Pronom

n’est pas si grave = Cela n’est pas si grave.  - Se : pronom personnel réfléchi. Il est utilisé dans les verbes pronominaux. Exemple : Chaque matin, au lever du jour, Joëlle se regardait dans la glace. Leurs / Leur / Leurre - Leur (s) est adjectif possessif quad il est placé devant un nom. Il s’accorde avec le nom et prend un S au pluriel. Exemple : Ils étaient adolescents quand leurs parents sont décédés dans un incendie. - Leur est pronom personnel invariable quand il est placé devant le verbe

blâme, que nous avons exhaustivement analysé dans le précédent paragraphe. En second lieu, nous pouvons ajouter l’implication par les pronoms, technique fréquemment utilisée pour convaincre et persuader dans ce dialogue : on retrouve bien des pronoms de la première personne (« je », « nous ») mais aussi des pronoms de la deuxième personne (« toi », « te ») et le pronom « on » généralisant, que les interlocuteur utilisent afin d’imprimer chez leur(s) destinataire(s) le sentiment d’être concerné(s).

l'émetteur cherche souvent à amuser le récepteur en jouant avec la langue. 1 - Des illogismes apparents - Le jeu des pronoms : " Le fromage blanc de campagne de La Laitière : ce qui est nouveau, c'est qu'il est comme autrefois " . L'apparent contradiction ( nouveau / autrefois ) est résolue par le jeu des pronoms. Le pronom "il" renvoie bien au fromage lui même tandis que le pronom "ce" reprend juste l'énoncé qui va suivre. Autrement dit, pouvoir manger un fromage à l'ancienne est quelque chose de

et ridicules. Problématique Dans quelle mesure ce poème est-il moderne ? I) L'observation et la rêverie (organisation et composition du poème) a) Les déambulations du poète spectateur – Énonciation : la présence du poète se signale par l'emploi du pronom personnel « je » (« je guette » v. 3, « j'entrevois » v25 - « il me semble » v. 27, « je [...] cherche » v.30) => les verbes guetter, entrevoir et chercher indiquent que le poète semble porter un regard scrutateur, presque avide, sur le spectacle

rythmes traduisent la musicalité, l'harmonie, le pouvoir évocateur des sons. -la disposition des strophes, les antithèses, les chiasmes mettent en valeur les jeux d'opposition entre ou à l'intérieur des strophes. -l'énonciation, les déterminants, les pronoms permettent d'étudier l'expression des sentiments.     TEXTE POETIQUE EN PROSE   Le texte poétique en prose se distingue du texte poétqiue en vers en cela qu'il n'utilise pas les règles de la versification.  Mais l'enjeu de ce type de texte poétqiue

l’auteur qui structure l’organisation des strophes. Le voyage décrit par Victor Hugo est un voyage pour sa fille, morte noyée en 1843 ; Victor Hugo va sur la tombe de sa fille chaque année, pour l’anniversaire de sa mort. Ce voyage est exprimé par les pronoms personnels « je » vers 2, 3, 4, 5, 8, 9,11, et « tu » vers 2. Les indications de lieux « campagne » vers 1, « forêt » et « montagne » vers 3, « Harfleur » vers 10 et « tombe » vers 11 traduisent un éloignement important entre le poète et sa fille

quatrains) 2) l’homme et la mer fusionnent pour ne faire qu’un (deux quatrains suivants) 1er axe de lecture: DEUX CARACTÈRES SEMBLABLES Au début, quelqu’un parle à un homme (vers 1. « Homme libre ») en utilisant les pronoms personnel « tu » et ensuite, à partir de la troisième strophe, le pronom « vous » apparaît, assimilant ainsi l’homme et la mer. Baudelaire nous montre bien au fil du poème, à l’aide de personnifications ainsi que d’autres figures de style, que l’homme et la mer sont identiques. On le

utilise des pronoms personnels COI comme dans l’exemple. /1 Exemple : Tu parles à Léo. ( Tu lui parles. Nous pensons à notre voyage. _____________________________________________ La biche s’occupe de ses petits. _____________________________________________ Gabriel parle à son chat et son chien. ___________________________________________ La petite fille écrit à sa grand-mère. ___________________________________________ 8.C’est la consigne inverse maintenant : remplace le pronom COI par

prince peut l’être par les promesses ; mais machiavel sait bien que la réalité est toute autre et le mot de deux syllabes est là pour trancher (il aurait pu mettre leurs « fils ») pour montrer qu’il y a discontinuité B) le jeu des pronoms L’emploi du pronom « on » permet à Machiavel d’inclure le lecteur. Ainsi, quand il affirme « On peut, en effet, dire généralement des hommes qu’ils sont ingrats » (l . 6), le lecteur se sent concerné dans le « on » et cette inclusion lui permet de s’exclure

de s'en sortir. » => « Faisant cela, il n'est pas certain de s'en sortir. » « Pour ce faire, il suffit de battre énergiquement les œufs. » => « Pour faire cela, il suffit de battre énergiquement les œufs. » Sinon, il s'agit de « se », qui est un pronom réfléchi. « Pour se faire peur, il faut créer une ambiance macabre. » - « vous dites » ou « vous dîtes » ? « Dites » ne prend pas d'accent sur le « i » au présent ni à l'impératif. L'orthographe « vous dîtes » est réservée au passé simple. « Vous