Prologue Plaute

aux yeux des spectateurs de l’époque, les liens avec Amphitryon étaient encore plus forts. En effet, L’Avare et Amphitryon sont les seules pièces de Molière qui se présentent clairement comme des réécritures de pièces antiques, en l’occurrence de Plaute : la pièce du même titre pour Amphitryon, L’Aululaire (La Marmite) pour L’Avare. Il y a là un petit cycle plautinien, exceptionnel dans la carrière du grand homme. En effet, dans le système de pensée classique, la tragédie et la comédie s’opposent

pièces. L’état, afin de distraire le peuple et l’amuser pour qu’il ne se rebelle pas contre lui, lui offrait des représentations théâtrales. Le théâtre avait donc une fonction politique distractive. D’un autre côté, des auteurs innovants, tels que Plaute, Terence, Ménandre ou Aristophane, créaient des œuvres théâtrales qui plaisent, du fait qu’elles montrent des types humains généraux (des plébéiens, des courtisanes, des marchands), et mettent en scène des aventures détachées des réalités citoyennes

· GENRE : ici la comédie (la Marmite) · REGISTRE: sentiments provoqués chez le lecteur. unchamps peut donc avoir plusieurs registres ! ici dans ce texte la comédie a un registre comique mais aussi tragique ce qu'il fallait : evoquer la Néa , plaute s'en inspire / les 2intrigues se nouent et vont bientot se délier (caracteristiques) / on a affaire a deux monologues , peut causer probleemes de communication/ consequences du vol de la farce/ montrer quon a 3temps dans ce texte passage de diverbium

Navarre) auxquels il reviendra de loin en loin (Le Festin de Pierre en 1665, publié après sa mort sous le nom de Dom Juan, puis Les Fourberies de Scapin en 1671), il se tournera seulement à deux reprises la même année (1668) vers le théâtre latin de Plaute (L'Avare et Amphitryon). Pour le reste, il construit des intrigues originales en combinant divers schémas narratifs puisés ici et là (Le Décaméron de Boccace, les nouvelles de Straparole ou de Scarron, les fabliaux[3])… Cette conception originale

Navarre) auxquels il reviendra de loin en loin (Le Festin de Pierre en 1665, publié après sa mort sous le nom de Dom Juan, puis Les Fourberies de Scapin en 1671), il se tournera seulement à deux reprises la même année (1668) vers le théâtre latin de Plaute (L'Avare et Amphitryon). Pour le reste, il construit des intrigues originales en combinant divers schémas narratifs puisés ici et là (Le Décaméron de Boccace, les nouvelles de Straparole ou de Scarron, les fabliaux3)… Cette conception originale de

incontournables de ce genre est bien entendu Molière, qui a écrit des œuvres telles que le Tartuffe, l'écoles des femmes, l'Avare, le médecin malgré lui et bien d'autre encore. Mais d'autres se sont également révéler maître dans l'art de la comédie, comme Plaute, Beaumarchais ou bien Aristophane. Malgré tout, une question se pose. Provoquer le rire chez le spectateur est-elle l'unique fonction de la comédie classique ou en a-t-elle d'autres. Nous verrons donc dans un premier temps si le but de la comédie

remarquons que certaines pièces de théâtre possèdent une dimension satirique, notamment les comédies qui "corrigent les mœurs par le rire". La comédie se propose d'instruire le spectateur en mettant en avant ses défauts, comme dans "l'aululaire" de plaute ou dans "les précieuses ridicules" de Molière. Au contraire le théâtre peut ne pas servir à divertir mais plutôt à aborder ce qu'il y a de terrible dans la vie. Comme par exemple les tragédies qui inspirent au spectateur "la crainte et la pitié"

par Aristophane (-450 à -386). Aristophane a notamment écrit Les Nuées ou même les Cavaliers. • La nouvelle comédie est quant à elle représenté par Ménandre (-342 à -292) qui a écrit L'Arbitrage ou Le Bouclier. Auteur Romain De Comédies : • Plaute (-254 à -184) est l’un des premiers grands écrivains de la littérature comique, il s’est illustré avec Amphitryon et même Asinaria. Il a lui-même influencé Molière et Shakespeare. • Térence (-190 à -159) a fait des comédies qui font s'affronter des

respect/soumissions(Dans le texte de Corneille) et dans le texte de Plaute, ils se tutoient tout les deux.Exageration de la part des deux personnages,ventardise ,Guerrier courageux,beaux,vaillant il va les comparer , beaux comme un roi vaillant comme un héros/comparaisons avec les dieux/Exageration, hyperbole. Flatterie--->ironique/duplicités Conclusion: La ventardise des deux soldats eclate des leurs entrer en scene:dans le texte de Plaute le valer sert a la faire ressortir, alors que dans celui de Corneille

intrigue:  ce qu'il voulait, c'était assister aux prouesses théâtrales de ses acteurs favoris! La farce La farce, qui a comme but de faire rire et qui a souvent des caractéristiques grossières, remonte à l'antiquité gréco-romaine. Aristophane et Plaute l'ont illustrée dans nombre de leurs œuvres.