Pronom indéfini

provoque au contraire l’aliénation du lecteur qui se trouve alors réellement à l’extérieur du monde éluardien, en ne comprenant pas précisément ce que le poète désigne – ce qui est un premier paradoxe que le poème provoque. De plus, Eluard utilise le pronom personnel « nous » (v.3), ce qui montre une focalisation interne de sa part dans le poème et ce point de vue subjectif et personnel est aussi appuyé le style majoritairement paratactique – les propositions juxtaposées créent ainsi un effet de confusion

penser que le narrateur ne veut pas analyser les tropis. Le texte se présente comme un compte rendu scientifique et objectif. Les tournure impersonnelles comme « il est à noter que » (l. 14) sont un moyen d'atteindre cette objectivité apparente. Le pronom « on » (l. 4) laisse planer le doute : s'applique-t-il aux hommes, au lecteur, au narrateur... ? Les marques d'oralité comme « oui, » (l. 5) et « c'est […] qui » (l. 5-6) visent à se rapprocher du lecteur et donc lui faire partager son opinion. De

discours à la première personne "Je m'en charge, je le veux, je l'ai mis là... je sais votre mérite, je sais mes talents, je vous conduis" l.33. Le pronom "vous" l.14 utilisé pour Dorante devient "nous" l.33 puis "je" l.35, le texte qui parlait de Dorante à la base, se finit en parlant de Dubois. La jeune veuve, quant à elle, est désignée par le pronom indéfini "on" l.36: "toute raisonnable qu'on est ; on vous épousera, toute fière qu'on est, et on vous enrichira". Ainsi, elle n'apparaît pas en tant qu'individualité

encore « Voilà ce que c'est que les hommes » et enfin pour clore les portraits « Songe à ce que c'est qu'un mari » : pluriels généralisants pour collectif anonyme et dépréciatif (« les hommes »). De nombreux « je » ponctuent le dialogue ainsi que des pronoms « moi », « moi-même »... → implication du personnage dans son discours. A travers cette argumentation c'est le bonheur de toute une vie qui est en jeu. Silvia utilise aussi le present à valeur de vérité générale. Dans les portraits, plusieurs

L’image de l’Union et du bonheur (registre lyrique). - Les deux premières didascalies marquent le lien amoureux entre Camille et Perdican: « Il la prend dans ses bras », « l’embrasse ». - L’union entre ces deux êtres est marquée par l’emploi du pronom personnel «nous », ex : « insensés que nous sommes ». - L’emploi du tutoiement (alors que ce n’était pas le cas auparavant) marque une certaine intimité. - L’apostrophe «chère créature » renforce cette impression de complicité. - La reprise en

Insistance mise en place par le parallélisme qui suggère que cela est rien et qu’Arnolphe craint qch « quelque » = dét indéfini ce qui participe au non dit. « caresse » a un sens extrêmement vaste. Euphémisme. Spontanéïté : interrogation. + jeu de parallélisme « et les mains et les bras » qui marque cependant un enthousiasme. Caresse à baiser Quelque autre chose : toujours indéfini – renforce le non dit On joue ici sur l’innommable IE entre en adéquation avec prudence du personnage : ne veut pas

14) II. Critique du roi et de ses courtisans A) Le discours hypocrite du roi La stratégie du lion est très étudiée. → commence son discours par "mes chers amis" (v.15) : donne 'impression d'être proche du peuple + pronoms "nos", "nous" : il feint la bienveillance, solidaire dans le malheur → semble prêt à se sacrifier "je me dévouerai donc" (v.30) mais il sait que personne n'osera le désigner comme coupable : il ne prend donc aucun risque et peut ainsi

défini ou indéfini ? L’article indéfini et ses valeurs de sens Et quand l’article est aux abonnés absents… c’est grave, Docteur ? L’adjectif : un compagnon de (haute) qualité Une nature, et quelle nature ! L’adjectif sera qualificatif ou ne sera pas… Le pronom, un porte-voix du nom aux mille facettes Les personnels, toujours tournés vers leur (petite) personne Mais alors, quand emploie-t-on « on » ? Une fonction qui lui colle à la peau ! En et y, de drôles de zigotos Un mot des pronoms… qui

Le redoublement du pronom sujet par un nom ou par un pronom provoque des redondances : « Il geignait aussi lui », « Il se tordait et se retournait les pattes le cochon... », « Il ne savait pas comment se cacher le gros cochon... ». Les liens entre les phrases sont simplifiés, ou assurés par des conjonctions de coordination ou des adverbes de liaison : « Et puis... », « Et... ». L’emploi des pronoms est aussi révélateur : « ça ne servait à rien non plus ». Le pronom indéfini « on » est employé comme

dessèchent :/dɛsɛʃø/ (étym. latin siccus). Verbe dessécher à la troisième personne du pluriel de l'indicatif présent. Dans la même famille : dessiccation, dessèchement, assèchement. tout :/tu/ (étym. bas latin tottus, du latin classique totus). Pronom indéfini masculin singulier. Dans la même famille : toute(s). point :/pwɛ̃/ Adverbe qui renforce, comme pas, la négation ne. arbres :/aʁbʁø/ (étym. latin arbor, -oris). Nom commun masculin pluriel. Dans la même famille : arboriculture, arbret. Le e final