Pronom possessif

égocentrisme profond. Le portrait de La Bruyère met clairement en valeur ce trait en répétant comme un leitmotiv lancinant le pronom personnel sujet « il » par lequel s'ouvrent, de façon anaphorique, quasiment toutes les phrases du texte : « Il ne se sert à table que de ses mains », « Il ne leur épargne aucune de ces malpropretés », « Il mange haut », et les déterminants possessifs qui sont également très nombreux : « son propre », « ses restes », « sa chambre ». Dans bon nombre de phrases, il n'est question

doux, doux L’ACCORD DE L’ADJECTIF QUALIFICATIF RÈGLE GÉNÉRALE L’adjectif s’accorde en genre (masculin ou féminin) et en nombre (singulier ou pluriel) avec le nom/pronom auquel il se rapporte : — un beau tissu, une belle étoffe — des garages spacieux, des maisons spacieuses L’adjectif qui se rapporte à deux ou plusieurs noms/pronoms du même genre prend la marque du pluriel : — un style et un ton parfaits Avec des noms de genre différent, l’adjectif se met au masculin pluriel. Dans ce cas, il

Cherchez / repérez l’adjectif qui qualifie le nom. d. Expliquez la présence de guillemets. e. Rédigez / inventez un court dialogue. f. Retrouvez l’ordre des mots. g. Différenciez les verbes au présent de ceux au passé simple. h. Remplacez le pronom je par le pronom tu. – Les consignes 1 et 3 sont correctement effectuées. – Consigne 2 : une occurrence du mot sable (l. 6) n’a pas été soulignée ; il fallait souligner en vert, non pas en bleu. – Consigne 4 : cette tâche n’a pas été effectuée ; une occurrence

subtiles nuances de la pensée. Une langue est composée de mots remplissant différentes fonctions que les anciens grammairiens appelaient « parties du discours ». Comme le dit Humboldt, les pronoms ont été les éléments les plus précocement isolés, le pronom possessif surtout qui apparut avant même le pronom personnel. Dans tout dialogue, on peut constater trois entités. L’inégalité qui distingue celles-ci est géométriquement marquée dans l’espace par l’importance décroissante que le moi, trônant

Classement traditionnel La grammaire dite traditionnelle, en fait la grammaire scolaire, en vigueur depuis le début du siècle (programmes de 1910) et encore dans les années 1970, reconnaît 9 parties du discours : le nom / le déterminant / l'adjectif / le pronom / le verbe / l'adverbe / la préposition / la conjonction / l'interjection Ce classement n'est pas sans problèmes ou contradictions. 2) Contradictions — Le nombre : 9 parties du discours ; ce nombre est hérité du latin, et même plus ou moins du grec

: Verlaine (Romances sans paroles 1874) Questions : 1) Donnez en quelques lignes vos premières impressions, réactions, remarques à la lecture de ce poème. 2.a)Présentez un relevé concernant : - la construction générale - les pronoms (ou adjectifs possessifs) - les champs lexicaux principaux et secondaires - les images - les procédés sonores, rythmiques et stylistiques 2.b) Puis dans une dizaine de lignes, vous mettrez ces découvertes en relation pour proposer un commentaire mettant en

LES NATIONALITES 19. LES ARTICLES DEFINIS, INDEFINIS ET PARTITIFS 20. LES ADJECTIFS ET PRONOMS POSSESSIFS 21. ACTIVITES ET PROFESSIONS 22. LA SALUTATION ET PRESENTATION 23. LES PREPOSITIONS GEOGRAPHIQUES 24. LES PRONOMS EN \ Y 25. LES PRONOMS PERSONNELS COMPLÉMENTS: LE / LA / LES / LUI / LEUR 26. LA PLACE DES PRONOMS PERSONNELS 27. LES PRONOMS TÓNIQUES 28. ON / NOUS 29. L’INTERROGATION 30. LES ADJETIFS ET PRONOMS DEMOSTRATIFS: CE, CET, CETTE, CES 31. LES EXPRESSIONS DU TEMP 32. LES RELATIFS SIMPLES:

viennent en voiture Tout le courrier est sur la table Beaucoup de mes amis sont partis On distingue donc un élément essentiel qui peut être soit : - un article - un démonstratif, ou être effacé - un possessif Prédéterminant et/ou postdéterminant Tous les deux jours Prédét. Dét. Posdét. D( (pré actualisateur) + actualisateur+ (post actualisateur) Actual. ( 0 Act. Dem. Pos. Réécriture

du tyran I- Accusation par Victor Hugo sur Napoléon III et les exilés A- Napoléon III Dans ce poème Victor Hugo nous offre première une condamnation sans appel de l’empereur. Napoléon III n’est jamais désigné par son nom, mais par le pronom personnel « il ». Victor Hugo va même le tutoyer, « tes », « je te », « ton », ce qui révèle le mépris de celui-ci envers l’empereur. Cet affront pour Napoléon III est aussi montré par la honte, « l’opprobre » que l’auteur lui jette. Victor Hugo l’appelle

évidente avec le fait qu’il refuse progressivement de nuancer son propos, ses affirmations se font en effet de plus en plus catégoriques. Il utilise pour ce faire des déterminants indéfinis (quantifiant purs de quantité nulle) : « aucun homme », des pronoms indéfinis (quantifiant purs de quantité nulle) : « personne », « pas un seul », ainsi que des adverbes (de lieu, de temps) à valeur absolue : « jamais », « partout ». De plus, subrepticement, l’auteur va opérer un glissement vers la persuasion en