Pronom possessif

ILe mot AReconnaître la classe grammaticale à laquelle appartient un mot Les mots variables sont des mots qui s'accordent en genre et en nombre. Il y a cinq classes de mot variables : Les noms Les déterminants Les adjectifs Les pronoms Les verbes Les mots invariables sont des mots qui ne s'accordent jamais en genre et en nombre. Il y a cinq classes de mots invariables : Les prépositions Les conjonctions de coordination Les conjonctions de subordination Les adverbes Les interjections

Reconnaître la classe grammaticale à laquelle appartient un mot Les mots variables sont des mots qui s'accordent en genre et en nombre. Il y a cinq classes de mot variables: • • • • • Les Les Les Les Les noms déterminants adjectifs pronoms verbes Les mots invariables sont des mots qui ne s'accordent jamais en genre et en nombre. Il y a cinq classes de mots invariables: • • • • • Les Les Les Les Les prépositions conjonctions de coordination conjonctions de subordination

sur son adresse au lecteur, leur rapport déroutant ainsi que le côté provoquant et paradoxal du texte. a) Une adresse au lecteur Montaigne, est omniprésent dans le texte, de par les nombreux pronoms personnels tel que « je » l.1, « mes » l.3 « moi » l.8 et « moi-même » l.15 ainsi que le déterminant possessif « ma » l.3. Il ouvre le texte en s’adressant directement au lecteur en l’apostrophant par le nom « lecteur » l.1. Montaigne fait savoir à ce dernier par l’accumulation de « contention » l.10

Exercice 1 : Les mots entre parenthèses sont-ils des pronoms ou des déterminants?Justifiez votre réponse en précisant la nature du mot qui le suit. 1.Je cherche (la) clé:où (la) caches-tu ? 2.Je (leur) donne (leurs) devoirs. 3.Il pleut (ce) matin:(ce) n'est pas le meilleur temps pour sortir. 4.Je ne (l')aime pas, (l')horrible vieille sorcière ! 5.Ah!Mon dieu,regardez (ce) qu'elle a sur la tête;on dirait un échafaudage!(LA BRUYERE) 6.(Les) livresque vous m'avez confiés,je (les) ai rangés. 7.(Le)

prend le relais de la description donne à la scène le caractère inébranlable d’une image de bonheur et de paix du narrateur que rien ne pourra ébranler. Le soupir de bonheur, de quiétude sereine soulignée avec force par Diderot par la réitération du pronom personnel et des verbes d’endormissement : « j’en dors, j’en trouve, je m’enfonce, je m’y ramasse » figure, fait apparaître progressivement l’image d’un sommeil diffus, apaisant, réparateur, mélange d’oreiller doux, de lit s’enfonçant et de « peloton

Signature : | 1- Les quatre termes qui prouve de la présence de la narratrice sont : « il n’osait plus me raconter », « Je ne lui parlais plus de mes études », « à la différence de ma mère ». Les termes sont des pronoms personnels (« je » et « me ») et des déterminants possessifs (« mes » et « ma »). 2- Le temps dominant dans ce récit est l’imparfait de l’indicatif. Il s’agit le plus souvent d’imparfait d’habitude. Le récit renvoie au passé de la narratrice, à un moment où elle fait encore

profond. Le portrait de La Bruyère met clairement en valeur ce trait en répétant comme un leitmotiv lancinant le pronom personnel sujet « il » (27) par lequel s'ouvrent, de façon anaphorique, quasiment toutes les phrases du texte : « Il ne se sert à table que de ses mains » (l.5), « Il ne leur épargne aucune de ces malpropretés » (l.7), « Il mange haut » (l.10), et les déterminants possessifs qui sont également très nombreux : « son propre » (l.4), « ses restes » (l.7), « sa chambre » (l.13). Dans bon

compréhensible. Les substitus anaphoriques relient les phrases avec des pronoms, déterminants possesifs; certaines groupes nominaux définis, cette chaine de référence sert aussi à mettre les texte un texte, ainsi le lien logique est beaucoup plus déterminable entre les phrases. Le première phrase commence par „ j'ai ainsi vécu seul...” et dans le phrase suivante apparait la groupe nominale „dans mon moteur” mon est un pronom possessif qui réfère à la sujet du première phrase donc la première personne

parlant un jargon » l.5; « soumis » l.7, Voltaire affirme grâce à l'utilisation du présent de vérité générale « il y a «  l.15, et à l'aide du pronom démonstratif « là  » associé à « sauvage », que les sauvages décrits précédemment sont les européens: « Il y a de ces sauvages là en Europe » De plus, « rustres » repris à la ligne 20 est associé à l'adjectif possessif « nos » ( « nos rustres ») . Le lecteur comprend alors clairement que Voltaire considère les européens comme les sauvages. Voltaire fait

comparaison galvaudée (« Triste comme la porte d’une prison ») et lui redonne vie ; elle reprend sens pour celui qui en fait l’expérience. • Les guillemets présentent l’expression comme un cliché (reprise d’une conversation banale) ; cf. le « on dit » : pronom indéfini + un verbe de parole on ne peut plus plat. • Les vers 3 et 4 la revivifient et lui redonnent son sens plein par : la présence du « je », le modalisateur (qui implique réflexion et non répétition machinale) « crois », l’exclamation vigoureuse