Pronom indéfini

sur terre. C’est donc naturellement que Candide rencontre ce fléau dès qu’il quitte le « paradis » (le château). Voir aussi la dénonciation d’un optimisme forcené. - Notion d’individualité et non de communauté qui régit les pouvoirs en place : pronom indéfini « chacun » et adjectif possessif « son » (l. 13) = les rois n’œuvrent pas dans l’intérêt commun ni pour le bien du peuple (pas d’accords possibles, pas de paix) + approximations (l. 4, 6, 8) liées aux pertes humaines « à peu près », « environ

est une nouvelle et ultime variation sur le même thème. - Omniprésence de la négation : o Je ne sais : ouverture et clôture du poème o N’ose o Ni dire : formule doublement négative (conjonction de coordination) o Rien : pronom indéfini o Ne désire · Temps employé : présent. Présent d’énonciation (ou d’actualisation) qui nous fait partager l’état d’esprit de la poétesse. Ce présent a également une valeur durative comme si chaque jour était une nouvelle mort

une vue sur (l 21) « une ligne d’horizon formée par les collines » symbolisant l’ambition du personnage. Les autres personnages ne sont que des pis-aller (prétextes) pour présenter M. de Rênal et ils sont indifférenciés puisque c’est le pronom personnel indéfini « on » qui les représente ou bien ils ne sont désignés que par leurs vêtements (=synecdoque, une partie pour le tout) (l8) « les chapeaux ». Seul personnage à posséder une identité, M. de Rênal acquiert ici un statut supérieur. A ce portrait

nous permet de deviner que Simone aussi a un proche qui s'est fait déporter. « On m'a proposé du charbon et … » cette citation confirme le contexte historique de l'après guerre car il y est fait allusion au marché noir, représenté par le pronom indéfini « on »: Simone ne peut et ne veut nommer ceux qui lui ont vendu du charbon contre sa machine à coudre, se que confirme les points de suspension qui suggèrent aussi qu'elle a été obligée de vendre sa machine car c'était la seule manière pour elle

| QUESTIONS 1. Dans la strophe 1, relevez l’anaphore, les parallélisme et les expressions qui forment des rejets. 2. Strophe 2, quelle explication est introduite par le connecteur car ? Pourquoi passe-t-on du pronom nous au pronom il ? 3. Quels sont les « mots qui font vivre » ? Relevez-les. Que connotent-ils ? 4. En quoi le vers 23 est-il mis en valeur par son nombre de syllabes, son mode et le mot à la rime ? Que symbolise le nom Péri ? |Poèmes de la résistance

associe le mot «danger» à la joie «affliction aussi violente» l.21 «le plus malheureux» l.24 hyperbole «hors de lui même» l.16 Le mot «amou» n’apparait à cause de soucis de bienséance. - Une analyse des sentiments/comportements humains l’emploi du pronom indéfini «on» présent de vérité générale «le monde» l. ??? terme générique «la considération d’un mari» l.??? 2) L’art du discours - Maitrise de la rhétorique utilisation de la rhétorique pour entrainer l’adhésion de l’auditoire (rhétorique= rythmes

cinématographique : la " salle noire ", " la nuit artificielle ", efface les différences, crée un univers " démocratique " et " égalitaire " où tout le monde pourra se retrouver (" ouverte à tous ", offerte à tous "). L'emploi systématique du pronom indéfini " on " pour désigner les spectateurs contribue à leur effacement et à leur " égalisation.". Cette obscurité bienfaitrice et " choisie " ainsi que l'anonymat des spectateurs permettront la "communion " : unis pour quelques heures, ils forment une

Combat» et du «Grand Secret», demeure finalement énigmatique. Au premier vers, nous sommes jetés dans ce combat dont les acteurs demeurent mystérieux. Avec cette absence complète de référents que se permet la poésie, ils ne sont désignés que par deux pronoms personnels : «Il», le sujet, et «le», l’objet. Le «il» est une force à l’identité inconnue et aux contours imprécis dont l’aspect physique est tu. Son action est exprimée, selon une syntaxe correcte, par l’accumulation de onze verbes pour six vers

a perdu une en tentant de s’échapper, punition prévue par le Code Noir dans une telle circonstance ). L’esclave a donc une demi tenue qui lui sert à masquer sa seule jambe. Dans la phrase : « On nous donne », « on » est un pronom indéfini qui désigne tous les maîtres. Ce pronom indique aussi une même situation pour tous les esclaves. Le nègre de Surinam a donc une valeur emblématique par rapport à tous les autres. Ce « nègre » est maltraité par les esclavagistes, mais aussi par sa propre mère, qui

indétermination. En effet, en dehors de la mention du métro, il n'y a pas d'autres indices spatio-temporels, et tout le récit est sobrement narré au présent. Les personnages restent eux aussi indéterminés, comme l'indiquent les pronoms indéfinis « personne », « quelqu'un » ou le déterminant indéfini dans « un plaisantin ». Le « je » du poète semble absent de ce texte et n'apparaît pas explicitement, le récit étant narré à la troisième personne. Cette indétermination accentue le caractère anecdotique de l'épisode