Pronom indéfini

d'un enseignant très optimiste, qui fait de lui un optimiste aussi. Nous allons voir ce que Voltaire dénonce dans l'apologue. Tout d'abord, il dénonce l'esclavage puis l'hypocrisie et les mensonges. Pour dénoncer l'esclavage, le pronom indéfini « on » est employé. Ce « on » renvoit aux esclavagistes, à qui l'on ne peut pas s'opposer. C'est une masse dangereuse car elle fait subir aux esclaves de terribles châtiments comme le dit le pauvre homme allongé par terre « la meule nous

récit de deux phrases très significatives. Il nous prévient de l'égocentrisme de Gnathon dès la première phrase «  Gnathon ne vit que pour soi, et tous les hommes ensembles sont à son égard comme s'ils n’étaient point . ». La répétition du pronom « il » une quarantaine de fois dans le texte ( seulement long de 20 lignes ) accentue l'effet que le monde tourne autour de Gnathon : « IL écure ses dents, et IL continue à manger. IL se fait quelque part où IL se trouve une manière d'établissement

maîtresse sur sa servante. Une perte significativement notée par le glissement énonciatif qui fait passer Silvia du vouvoiement au tutoiement lorsqu’elle s’adresse à Lisette. Les deux autres mouvements s’organisent quant à eux autour d’un autre pronom, indéfini cette fois, le « on » qui acquiert chez chacune des femmes une connotation différente, antithétique. 2 Le second mouvement (de « premièrement ce que tu dis n’est pas vrai » jusqu’à « il est bel homme dit-on et c’est presque tant pis ») laisse

parcouru tous les déserts et toutes les mers. Des vers 17 aux vers 21, La Fontaine se livre à une critique sévère du rat. - Le rat aurait eu un maître « magister » dont La Fontaine s’empresse de ne pas valoriser par l’emploie du pronom indéfini « certain » qui nous laisse dans le flou. « Ces » laisse le lecteur dans le vague. Enfin, l’expression « à travers champs » est tellement vaste que le lecteur est plus confrontée à des rumeurs qu’à des faits réels et attestés. Le participe

aspects de l’usine qui sont très inquiétantes «  on ne voyait point », « rares lueurs sortaient des fenêtres encrassées », « bois noircis », « noyée de nuit et de fumée ». Le personnage est décrit par « un homme » le fait que l’auteur emploi l’article indéfini « un » permet de ne pas préciser l’identité de l’homme et de créer une sorte de suspens. « Homme » n’étant pas réellement défini, on sait que c’est un être de sexe masculin mais rien de plus. Il sera par la suite défini en tant que « l’homme », ce

accumulation → idée d'abondance de plaisir du côté amoureux et de l'amour porté. Poème commence par je t'aime fini par je n'aime pas : contraste négation, met en relief la femme qu'il aime en opposition avec celles qu'il n'aime pas. Emploie du pronom personnel « tu » 2eme sg → la met en exergue la désigne explicitement pour une déclaration d'amour répétitive. Association du « je » au « tu » tout au long du poème met en avant le lien du poète à sa muse : lien amoureux, couple. Être aimé seul qui

moins deux exemples précis pour illustrer votre réponse. (1,5 pt) 7) Qu'a fait Momo de son chien Super ? Expliquez ses motivations. (1 pt) 8) « - Monsieur Hamil, est-ce qu'on peut vivre sans amour ? » questionne Momo. Le pronom « on » est-il un pronom indéfini ou un pronom personnel ? Justifiez votre réponse. (1 pt) 9) Que savez-vous de Madame Lola ? (1 pt) 10) Portrait de Monsieur N'Da Amédée : « Il portait un costume en soie rose […] et il se faisait les ongles chez les manicures qui étaient

timoré au début, il exprime de plus en plus nettement ses convictions. Le pronom " Je ", récurrent dans ses paroles, traduit certes d'abord sa confusion, mais aussi, par la suite, son engagement personnel. •Jean. Son discours s'avère plus rarement personnel, sauf lorsqu'il signifie une opposition : " Je vous dis que ce n'est pas si mal que ça ! " (l. 10) ou " Je n'ai pas vos préjugés " (l. 45). De même, le recours au pronom " je " exprime parfois ses aspirations " J'y vivrai, j'y vivrai " (l. 22)

caractérisation de hijo et hija n’est pas suffisante pour entrainer l’emploi de « a ». Omission de « a » devant un COD suivi d’un COI pour éviter la confusion. Un COD collectif singulier (la gente, todo el mundo) ou un pronom indéfini (todos, alguien, alguno, nadie) exige l’emploi de « a ». Le verbe mirar se construit avec un « a » lorsque l’on cherche a mettre en évidence l’endroit où le regard se pose. Cependant on pourra trouver les prépositions «

l’amour, du bonheur La guerre = violence (v.40, 41, 50,51, 54,56) : violence dans l’indifférence qui renforce cette violence La fin du poème : crescendo qui fait se succéder les images de désolations : v.48-54 + répétition de « au loin » + du pronom indéfini « rien » Conclusion : Ce poème a des apparences d’une chanson populaire par la simplicité des mots et de l’extrême proximité entre Prévert et son lecteur (il tutoie). Le poète atteint son objectif, qui est de faire passer son message, avec