Pronom possessif

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 35 G10 Les pronoms démonstratifs, possessifs et interrogatifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 41 CONJUGAISON NATURES ET FONCTIONS G5 Les différents compléments du verbe . . . . . . . . . p. 26 Les pronoms personnels : pour quoi faire ? Les pronoms démonstratifs, possessifs et interrogatifs : pour quoi faire ? Comment construire les phrases exclamatives

règne en maître ainsi que le suggère le terme « allégeance ». Il traite ses employés comme des esclaves ce que souligne le recours au déterminant possessif « ses » dans le groupe nominal « ses gens », qui réduit les domestiques à de simples possessions dont il peut user selon son bon vouloir. De la même façon, dans le groupe verbal « lui devaient », le pronom personnel en position de COI témoigne de ce que le vieillard se prend pour l'unique centre d'intérêt de son entourage dont le verbe devoir souligne

autres femmes et d’un vieil homme puis dès la ligne 13 on remarque que tous ces personnages ont disparus et ont laissés place à Manon qui occupe tout son champs de vision. Cela se manifeste à travers la répétition du pronom personnel « elle » (l.15, 16, 20,25...), des pronoms possessifs en relation à elle « son penchant » (l.21), « ses parents » (l.23), « ses regards » (l.28) qui montrent son envoutement par elle. Cette aveuglement est aussi visible à travers son combat contre la décision des parents

discours chuchoté. II. Un dialogue pathétique a) Un couple apparent Les 2 ê forment de l’extérieur un couple. Bcp de pronoms persos ou d’adj possessifs les présentent en effet réunis (notre v.7, nous, nos, v.12). Ils sont aussi constitués en couple apparent par les express° «deux formes», «deux spectres» v.2, 6, ou par leurs caractéristiques communes (v.3). De mm, le pronom perso «ils» v.15, renforcé par l’adj «tels», les réunins à nouveau ds la vis° finale. Ms en fait, les 2 ê st profondémt désunis

- Aucune situation n’est temporellement ni géographiquement clairement définissable. Cette situation est donc valable en tout lieu et tout temps. - L’auteur interpelle le lecteur en recourant au « nous » associatif : pronom personnel « nous » (18) et aux pronoms possessifs de la 1ere personne du pluriel « nos » (10, 11, 17). Conclusion Par ce texte, le propos de d’Aubigné est certes de dénoncer l’horreur des guerres de religions qu’il a lui-même subies mais, au delà de sa propre expérience

poétique. Enfin, nous observerons la capacité du poète à réactualiser un mythe. I. Un voyage rétrospectif A. Un récit mémoratif • Nous pouvons remarquer deux axes, deux parties du souvenir : Le premier apparaît au vers 4, où le pronom indéfini est posé à l’initiale : « Les uns pourrissent dans les églises italiennes » évoquant certains souvenirs passés et meurtris. On peut remarquer le deuxième axe aux vers 8-10 « D’autres jours ont pleuré avant de mourir dans des tavernes ».

compte au maximum 20 à 25 mots, selon sa longueur. Le lecteur moyen retient 9 à 25 mots pendant une durée maximale de 8 à 10 secondes... Pour rédiger des phrases courtes, il faut limiter autant que possible l’emploi des pronoms relatifs et des conjonctions de subordination. • Les pronoms relatifs se reconnaissent au fait qu’ils ont un antécédent (le nom qu’ils remplacent). Il s’agit principalement de « qui, que, quoi, dont, où, laquelle, lequel » et leurs dérivés. Ils introduisent des propositions subordonnées

cheminement des idées. 3.3. Éclaircir les passages difficiles. Quand l’idée d’ensemble a été saisie mais que certains passages restent obscurs, plusieurs techniques peuvent nous aider: identifier ce que cachent les pronoms: rechercher dans la (les) phrase(s) précédente(s) le nom ou l’idée que le pronom remplace. mettre en tableau les idées qui réapparaissent: une idée est souvent exprimée plusieurs fois sous des formes différentes. Utiliser ces reprises pour éclairer les mots difficiles par leurs équivalents

Conjonction de coordination « mais alors » (l. 6). * Les participes passées « vidée(…) filtré » (l. 6-7), * Verbe d’action -> personnification « qui venait finir là » * Terme englobant « toute » (l. 6) + adjectif possessif « son ». * Comportement des hommes à l’intérieur de la caverne * Abondance des verbes d’actions conjugués au passé : « se donnaient » (l. 11), « enlevait » (l. 12), « mettait » (l. 13), présentatif « c’était le rite » (l. 13)

associant le narrateur lui-même à l’ordre donné. Dans le dernier paragraphe, on remarque une occurrence de la 1ère personne du singulier « je ne suis », associée à la récurrence de la 1ère personne du pluriel sous la forme de pronoms personnels (« nous ») , d’adjectifs possessifs (« notre »)… Encore une fois une façon habile de créer un sentiment de solidarité entre le narrateur et son lecteur. Dès la 1ère phrase, Fontenelle définit la priorité (« Assurons-nous bien du fait, avant que de nous