédies. La première est La Marmite de Plaute et la deuxième, L’Avare, de Molière. Ces deux comédies ont été respectivement écrites en 194 av-JC et en 1668. Nous avons rassemblé ces deux comédies car elles traitent le même sujet : l’avarice. La

les contemporains : les hommes politiques, les philosophes et les écrivains. Ex: Lysistrata * LA comédie nouvelle ( Ménandre, Ie av. J-C ) se moque des vices des hommes, elle est l'ancêtre de la comédie latine. II) Les origines latines Avec Plaute la comédie latine est moins politique et plus populaire que la comédie grecque. Elle met en scène le petit peuple, comme les esclaves, les marchands. Elle provoque un rire franc. Ce comique est proche de la farce. Avec Térence, la comédie latine

En premier lieu, la pièce « l'Avare » de Molière présente des caractéristiques essentielles du classicisme en ce sens où il fait preuve d’un idéal de vérité menée par la domination de la raison. En effet, la pièce respecte la règle des trois unités, dont voici celle du temps, quand Harpagon promet sa fille en mariage, à un seigneur inconnue, le soir même: [Au début de la pièce] Harpagon : Je suis votre très humble valet, mais avec votre permission, vous l'épouserez dès ce soir. [À la

mythologiques qui servent à donner une assise à la nouvelle puissance romaine. 2. Les mythes grecs : mythes littéraires et culturels. Le grec est la langue des Romains cultivés : importance du bilinguisme, de l’éducation grecque. Le cas d’Amphitryon par Plaute : La place du théâtre et de la comédie à Rome, dans le cadre des jeux scéniques. Des jeux surtout ludiques, dans le cadre de cérémonies festives, souvent religieuses, qui rassemblent toute les couches de la société romaine. Le mythe d’Hercule

Étude comparative de l’Avare de Molière 20 observations signatures Grâce aux trois analyses, on peut montrer que Molière s’est clairement inspiré du texte de « la marmite » de Plaute car : -Dans l’œuvre de Molière et dans celle de Plaute les classes sociales des personnages sont les mêmes : Strobile et La Flèche sont des valets (Strobile est l’équivalent d’un valet dans l’antiquité grec) tandis que Harpagon et Euclion, eux, sont des bourgeois. Les caractéristiques

vient de Plaute et de Térence, de la farce, de la comédie espagnole et de la Commedia dell’arte, il a tendu un miroir à ses contemporains pour qu’ils reconnaissent leurs travers dans des personnages – l’Avare, le Misanthrope, le Malade imaginaire – devenus des « types » immortels. En septembre 1668 au théâtre du Palais-Royal, l’auteur représenta pour la première fois L’Avare . C’est une comédie en cinq actes écrite en prose. L’intrigue se déroule à Paris. Inspirée de L’Aulularia de Plaute, L’Avare

aussi par le théâtre classique de l’époque. D’où Molière puisa son inspiration avec la rencontre des acteurs de la commedia dell’arte. (L’AVARE est également une forme de réécriture de La Marmite de Plaute[->0], 254 av. J.-C.[->1] - 184 av. J.-C[->2].). [->0] - http://fr.wikipedia.org/wiki/Plaute [->1] - http://fr.wikipedia.org/wiki/-254 [->2] - http://fr.wikipedia.org/wiki/-184